Dans l’histoire politique de notre pays jamais un personnage n’a été aussi controversé et enclin à une levée de bouclier et de quolibets, il aura réussi la prouesse de se faire haïr par la majorité des sénégalais pourtant très réputés pour notre sens de l’hospitalité, au point de nous valoir le titre de pays de la teranga.
Le divin chauve sorti de nulle part pour s’ériger en traite héritier des années de lutte de toute une jeunesse : golo di béy baboun di dounde.
Une des raisons principales qui me poussent à détester Karim Wade, c’est son manque de courage et son opportunisme. Il m’arrive de penser à tous ces orphelins comme moi qui ont perdu leur père en étant très jeune et qui ont du forger leur chemin tout seul à la sueur de leur dur labeur; sans la philanthropie d’un père qui a mis en péril la cohésion nationale et détroussé tout un peuple au détriment de sa famille et de sa cour.
Il ne s’agit aucunement d’une once de jalousie primaire qui pourrait germer dans mon esprit, mais de faire appel à une part de morale et de raison qui sommeille en nous tous et sur lesquelles Karim Wade pouvait s’appuyer pour dire stop.
Je suis profondément attaché à la valeur travail et je respecte tous ces géniteurs qui se décarcassent afin de laisser un patrimoine à leur progéniture et ainsi leur accorder de meilleures chances d’aborder sereinement les difficultés de la vie.
Fort de cela, je ne peux faire aucune commisération face à des parents qui dérobent les deniers publics pour enrichir leur rejeton. La valeur travail doit demeurer l’unique vecteur légal de création de richesse. Sinon tous ceux qui pourraient penser un seul instant, que la justice s’acharne sur les fossoyeurs de la république devraient éprouver de l’empathie à l’égard de tous les coupables de larcins et de malversations et naturellement envers Karim Wade et sa bande.
Nous avons le devoir de restaurer les valeurs de probité morale et de mérite dans une société en déclin avec l’émiettement et la décrépitude de ses fondements, pour cela nous devons redonner un sens à l’acquisition licite des richesses, autrement l’on peut exclure nos enfants des écoles et leur inculquer des raccourcis pour accumuler des biens puants.
Nous devons remettre les choses à leur juste place et éviter que la suspicion ne gagne tout un chacun dans le pays, en voyant les signes extérieurs de richesse d’un citoyen.
Nous sommes face à un dilemme impérieux à solutionner ; entre les macros et les micros corrompus au service du peuple, non seulement il nous faut retourner à nos fondamentaux mais aussi réconcilier le sénégalais avec le culte de l’argent légal : khalis bou lew et la valeur travail en évitant les raccourcis.
En faisant table rase sur les biens mal acquis, il nous faudra accepter une part de vérité dans les propos de Sarkozy ; quand il affirme que le drame de l’homme noir c’est qu’il n’est pas rentré assez profondément dans son histoire, le socle du pays déjà largement effrité en tanguera au point de chuter dans les abimes
Nous avons une occasion unique un court instant, de mettre de coté les chapelets et l’intercession des foyers religieux stéréotypés, pour en découdre juridiquement et aller au bout du processus de la traque, du retour de nos avoirs détournés et planqués, avant de prétendre développer notre pays.
Nous sommes à la croisée des chemins et nous avons sonné l’heure de la rupture, notre choix est clair, entre la dichotomie dans la manière de s’enrichir ; nous optons pour le travail et non l’inverse.
Le Sénégal ne sera plus jamais ce puits sans fond ou nos dirigeants puisent allégrement sans compter les deniers publics en toute impunité, pour satisfaire leur désir de nirvana :KHALIS KEN DOUKO LIDJENTI DANIOU KOY LIGUEY.
KARIM JE DIRAIS A TA MERE QUE TU ES UN TRICHEUR.
Une autre raison qui attise ma haine, c’est son manque de considération vis-à-vis de la condition de notre race et de nos us et coutumes.
Ma vision manichéenne de la vie me conforte dans ma conviction profonde que dans la vie, il y’a d’un coté les bons et d’un autre les mauvais. Certes on ne nait ni mauvais ni bon mais le milieu et l’éducation détermine l’individu.
Ainsi Karim wade qui a grandi dans le sérail d’une famille inféodée aux valeurs du colonialisme, de l’impérialisme et du déni de notre civilisation corroborés par les aveux de sa mère qui avait fini d’institutionnaliser le fait que, les sénégalais manquent de courage et d’un père qui a avoué que chaque sénégalais a un prix nonobstant les sacrifices indélébiles d’un peuple héroïque, vivifié à travers les croisades de nos royaumes contre les bataillons coloniaux, ou encore TALLATAY NDER dans un passé plus récent.
Le mépris de karim wade face à nos us et coutumes n’a d’égal que sa fourberie d’avoir échoué à parler une de nos langues nationales pratiquée par plus de quatre vingt pour cent de notre population.
Je ne crois absolument pas que monsieur quinze pour cent vanté par son père comme étant le sénégalais le plus intelligent, ne dispose pas d’un cerveau capable de baragouiner au moins quelque mots en wolof, là ou les volontaires de la coopération nord sud mettent six mois à s’exprimer.
Sa mine apeurée de ces des derniers jours et sa posture d’éternelle trisomique me remémore son rêve démesuré de briguer la mairie de Dakar et sa parade lors de la campagne des locales de deux mille neuf, au marché sandaga qui s’est vite transformé en punching Karim au point de le voir fuir.
KARIM JE DIRAIS A TA MERE QUE TU ES UN POLTRON
Le peuple en a cure de vos combines et de vos tractations auprès de pseudo guides honnis de la société, au point de se livrer à des incartades en plein mois de ramadan avec la femme d’autrui.
Je mets en garde contre tous les ennemis du peuple, les sadomasochistes comme les adeptes de recel, ceux qui pactisent toujours avec le diable, ceux qui sont dans la victimisation et qui encourent notre courroux car notre pays exsangue n’a aucun autre choix que de le contraindre avec sa bande à nous rendre nos milliards.
Dire que ce sale gosse hante mes nuits est une hérésie et ma haine est à son firmament en constatant l’état de délabrement de nos hôpitaux et de nos écoles.
Ses tentatives de berner l’opinion publique, en allant prier à la mosquée du point E ne font que réveiller le souvenir de son père qui avait éconduit les vieux qui quêtaient pour la construction de la même mosquée. L’histoire a bégayée avec les jeunes de l’ASC qui ont subi le même revers en sollicitant son aide
KARIM JE DIRAIS A TA MERE QUE TU ES UN PINGRE
Son manque de scrupules est à son paroxysme en aliénant les biens du défunt notaire afin d’y installer bureaux et appartements, un racket d’état qui ne dit pas son nom.
Le scandale et le cinéma orchestré lors du décès de sa femme pour attendrir une opinion qui avait finie de faire son jugement est indigne d’un homme, mais cela démontre sans cesse ses capacités a inlassablement vouloir tromper son monde. Ses carences évidentes voguent à l’encontre de ses manigances d’homme très peu accompli qui doit tout à son père.
KARIM JE DIRAIS A TA MERE QUE TU ES UN FILS A PAPA.
Avec mille milliards il n’est nul besoin d’être un docteur en économie ou un ingénieur financier, pour savoir qu’en injectant cette somme dans l’économie sénégalaise, ce sera le début du plein emploi et de notre autosuffisance alimentaire.
Mille milliards boosterons tous les moteurs de la croissance et permettront la réalisation et la consécration d’une productivité développante à travers cinq pôles ; comme prévu dans le programme yonnu yokute.
En prenant l’exemple du nord qui est plutôt une région propice à l’agriculture sylvo pastorale, je préconiserai une chaine de production et de transformation laitière et l’érection de fermes nouvelles générations avec le croissement de races bovines et d’ovins venant d’autres continents.
A terme on aura un renouvellement du cheptel et des chaines de production laitière de qualité répondant à des normes internationales. Celles-ci irrigueront tout le pays d’un lait de qualité, riche en oligo-éléments, ce qui est essentiel à la fixation du calcium sur les os et un facteur essentiel d’une croissance saine. L’émergence d’unités de transformation du lait va aboutir à la production de divers produits crémeux non moins importants et indispensables aux ossements humains.
En outre ces fermes nouvelles générations seront des greniers à viande, avec une chaine commerciale de qualité, tout le pays sera inondé en viande de premier choix ; une offre exponentielle qui sera supérieure à la demande qui aura le mérite d’alléger le panier de la ménagère. L’ensemble de la population s’alimentera mieux ; se portera en meilleure santé et commencera à travailler pour être enfin plus productif.
Mille milliards en douze années de gouvernance de Wade, c’est le minimum que la justice sénégalaise est en droit de recouvrer, en dessous le peuple n’est pas preneur.
Mille milliards, il m’arrive de me poser la question à savoir si tous ces brigands financiers jouissent de toutes leurs facultés mentales en détournant des sommes aussi colossales, vitales pour le devenir d’une nation.
Mr Karim Wade, il vous reste une chance inouïe de vous restaurer dans l’histoire de la nation sénégalaise en avouant vos crimes et en rendant au peuple ses avoirs. Autrement si vous avez le malheur de croiser ce peuple, ce n’est pas à un croc de boucher qu’il vous accrochera, mais à l’Himalaya pour la postérité.
CHEIKH SALL
MEMBRE CCR France
APR DAKAR PLATEAU
Le divin chauve sorti de nulle part pour s’ériger en traite héritier des années de lutte de toute une jeunesse : golo di béy baboun di dounde.
Une des raisons principales qui me poussent à détester Karim Wade, c’est son manque de courage et son opportunisme. Il m’arrive de penser à tous ces orphelins comme moi qui ont perdu leur père en étant très jeune et qui ont du forger leur chemin tout seul à la sueur de leur dur labeur; sans la philanthropie d’un père qui a mis en péril la cohésion nationale et détroussé tout un peuple au détriment de sa famille et de sa cour.
Il ne s’agit aucunement d’une once de jalousie primaire qui pourrait germer dans mon esprit, mais de faire appel à une part de morale et de raison qui sommeille en nous tous et sur lesquelles Karim Wade pouvait s’appuyer pour dire stop.
Je suis profondément attaché à la valeur travail et je respecte tous ces géniteurs qui se décarcassent afin de laisser un patrimoine à leur progéniture et ainsi leur accorder de meilleures chances d’aborder sereinement les difficultés de la vie.
Fort de cela, je ne peux faire aucune commisération face à des parents qui dérobent les deniers publics pour enrichir leur rejeton. La valeur travail doit demeurer l’unique vecteur légal de création de richesse. Sinon tous ceux qui pourraient penser un seul instant, que la justice s’acharne sur les fossoyeurs de la république devraient éprouver de l’empathie à l’égard de tous les coupables de larcins et de malversations et naturellement envers Karim Wade et sa bande.
Nous avons le devoir de restaurer les valeurs de probité morale et de mérite dans une société en déclin avec l’émiettement et la décrépitude de ses fondements, pour cela nous devons redonner un sens à l’acquisition licite des richesses, autrement l’on peut exclure nos enfants des écoles et leur inculquer des raccourcis pour accumuler des biens puants.
Nous devons remettre les choses à leur juste place et éviter que la suspicion ne gagne tout un chacun dans le pays, en voyant les signes extérieurs de richesse d’un citoyen.
Nous sommes face à un dilemme impérieux à solutionner ; entre les macros et les micros corrompus au service du peuple, non seulement il nous faut retourner à nos fondamentaux mais aussi réconcilier le sénégalais avec le culte de l’argent légal : khalis bou lew et la valeur travail en évitant les raccourcis.
En faisant table rase sur les biens mal acquis, il nous faudra accepter une part de vérité dans les propos de Sarkozy ; quand il affirme que le drame de l’homme noir c’est qu’il n’est pas rentré assez profondément dans son histoire, le socle du pays déjà largement effrité en tanguera au point de chuter dans les abimes
Nous avons une occasion unique un court instant, de mettre de coté les chapelets et l’intercession des foyers religieux stéréotypés, pour en découdre juridiquement et aller au bout du processus de la traque, du retour de nos avoirs détournés et planqués, avant de prétendre développer notre pays.
Nous sommes à la croisée des chemins et nous avons sonné l’heure de la rupture, notre choix est clair, entre la dichotomie dans la manière de s’enrichir ; nous optons pour le travail et non l’inverse.
Le Sénégal ne sera plus jamais ce puits sans fond ou nos dirigeants puisent allégrement sans compter les deniers publics en toute impunité, pour satisfaire leur désir de nirvana :KHALIS KEN DOUKO LIDJENTI DANIOU KOY LIGUEY.
KARIM JE DIRAIS A TA MERE QUE TU ES UN TRICHEUR.
Une autre raison qui attise ma haine, c’est son manque de considération vis-à-vis de la condition de notre race et de nos us et coutumes.
Ma vision manichéenne de la vie me conforte dans ma conviction profonde que dans la vie, il y’a d’un coté les bons et d’un autre les mauvais. Certes on ne nait ni mauvais ni bon mais le milieu et l’éducation détermine l’individu.
Ainsi Karim wade qui a grandi dans le sérail d’une famille inféodée aux valeurs du colonialisme, de l’impérialisme et du déni de notre civilisation corroborés par les aveux de sa mère qui avait fini d’institutionnaliser le fait que, les sénégalais manquent de courage et d’un père qui a avoué que chaque sénégalais a un prix nonobstant les sacrifices indélébiles d’un peuple héroïque, vivifié à travers les croisades de nos royaumes contre les bataillons coloniaux, ou encore TALLATAY NDER dans un passé plus récent.
Le mépris de karim wade face à nos us et coutumes n’a d’égal que sa fourberie d’avoir échoué à parler une de nos langues nationales pratiquée par plus de quatre vingt pour cent de notre population.
Je ne crois absolument pas que monsieur quinze pour cent vanté par son père comme étant le sénégalais le plus intelligent, ne dispose pas d’un cerveau capable de baragouiner au moins quelque mots en wolof, là ou les volontaires de la coopération nord sud mettent six mois à s’exprimer.
Sa mine apeurée de ces des derniers jours et sa posture d’éternelle trisomique me remémore son rêve démesuré de briguer la mairie de Dakar et sa parade lors de la campagne des locales de deux mille neuf, au marché sandaga qui s’est vite transformé en punching Karim au point de le voir fuir.
KARIM JE DIRAIS A TA MERE QUE TU ES UN POLTRON
Le peuple en a cure de vos combines et de vos tractations auprès de pseudo guides honnis de la société, au point de se livrer à des incartades en plein mois de ramadan avec la femme d’autrui.
Je mets en garde contre tous les ennemis du peuple, les sadomasochistes comme les adeptes de recel, ceux qui pactisent toujours avec le diable, ceux qui sont dans la victimisation et qui encourent notre courroux car notre pays exsangue n’a aucun autre choix que de le contraindre avec sa bande à nous rendre nos milliards.
Dire que ce sale gosse hante mes nuits est une hérésie et ma haine est à son firmament en constatant l’état de délabrement de nos hôpitaux et de nos écoles.
Ses tentatives de berner l’opinion publique, en allant prier à la mosquée du point E ne font que réveiller le souvenir de son père qui avait éconduit les vieux qui quêtaient pour la construction de la même mosquée. L’histoire a bégayée avec les jeunes de l’ASC qui ont subi le même revers en sollicitant son aide
KARIM JE DIRAIS A TA MERE QUE TU ES UN PINGRE
Son manque de scrupules est à son paroxysme en aliénant les biens du défunt notaire afin d’y installer bureaux et appartements, un racket d’état qui ne dit pas son nom.
Le scandale et le cinéma orchestré lors du décès de sa femme pour attendrir une opinion qui avait finie de faire son jugement est indigne d’un homme, mais cela démontre sans cesse ses capacités a inlassablement vouloir tromper son monde. Ses carences évidentes voguent à l’encontre de ses manigances d’homme très peu accompli qui doit tout à son père.
KARIM JE DIRAIS A TA MERE QUE TU ES UN FILS A PAPA.
Avec mille milliards il n’est nul besoin d’être un docteur en économie ou un ingénieur financier, pour savoir qu’en injectant cette somme dans l’économie sénégalaise, ce sera le début du plein emploi et de notre autosuffisance alimentaire.
Mille milliards boosterons tous les moteurs de la croissance et permettront la réalisation et la consécration d’une productivité développante à travers cinq pôles ; comme prévu dans le programme yonnu yokute.
En prenant l’exemple du nord qui est plutôt une région propice à l’agriculture sylvo pastorale, je préconiserai une chaine de production et de transformation laitière et l’érection de fermes nouvelles générations avec le croissement de races bovines et d’ovins venant d’autres continents.
A terme on aura un renouvellement du cheptel et des chaines de production laitière de qualité répondant à des normes internationales. Celles-ci irrigueront tout le pays d’un lait de qualité, riche en oligo-éléments, ce qui est essentiel à la fixation du calcium sur les os et un facteur essentiel d’une croissance saine. L’émergence d’unités de transformation du lait va aboutir à la production de divers produits crémeux non moins importants et indispensables aux ossements humains.
En outre ces fermes nouvelles générations seront des greniers à viande, avec une chaine commerciale de qualité, tout le pays sera inondé en viande de premier choix ; une offre exponentielle qui sera supérieure à la demande qui aura le mérite d’alléger le panier de la ménagère. L’ensemble de la population s’alimentera mieux ; se portera en meilleure santé et commencera à travailler pour être enfin plus productif.
Mille milliards en douze années de gouvernance de Wade, c’est le minimum que la justice sénégalaise est en droit de recouvrer, en dessous le peuple n’est pas preneur.
Mille milliards, il m’arrive de me poser la question à savoir si tous ces brigands financiers jouissent de toutes leurs facultés mentales en détournant des sommes aussi colossales, vitales pour le devenir d’une nation.
Mr Karim Wade, il vous reste une chance inouïe de vous restaurer dans l’histoire de la nation sénégalaise en avouant vos crimes et en rendant au peuple ses avoirs. Autrement si vous avez le malheur de croiser ce peuple, ce n’est pas à un croc de boucher qu’il vous accrochera, mais à l’Himalaya pour la postérité.
CHEIKH SALL
MEMBRE CCR France
APR DAKAR PLATEAU