Business Insider n’est que l’équivalent d’un simple blog, crée aux USA il y’a près de 2 ans. Et Lawrence Delevingne un jeune journaliste qui écrit pour ce blog, et qui s’est peut-être un peu intéressé au Sénégal pour y avoir vécu un an. Il n’en faut de toute façon pas plus pour comprendre que le climat des affaires au Sénégal est tout le contraire de ce qu’en montre la RTS ou les représentations diplomatiques sénégalaises à l’étranger.
Il a suffi donc que ce journaliste écrive de là bas à la lointaine Amérique un article désignant Karim et son complice, un autre « fils de » aussi dangereux que son père, comme étant au cœur d’une tentative d’extorsion de fonds à la sauce chantage contre le Groupe Millicom défendant les intérêts de sa filiale Sentel Sénégal, pour que Karim retrouve subitement sa langue depuis le réquisitoire sans appel des « contes et mécomptes de l’Anoci » le désignant formellement comme le premier, ou le deuxième pilleur de la république, un voleur sans vergogne et sans classe, un as de la surfacturation irréfléchie, un criminel économique digne des pires potences, un menteur acharné, un incompétent notoire.
Un simple blog d’informations basé aux USA, inconnu de presque 100 % des sénégalais, écrit un article quelconque au sujet d’une tentative d’extorsion de fonds, et les sénégalais ont eu droit à des communiqués de la présidence, à des communiqués de la primature, à des sorties empreintes de menaces du PM (ce super cartouchard devenu enfin avocat qui réagissait si intelligemment que l’on ne peut même pas s’acheter un appartement à Paris avec la mallette offerte à Segura), aux vociférations alimentaires de variables du PDS, de guignols de la Génération de je ne sais plus quoi. Et pour confirmer ce que leurs larbins ont déjà hurlé partout sans même convaincre leur propre personne, le principal concerné et son acolyte sont montés eux-mêmes au créneau.
Le premier, Thierno Ousmane Sy, le prédateur dangereux connu de ceux qui évoluent dans le domaine des nouvelles technologies, s’est étendu dans des interviews futiles à la radio et dans les journaux, avec des explications aussi inutiles et stupides que celles qu’il donnait dans l’affaire des cartes numérisées, Genesis, Sigma, Horimex, les 300 millions qu’il disait avoir prêtés à un jeune chômeur, etc….
Le deuxième, Karim Wade (Micha pour ses amis d’enfance israéliens, Meïssa pour les valets de son papa et de sa maman) n’a pas lésiné dans les moyens, lui qui ne voyage plus qu’en jet privé et se paye des lampes à 10 millions, et s’est fendu d’un communiqué d’une page entière de journal achetée dans les quotidiens de la place pour démentir ce journaliste inconnu et annoncer une plainte qui serait déjà sur la table de ses avocats.
Bien sûr tout le monde se demande où étaient les communiqués de la présidence, de la primature et des autres institutions, ou étaient les variables et transhumans du PDS, les bouffons de la Génération machin, lorsque Karim était accusé par des sénégalais, par des hommes d’affaires sénégalais, par des journalistes sénégalais, par des hommes politiques sénégalais, par tous types de sénégalais, accusé non pas de simple tentative d’extorsion de fonds, mais de pillage avéré, de surfacturations grossières, de détournements de deniers publics ? On se demande surtout où était Karim lui-même, avec sa horde d’avocats qu’il lance si facilement sur le dos de faibles journalistes s’étant fait à un moment donné l’écho d’une information saisie sans des détails probants ? Mais lorsqu’il s’agit d’accusations formelles, précises, avec dates et détails, montants et procédés, notre cher pilleur se sachant bien pris la main dans le sac se distingue par un silence qui en dit long sur sa culpabilité. Et ils sont si nombreux ces dossiers de pillage qui n’ont eu droit qu’à un silence trop coupable, souvent accompagné de tentatives de diversion d’un papa qui, bien qu’il soit son maître en la matière, connaît le manque d’inspiration et de discrétion de son fils quand il vole.
Maintenant que grâce à ce jeune journaliste inconnu Lawrence Delevingne, Karim et les carpettes et cuillères de sa famille ont retrouvé leurs langues et leurs communiqués, nous comptons sur eux pour enfin répondre, d’abord aux fameux « contes et mécomptes de l’Anoci » qui avait rendu la république muette après avoir détaillé aux sénégalais, preuves à l’appui, comment Karim et ses complices ont volé grossièrement des centaines de milliards aux sénégalais entre les surfacturations, les budgets détournés, les terres dérobées. Mais bien sûr leurs réponses sont également attendus sûr beaucoup d’autres dossiers qui attendent, tous avec leurs lots de milliards volés que l’on espère effacer de la mémoire des sénégalais par le temps, ou par de simples diversions d’un papa politicien, et des gamineries d’un jeune pilleur : AIBD – Véolia – Godart, STC et les ICS – Sonacos – Licence Sudatel – Le monument et les 30 hectares volés via Mbakiyou Faye – Senelec – Mediatique – les chèques de 5,6 milliards de la Cbao – le Bar Ozio – la réfection et les moteurs de Sangomar – Sattar – Le cabinet Cice – DP World – Jafza – Zam Zam – la vente des voitures de l’Anoci – les affaires Bara Tall – et tant d’autres.
Le zèle déployé contre cet article de rien du tout du Business machin démontre à lui seul la culpabilité certaine de Karim et ses complices dans tous les dossiers et accusations formelles de vols, détournements, clientélismes, corruptions à la suite desquelles Karim, son papa, leurs larbins respectifs et leurs armées d’avocats se sont lamentablement tus, préférant jouer la montre et sur la corruptibilité habituelle de la justice.
MARVEL
marvel@hotmail.fr
Il a suffi donc que ce journaliste écrive de là bas à la lointaine Amérique un article désignant Karim et son complice, un autre « fils de » aussi dangereux que son père, comme étant au cœur d’une tentative d’extorsion de fonds à la sauce chantage contre le Groupe Millicom défendant les intérêts de sa filiale Sentel Sénégal, pour que Karim retrouve subitement sa langue depuis le réquisitoire sans appel des « contes et mécomptes de l’Anoci » le désignant formellement comme le premier, ou le deuxième pilleur de la république, un voleur sans vergogne et sans classe, un as de la surfacturation irréfléchie, un criminel économique digne des pires potences, un menteur acharné, un incompétent notoire.
Un simple blog d’informations basé aux USA, inconnu de presque 100 % des sénégalais, écrit un article quelconque au sujet d’une tentative d’extorsion de fonds, et les sénégalais ont eu droit à des communiqués de la présidence, à des communiqués de la primature, à des sorties empreintes de menaces du PM (ce super cartouchard devenu enfin avocat qui réagissait si intelligemment que l’on ne peut même pas s’acheter un appartement à Paris avec la mallette offerte à Segura), aux vociférations alimentaires de variables du PDS, de guignols de la Génération de je ne sais plus quoi. Et pour confirmer ce que leurs larbins ont déjà hurlé partout sans même convaincre leur propre personne, le principal concerné et son acolyte sont montés eux-mêmes au créneau.
Le premier, Thierno Ousmane Sy, le prédateur dangereux connu de ceux qui évoluent dans le domaine des nouvelles technologies, s’est étendu dans des interviews futiles à la radio et dans les journaux, avec des explications aussi inutiles et stupides que celles qu’il donnait dans l’affaire des cartes numérisées, Genesis, Sigma, Horimex, les 300 millions qu’il disait avoir prêtés à un jeune chômeur, etc….
Le deuxième, Karim Wade (Micha pour ses amis d’enfance israéliens, Meïssa pour les valets de son papa et de sa maman) n’a pas lésiné dans les moyens, lui qui ne voyage plus qu’en jet privé et se paye des lampes à 10 millions, et s’est fendu d’un communiqué d’une page entière de journal achetée dans les quotidiens de la place pour démentir ce journaliste inconnu et annoncer une plainte qui serait déjà sur la table de ses avocats.
Bien sûr tout le monde se demande où étaient les communiqués de la présidence, de la primature et des autres institutions, ou étaient les variables et transhumans du PDS, les bouffons de la Génération machin, lorsque Karim était accusé par des sénégalais, par des hommes d’affaires sénégalais, par des journalistes sénégalais, par des hommes politiques sénégalais, par tous types de sénégalais, accusé non pas de simple tentative d’extorsion de fonds, mais de pillage avéré, de surfacturations grossières, de détournements de deniers publics ? On se demande surtout où était Karim lui-même, avec sa horde d’avocats qu’il lance si facilement sur le dos de faibles journalistes s’étant fait à un moment donné l’écho d’une information saisie sans des détails probants ? Mais lorsqu’il s’agit d’accusations formelles, précises, avec dates et détails, montants et procédés, notre cher pilleur se sachant bien pris la main dans le sac se distingue par un silence qui en dit long sur sa culpabilité. Et ils sont si nombreux ces dossiers de pillage qui n’ont eu droit qu’à un silence trop coupable, souvent accompagné de tentatives de diversion d’un papa qui, bien qu’il soit son maître en la matière, connaît le manque d’inspiration et de discrétion de son fils quand il vole.
Maintenant que grâce à ce jeune journaliste inconnu Lawrence Delevingne, Karim et les carpettes et cuillères de sa famille ont retrouvé leurs langues et leurs communiqués, nous comptons sur eux pour enfin répondre, d’abord aux fameux « contes et mécomptes de l’Anoci » qui avait rendu la république muette après avoir détaillé aux sénégalais, preuves à l’appui, comment Karim et ses complices ont volé grossièrement des centaines de milliards aux sénégalais entre les surfacturations, les budgets détournés, les terres dérobées. Mais bien sûr leurs réponses sont également attendus sûr beaucoup d’autres dossiers qui attendent, tous avec leurs lots de milliards volés que l’on espère effacer de la mémoire des sénégalais par le temps, ou par de simples diversions d’un papa politicien, et des gamineries d’un jeune pilleur : AIBD – Véolia – Godart, STC et les ICS – Sonacos – Licence Sudatel – Le monument et les 30 hectares volés via Mbakiyou Faye – Senelec – Mediatique – les chèques de 5,6 milliards de la Cbao – le Bar Ozio – la réfection et les moteurs de Sangomar – Sattar – Le cabinet Cice – DP World – Jafza – Zam Zam – la vente des voitures de l’Anoci – les affaires Bara Tall – et tant d’autres.
Le zèle déployé contre cet article de rien du tout du Business machin démontre à lui seul la culpabilité certaine de Karim et ses complices dans tous les dossiers et accusations formelles de vols, détournements, clientélismes, corruptions à la suite desquelles Karim, son papa, leurs larbins respectifs et leurs armées d’avocats se sont lamentablement tus, préférant jouer la montre et sur la corruptibilité habituelle de la justice.
MARVEL
marvel@hotmail.fr