Qui est Khady Ndiaye?
Je m’appelle Khady Ndiaye, je suis co-animatrice de Yeewoulène eux cotés de Keb’s Thiam. Je suis née et j'ai grandi à Dakar. J’ai 27 ans et je suis journaliste. j’ai eu aussi à faire des études de chimie en France où j’ai obtenu une licence à l’Université Pierre et Marie Curie dans le 5ème arrondissement. par la suite j’ai découvert ma passion pour le journalisme et j’ai un master dans la matière. j’ai fait beaucoup de stage notamment à Rfi, Amina magazine et j’ai travaillé à Télé sud.
Vous avez été aussi miss Sénégal en 2006, comment s’est passé votre sacre?
J’ai fait le concours parce que j’ai entendu Moise Ambroise Gomis en parler par hasard. je me suis inscrite et j’ai gagné.
Et après, vous vous êtes retrouvée dans l’organisation?
Oui, effectivement. après le défilé, j’ai trouvé que ceux qui l’organisaient n’étaient pas efficaces. ils nous laissaient à nous même, nous n’étions pas bien encadrées. C’est ainsi qu’aprés le concours, je suis allée voir Ambroise et je lui ai proposé de me prendre dans l’organisation et il m’a fait confiance. puis, avec les anciennes miss, nous avons formé un comité d’organisation.
Où en est votre carrière de mannequin?
Je ne défile plus. je défilais avant juste comme free-lance.
Pourquoi on ne vous a jamais vu sur les podium nationaux?
Non, parce que je n’en ai pas eu l’occasion. en Europe, on est obligé de travailler pour joindre les deux bouts même si on a une bourse. le mannequinat était juste un travail pour me faire de l’argent. Mais en même temps, cela me permettait de vivre le rêve de ressembler à mon idole Naomi Campbell.
Après le mannequinat, vous avez tâté du cinéma?
Oui, j’ai joué dans “Les feux de Mansaré” de Mansour Sora Wade en tant qu’actrice principale, Nathalie. il parait qu’il a longtemps cherché son héroïne sans la trouver. alors, un jour, il est venu à Paris et un ami nous a présentés. au bout de 10 minutes, il a dit que c’est exactement moi qu’il cherchait. je suis alors rentrée au Sénégal pour le tournage et ce fut une réussite.
L’aventure avec le cinéma est-elle terminée?
Non, je veux encore jouer, mais je n’ai pas encore trouvé de rôles qui me conviennent. deux réalisateurs m’ont proposé des personnage, mais il y’avait des scènes de dénudement et je ne suis pas prête pour cela.
On sent une autre facette de vous avec cette déclaration, à savoir, une femme libre et moderne et qui, par ailleurs, respecte les traditions et la religion. Surprenant…?
Je dois cela à mes parents. ils m’ont vraiment bien éduquée et avec des valeurs sûres. Pour le cinéma, j’ai des scénarii, il ne reste qu’à trouver un producteur.
Alors, vous écrivez aussi?
Oui, je suis tombée dedans à cause du journalisme.
Justement, comment en êtes vous venue au journalisme?
Pendant ma dernière année de chimie, j’ai participé à un casting croyant qu’ils cherchaient des mannequins, mais c’était pour présenter une émission. le hasard a fait que je sois retenue. et en présentant l’émission, je n’avais vraiment pas l’impression de bosser. peu importe les heures passées à préparer mes textes, je me sentais heureuse, j’ai donc compris que j’avais découvert une nouvelle passion: le journalisme. Ainsi, au lieu de m’inscrire en master en chimie, j’ai fait des stages, pris des cours dans la matière. et de Rfi à 3A Télé sud, je suis passé par Amina magazine et aujourd’hui je suis à la Tfm.
Comment avez-vous intégré la Tfm?
Je suis contre la fuite des cerveaux, j’ai donc toujours planifié de retourner au bercail. Lors de mon premier entretien avec Tfm, je n’avais même pas encore fini mes études.ils m’avaient d’ailleurs signifié que je manquais d’expérience. Je suis alors retournée en chercher en France où j’ai passé un an à travailler en tant que chroniqueuse et assistante de production dans la matinale de 3A télé sud. et durant cette année, je n’ai cessé d’envoyer mon Cv et mes vidéos à la Tfm. C’est ainsi qu’ils ont fini par me contacter. Ça tombait bien, car c’est la chaîne qui me correspond le mieux au Sénégal.
Vous êtes aussi rédactrice en chef de En vogue l’Afrique…
Non, plus maintenant.
Pourquoi?
Parce que je me concentre à 100% sur la télé. Je présente Yeewoulène 2 jours sur 4. Puis, je fais des dossiers dans Week-end Start avec Boub’s et là, je vais commencer une autre émission.
Cela portera sur quoi?
C’est une émission qui va montrer les tournages de clips, d’émissions, les making off et pleins d’autres choses. Je ne veux pas trop en parler, mais vous la verrez bientôt.
La seule chose que beaucoup d’animateurs vous envient c’est que vous ne faites pas les choux gras de nos journaux, on ne vous connait d’aucun scandale et vous n’affichez pas non plus vos amours.
“Pour vivre heureux, il faut vivre caché”. Je pense que ce que je vis en privé ne concerne personne. Cela ne doit même pas intéresser les gens. Je préfère être dans mon coin et vivre simple.
Mais, espérons que les journaux ne vous empêchent pas de vivre vos amours?
(Rires) De quelles amours parlez-vous
Vos bustiers et décolletés qui laissent deviner votre poitrine généreuse tapent quand même à l’oeil des hommes…
(Des rigolades). Je ne sais pas mais je sais que j’ai trouvé le prince charmant.
Depuis quand?
Il n’y a pas longtemps, mais je sais que c’est le bon, il a toutes les qualités que j’adore.
Parfait?
Non, la perfection n’existe pas mais j’aime sa façon d’être.
Une mauvaise nouvelles pour les éventuels candidats?
Oui, effectivement.
Le mariage est-il alors à l’ordre du jour?
C’est un peu prématuré d’en parler mais vous serez les premiers invités.
Source: Icone mag’
Je m’appelle Khady Ndiaye, je suis co-animatrice de Yeewoulène eux cotés de Keb’s Thiam. Je suis née et j'ai grandi à Dakar. J’ai 27 ans et je suis journaliste. j’ai eu aussi à faire des études de chimie en France où j’ai obtenu une licence à l’Université Pierre et Marie Curie dans le 5ème arrondissement. par la suite j’ai découvert ma passion pour le journalisme et j’ai un master dans la matière. j’ai fait beaucoup de stage notamment à Rfi, Amina magazine et j’ai travaillé à Télé sud.
Vous avez été aussi miss Sénégal en 2006, comment s’est passé votre sacre?
J’ai fait le concours parce que j’ai entendu Moise Ambroise Gomis en parler par hasard. je me suis inscrite et j’ai gagné.
Et après, vous vous êtes retrouvée dans l’organisation?
Oui, effectivement. après le défilé, j’ai trouvé que ceux qui l’organisaient n’étaient pas efficaces. ils nous laissaient à nous même, nous n’étions pas bien encadrées. C’est ainsi qu’aprés le concours, je suis allée voir Ambroise et je lui ai proposé de me prendre dans l’organisation et il m’a fait confiance. puis, avec les anciennes miss, nous avons formé un comité d’organisation.
Où en est votre carrière de mannequin?
Je ne défile plus. je défilais avant juste comme free-lance.
Pourquoi on ne vous a jamais vu sur les podium nationaux?
Non, parce que je n’en ai pas eu l’occasion. en Europe, on est obligé de travailler pour joindre les deux bouts même si on a une bourse. le mannequinat était juste un travail pour me faire de l’argent. Mais en même temps, cela me permettait de vivre le rêve de ressembler à mon idole Naomi Campbell.
Après le mannequinat, vous avez tâté du cinéma?
Oui, j’ai joué dans “Les feux de Mansaré” de Mansour Sora Wade en tant qu’actrice principale, Nathalie. il parait qu’il a longtemps cherché son héroïne sans la trouver. alors, un jour, il est venu à Paris et un ami nous a présentés. au bout de 10 minutes, il a dit que c’est exactement moi qu’il cherchait. je suis alors rentrée au Sénégal pour le tournage et ce fut une réussite.
L’aventure avec le cinéma est-elle terminée?
Non, je veux encore jouer, mais je n’ai pas encore trouvé de rôles qui me conviennent. deux réalisateurs m’ont proposé des personnage, mais il y’avait des scènes de dénudement et je ne suis pas prête pour cela.
On sent une autre facette de vous avec cette déclaration, à savoir, une femme libre et moderne et qui, par ailleurs, respecte les traditions et la religion. Surprenant…?
Je dois cela à mes parents. ils m’ont vraiment bien éduquée et avec des valeurs sûres. Pour le cinéma, j’ai des scénarii, il ne reste qu’à trouver un producteur.
Alors, vous écrivez aussi?
Oui, je suis tombée dedans à cause du journalisme.
Justement, comment en êtes vous venue au journalisme?
Pendant ma dernière année de chimie, j’ai participé à un casting croyant qu’ils cherchaient des mannequins, mais c’était pour présenter une émission. le hasard a fait que je sois retenue. et en présentant l’émission, je n’avais vraiment pas l’impression de bosser. peu importe les heures passées à préparer mes textes, je me sentais heureuse, j’ai donc compris que j’avais découvert une nouvelle passion: le journalisme. Ainsi, au lieu de m’inscrire en master en chimie, j’ai fait des stages, pris des cours dans la matière. et de Rfi à 3A Télé sud, je suis passé par Amina magazine et aujourd’hui je suis à la Tfm.
Comment avez-vous intégré la Tfm?
Je suis contre la fuite des cerveaux, j’ai donc toujours planifié de retourner au bercail. Lors de mon premier entretien avec Tfm, je n’avais même pas encore fini mes études.ils m’avaient d’ailleurs signifié que je manquais d’expérience. Je suis alors retournée en chercher en France où j’ai passé un an à travailler en tant que chroniqueuse et assistante de production dans la matinale de 3A télé sud. et durant cette année, je n’ai cessé d’envoyer mon Cv et mes vidéos à la Tfm. C’est ainsi qu’ils ont fini par me contacter. Ça tombait bien, car c’est la chaîne qui me correspond le mieux au Sénégal.
Vous êtes aussi rédactrice en chef de En vogue l’Afrique…
Non, plus maintenant.
Pourquoi?
Parce que je me concentre à 100% sur la télé. Je présente Yeewoulène 2 jours sur 4. Puis, je fais des dossiers dans Week-end Start avec Boub’s et là, je vais commencer une autre émission.
Cela portera sur quoi?
C’est une émission qui va montrer les tournages de clips, d’émissions, les making off et pleins d’autres choses. Je ne veux pas trop en parler, mais vous la verrez bientôt.
La seule chose que beaucoup d’animateurs vous envient c’est que vous ne faites pas les choux gras de nos journaux, on ne vous connait d’aucun scandale et vous n’affichez pas non plus vos amours.
“Pour vivre heureux, il faut vivre caché”. Je pense que ce que je vis en privé ne concerne personne. Cela ne doit même pas intéresser les gens. Je préfère être dans mon coin et vivre simple.
Mais, espérons que les journaux ne vous empêchent pas de vivre vos amours?
(Rires) De quelles amours parlez-vous
Vos bustiers et décolletés qui laissent deviner votre poitrine généreuse tapent quand même à l’oeil des hommes…
(Des rigolades). Je ne sais pas mais je sais que j’ai trouvé le prince charmant.
Depuis quand?
Il n’y a pas longtemps, mais je sais que c’est le bon, il a toutes les qualités que j’adore.
Parfait?
Non, la perfection n’existe pas mais j’aime sa façon d’être.
Une mauvaise nouvelles pour les éventuels candidats?
Oui, effectivement.
Le mariage est-il alors à l’ordre du jour?
C’est un peu prématuré d’en parler mais vous serez les premiers invités.
Source: Icone mag’