Selon le maire de Dakar, le pouvoir se trouve dans une situation d’inquiétude depuis les évènements du 23 et 27 juin 2011. « Nos amis du pouvoir sont entrés dans une période d’inquiétude. Et à ce stade, il faut nécessairement discuter puisque s’il ne le fait pas c’est dangereux pour lui, mais le chef de l’Etat doit d’abord décrypter le message envoyé par le peuple sénégalais les 23 et 27 juin derniers ».
L’édile de la capitale sénégalaise de poursuivre pour rappeler la même situation en 1988 et en 1990 où le régime d’alors a appelé à discuter autour d’une table pour trouver une situation d’apaisement. « Le pays était presque dans la même situation en 1988 et en 1990, mais le régime d’alors a tout mis sur la table pour discuter avec tout le monde pour une sortie de crise », rappellele chargé des affaires politiques du PS.
Khalifa Sall semble perplexe sur la question relative au problème de colistier de Wade. En réponse à un journaliste, il déclare : « Tu es plus informé que moi sur ce colistier. Le journaliste (Cheikh Yérim Seck, Ndlr) qui a écrit cela n’a même eu le soin de nous joindre avant la publication de l’article. Il n’a même pas contacté mon cabinet. De toute façon, j’ai la confiance des Dakarois pour qui je travaille pour satisfaire leurs besoins. Je ne suis pas un transhumant. Je serai pas un transhumant », déclare-t-il comme pour rassurer ses camarades du Parti socialiste.
Ferloo.com
L’édile de la capitale sénégalaise de poursuivre pour rappeler la même situation en 1988 et en 1990 où le régime d’alors a appelé à discuter autour d’une table pour trouver une situation d’apaisement. « Le pays était presque dans la même situation en 1988 et en 1990, mais le régime d’alors a tout mis sur la table pour discuter avec tout le monde pour une sortie de crise », rappellele chargé des affaires politiques du PS.
Khalifa Sall semble perplexe sur la question relative au problème de colistier de Wade. En réponse à un journaliste, il déclare : « Tu es plus informé que moi sur ce colistier. Le journaliste (Cheikh Yérim Seck, Ndlr) qui a écrit cela n’a même eu le soin de nous joindre avant la publication de l’article. Il n’a même pas contacté mon cabinet. De toute façon, j’ai la confiance des Dakarois pour qui je travaille pour satisfaire leurs besoins. Je ne suis pas un transhumant. Je serai pas un transhumant », déclare-t-il comme pour rassurer ses camarades du Parti socialiste.
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