Selon leur responsable, Pape Ibrahima Diaw, président de l’Union nationale des mareyeurs du Sénégal, « il y a maintenant plusieurs semaines, les commerçants et autres spéculateurs du marché ont vu leurs activités s’amoindrir. Les nombreux camionneurs qui arrivaient chaque jour dans le marché, ne peuvent plus y accéder à cause des eaux usées ».
Surtout quand il pleut sur le marché et que l’on se retrouve dans une situation plus compliquée où l’eau ne coule plus. Souvent, les commerçants à l’étalage qui ne se retrouvent plus, préfèrent abandonner leurs produits sur les flaques d’eau, sans hygiène ni aucune forme de sécurité sanitaire. Ce qui du reste constitue un problème majeur de santé publique, surtout quand il s’agit de l’oignon ou les choux, qui sont des produits difficiles à laver au propre.
Ainsi, dans la plupart des cas, les marchands de poisson sont obligés de tenter leurs chances ailleurs, même si leur point de chute n’est pas homologué pour la vente de poisson, ils sont contraints de vendre et perdent parfois d’importantes quantités de produits qui, à la limite, sont facilement périssables.
Pour Pape Ibrahima Diaw et ses collègues, la plupart des autorités de la région ont été saisies sur la question, mais tardent toujours à réagir. Les services de l’hygiène publique n’ont jamais inspecté les lieux. Leurs collègues de l’Onas et la municipalité de Kaolack en font pareil. Et malgré l’ampleur de la situation, le problème persiste de plus en plus.
Et ces commerçants se disent toujours laissés à eux-mêmes. En ces intenses moments de préparatifs du “ Gamou” annuel, leurs inquiétudes se confirment davantage, car compte tenu de l’affluence qui va se préciser les jours à venir, les usagers du Marché central aux poissons de Kaolack redoutent l’émergence de cas d’épidémie si rien n’est fait.
Sud Quotidien
Surtout quand il pleut sur le marché et que l’on se retrouve dans une situation plus compliquée où l’eau ne coule plus. Souvent, les commerçants à l’étalage qui ne se retrouvent plus, préfèrent abandonner leurs produits sur les flaques d’eau, sans hygiène ni aucune forme de sécurité sanitaire. Ce qui du reste constitue un problème majeur de santé publique, surtout quand il s’agit de l’oignon ou les choux, qui sont des produits difficiles à laver au propre.
Ainsi, dans la plupart des cas, les marchands de poisson sont obligés de tenter leurs chances ailleurs, même si leur point de chute n’est pas homologué pour la vente de poisson, ils sont contraints de vendre et perdent parfois d’importantes quantités de produits qui, à la limite, sont facilement périssables.
Pour Pape Ibrahima Diaw et ses collègues, la plupart des autorités de la région ont été saisies sur la question, mais tardent toujours à réagir. Les services de l’hygiène publique n’ont jamais inspecté les lieux. Leurs collègues de l’Onas et la municipalité de Kaolack en font pareil. Et malgré l’ampleur de la situation, le problème persiste de plus en plus.
Et ces commerçants se disent toujours laissés à eux-mêmes. En ces intenses moments de préparatifs du “ Gamou” annuel, leurs inquiétudes se confirment davantage, car compte tenu de l’affluence qui va se préciser les jours à venir, les usagers du Marché central aux poissons de Kaolack redoutent l’émergence de cas d’épidémie si rien n’est fait.
Sud Quotidien