En fait, pour l’instance dirigeante du parti de Moustapha Niasse, le gouvernement du président Abdoulaye Wade fait fi des lois et règlements du pays. Mais ce qui semble le plus inquiéter les progressistes, c’est « le projet d’un montant de 25 milliards de francs Cfa destiné avant tout à violer les libertés et l’intimité des Sénégalais, par un système d’écoutes téléphoniques plus sophistiqué ».
Pis, si l’on en croit les progressistes, ce « système d’écoute sophistiqué » sera non pas au service de la République, mais pour gérer « les intérêts privés d’un groupuscule décidé à poursuivre l’exécution de son projet monarchique insensé ». Allusion faite à l’intention prêtée à Abdoulaye Wade de se faire succéder par son fils.
Revenant sur le « manque de fiabilité » du système électoral, l’Afp note que « notre démocratie est mal-en-point, presque à l’agonie avec l’absence totale de la séparation des pouvoirs qui est illustrée, encore une fois, dès la phase de dépôt des listes de candidats, occasion saisie par certains éléments de l’administration territoriale manipulés par le Parti-Etat, pour se livrer à une délinquance électorale caractérisée et constatée par voie d’huissier, constat dont la réalité n’a pas été reconnue par la Cour d’Appel ». Suffisant pour demander que le ministère de l’Intérieur, maître d’œuvre des élections, soit remplacé par une Commission électorale nationale indépendante (Ceni)
source nettali
Pis, si l’on en croit les progressistes, ce « système d’écoute sophistiqué » sera non pas au service de la République, mais pour gérer « les intérêts privés d’un groupuscule décidé à poursuivre l’exécution de son projet monarchique insensé ». Allusion faite à l’intention prêtée à Abdoulaye Wade de se faire succéder par son fils.
Revenant sur le « manque de fiabilité » du système électoral, l’Afp note que « notre démocratie est mal-en-point, presque à l’agonie avec l’absence totale de la séparation des pouvoirs qui est illustrée, encore une fois, dès la phase de dépôt des listes de candidats, occasion saisie par certains éléments de l’administration territoriale manipulés par le Parti-Etat, pour se livrer à une délinquance électorale caractérisée et constatée par voie d’huissier, constat dont la réalité n’a pas été reconnue par la Cour d’Appel ». Suffisant pour demander que le ministère de l’Intérieur, maître d’œuvre des élections, soit remplacé par une Commission électorale nationale indépendante (Ceni)
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