Caurie micro finance est présente au Fouladou depuis 1996 comme d’abord projet tout au début. Cette institution financière est née de la volonté de deux institutions : catholic relief service une ONG américaine et l’église via la Caritas. De cette date à nos jours, l’institution financière de proximité s’est pleinement investie dans sa mission, celle d’accompagner des femmes dans la promotion des activités génératrices de revenues.
Pour atteindre la cible et mieux servir sa clientèle, Caurie a mis en place des groupes de bases organisées et réglementés appelés « bancs villageois », regroupant en moyenne 50 femmes issues de groupements communautaires. Un système organisationnel spécifique à Caurie fonctionnant sur la gestion participative et sur la caution solidaire, l’institution ne demandant aucune garantie. Il s’agit là, d’amener les femmes à épargner pendant 6 mois correspondant à la période du différé. Ainsi les crédits sont renouvelés et répartis de manières inégales conformément aux principes fixés par la micro finance (celles qui épargnent le plus, bénéficient des montants plus importants pouvant atteindre 200000 frs CFA voire plus pour chacune).
Cependant, l’impact de Caurie micro finance dans la localité reste encore peu visible sur le plan de la promotion des activités génératrices de revenues. Certaines personnes rencontrées dans les villages visités estiment même que cette institution financière de proximité leur a plongé dans une « pauvreté extrême ». « Nous somme vraiment fatigués Caurie nous a mis dans une situation de pauvreté accrue », dira Diénaba Baldé habitant de Saré Samba Lobé dans la communauté rurale de Bagadadji.
Continuant à se lamenter cette dernière de lancer un appel à ses paires pour rompre avec Caurie. Elle en veut pour preuve d’avoir vendu moutons, chèvres et bœufs. Et même nos vergers nous les mettons au troc, rien que pour s’acquitter de la dette. Embouchant la même trompette, celles autres trouvées à Saré Sandiong ont déploré le manque de respect des agents de crédits à leurs égards.
A ce sujet, l’association des jeunes intellectuels de la localité de dire « nous ne nous laisserons pas être intimidés par Caurie. Nous sommes au courant de tout ce qui se passe et les attendons à pieds fermes ». Ces jeunes garçons disent ne plus accepter à ce qu’une femme soit transportée jusqu’à Kolda dans des conditions ignobles, ne se reste que pour le respect de la dignité humaine.
Saisi sur ces accusations à tort ou à raison, le chef d’agence de Caurie micro finance balaie tout d’un revers de main. « Ce sont des personnes males intentionnées et insouciants au développement local qui l’affirment », martèlera t il. Et monsieur Diédhiou de poursuivre que ladite institution financière ne peut être reprochée de rien dans la localité. « Nous sommes une micro finance qui a le taux d’intérêt le plus bas dans la région (10 pour cent pour un différé de 6 mois).
Caurie est également la seule institution financière dans la région qui forme ses potentiels clients sur la gestion des micro entreprenariats avant d’attribuer des prêts à quiconque ». Très convaincu de la marche de l’institution financière, monsieur Diédhiou dira que l’échec de certains de leurs clients se trouve sur le détournement d’objectif. En réalité se sont les hommes, pas tout le monde bien sure qui s’accaparent des mains de leurs épouses les financements accordés pour des fins vraiment très inutiles ( le plus souvent épouser une seconde épouse où satisfaire une copine quelque part ».
Des propos qui recoupent d’avec ceux de Amadou Baldé rencontré à Médina guiro yéro qui tout en louant leur collaboration avec Caurie, avait mentionné que se sont « les Hommes qui fatigues les femmes ». Au moment ou la promotion économique de la femme préoccupe tous les gouvernants du monde particulièrement dans les pays en voie de développement, des mesures sévères doivent être prises à l’encontre de ces hommes qui vivent sur le dos de leurs épouses par le détournement de fonds alloués aux femmes pour le développement des activités génératrices de revenues. Et là, se sont les autorités administratives qui sont les premières à être interpellés. Ceci, pour permettre aux accompagnateurs (Caurie et autres institutions financières de proximité), d’atteindre leurs objectifs et le Sénégal, les objectifs du millénaire pour le développement (OMD) à l’horizon 2015.
Bocar Kandé
Pour atteindre la cible et mieux servir sa clientèle, Caurie a mis en place des groupes de bases organisées et réglementés appelés « bancs villageois », regroupant en moyenne 50 femmes issues de groupements communautaires. Un système organisationnel spécifique à Caurie fonctionnant sur la gestion participative et sur la caution solidaire, l’institution ne demandant aucune garantie. Il s’agit là, d’amener les femmes à épargner pendant 6 mois correspondant à la période du différé. Ainsi les crédits sont renouvelés et répartis de manières inégales conformément aux principes fixés par la micro finance (celles qui épargnent le plus, bénéficient des montants plus importants pouvant atteindre 200000 frs CFA voire plus pour chacune).
Cependant, l’impact de Caurie micro finance dans la localité reste encore peu visible sur le plan de la promotion des activités génératrices de revenues. Certaines personnes rencontrées dans les villages visités estiment même que cette institution financière de proximité leur a plongé dans une « pauvreté extrême ». « Nous somme vraiment fatigués Caurie nous a mis dans une situation de pauvreté accrue », dira Diénaba Baldé habitant de Saré Samba Lobé dans la communauté rurale de Bagadadji.
Continuant à se lamenter cette dernière de lancer un appel à ses paires pour rompre avec Caurie. Elle en veut pour preuve d’avoir vendu moutons, chèvres et bœufs. Et même nos vergers nous les mettons au troc, rien que pour s’acquitter de la dette. Embouchant la même trompette, celles autres trouvées à Saré Sandiong ont déploré le manque de respect des agents de crédits à leurs égards.
A ce sujet, l’association des jeunes intellectuels de la localité de dire « nous ne nous laisserons pas être intimidés par Caurie. Nous sommes au courant de tout ce qui se passe et les attendons à pieds fermes ». Ces jeunes garçons disent ne plus accepter à ce qu’une femme soit transportée jusqu’à Kolda dans des conditions ignobles, ne se reste que pour le respect de la dignité humaine.
Saisi sur ces accusations à tort ou à raison, le chef d’agence de Caurie micro finance balaie tout d’un revers de main. « Ce sont des personnes males intentionnées et insouciants au développement local qui l’affirment », martèlera t il. Et monsieur Diédhiou de poursuivre que ladite institution financière ne peut être reprochée de rien dans la localité. « Nous sommes une micro finance qui a le taux d’intérêt le plus bas dans la région (10 pour cent pour un différé de 6 mois).
Caurie est également la seule institution financière dans la région qui forme ses potentiels clients sur la gestion des micro entreprenariats avant d’attribuer des prêts à quiconque ». Très convaincu de la marche de l’institution financière, monsieur Diédhiou dira que l’échec de certains de leurs clients se trouve sur le détournement d’objectif. En réalité se sont les hommes, pas tout le monde bien sure qui s’accaparent des mains de leurs épouses les financements accordés pour des fins vraiment très inutiles ( le plus souvent épouser une seconde épouse où satisfaire une copine quelque part ».
Des propos qui recoupent d’avec ceux de Amadou Baldé rencontré à Médina guiro yéro qui tout en louant leur collaboration avec Caurie, avait mentionné que se sont « les Hommes qui fatigues les femmes ». Au moment ou la promotion économique de la femme préoccupe tous les gouvernants du monde particulièrement dans les pays en voie de développement, des mesures sévères doivent être prises à l’encontre de ces hommes qui vivent sur le dos de leurs épouses par le détournement de fonds alloués aux femmes pour le développement des activités génératrices de revenues. Et là, se sont les autorités administratives qui sont les premières à être interpellés. Ceci, pour permettre aux accompagnateurs (Caurie et autres institutions financières de proximité), d’atteindre leurs objectifs et le Sénégal, les objectifs du millénaire pour le développement (OMD) à l’horizon 2015.
Bocar Kandé