«Le bras de fer que mène rageusement Wade contre les collectivités locales contrôlées par l’opposition patriotique, regroupées dans la coalition Bennoo Siggil Senegaal est l’expression achevée d’un homme aux abois, qui utilise, à outrance, tous les leviers de l’Etat pour asphyxier des adversaires qui ont eu le tord de le battre, lui et son fils, par le biais du suffrage universel», ont analysé Moustapha Niass et ses camarades dans un communiqué parvenu à la rédaction de Pressafrik.com.
Aussi, pensent les Progressistes estiment, «cette démarche est la manifestation du refus de Wade à reconnaître la défaite essuyée par sa liste à l’occasion des élections locales du 22 mars 2009».
C’est pourquoi les locataires de la Sicap Sacré-Cœur réitèrent que la position exprimée par Bennoo, le 16 septembre 2010, est la seule voie permettant de faire face à «l’offensive anti républicaine consistant à lancer un appel au dialogue, d’un côté et de l’autre à poser des actes d’abus de pouvoir et d’accusations non fondées, pour porter le discrédit sur des équipes d’élus «qui commencent, par le travail cohérent, à administrer la preuve qu’un autre mode de gouvernance, tout à fait à l’opposé de celui du régime PDS, peut changer le Sénégal et le conduire vers le développement».
Charles Thialice SENGHOR
pressafrik.com
Aussi, pensent les Progressistes estiment, «cette démarche est la manifestation du refus de Wade à reconnaître la défaite essuyée par sa liste à l’occasion des élections locales du 22 mars 2009».
C’est pourquoi les locataires de la Sicap Sacré-Cœur réitèrent que la position exprimée par Bennoo, le 16 septembre 2010, est la seule voie permettant de faire face à «l’offensive anti républicaine consistant à lancer un appel au dialogue, d’un côté et de l’autre à poser des actes d’abus de pouvoir et d’accusations non fondées, pour porter le discrédit sur des équipes d’élus «qui commencent, par le travail cohérent, à administrer la preuve qu’un autre mode de gouvernance, tout à fait à l’opposé de celui du régime PDS, peut changer le Sénégal et le conduire vers le développement».
Charles Thialice SENGHOR
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