« Les rideaux sont tombés. Le PDS et ses affidés ont tenu, le vendredi 21 novembre, leur meeting, dans le cadre des libertés que la Constitution du Sénégal consacre, à l’image de notre démocratie perçue dans le monde entier comme un exemple en Afrique et dans le Tiers-monde. Voilà pour la forme.
Cependant, les démocrates et les observateurs ont constaté comment Abdoulaye Wade, tel le coupable classique qui revient sur les lieux de son forfait, feint d’oublier les crimes de sang dans lesquels son parti et lui-même sont trempés ainsi que les innombrables crimes économiques qu’il a perpétrés avec ses complices, douze ans durant.
Grisé par sa foule «Ndiaga-Ndiaye» financée avec le butin de ceux qui déclaraient, en avril 2000, que leurs soucis d’argent étaient terminés, Wade, tel qu’en lui-même, s’est mis à suggérer un coup d’état par l’occupation du Palais de la République qui semble être une obsession morbide. Il a ensuite poursuivi son délire éveillé, en invitant le Chef de l’Etat à démissionner et en annonçant un avorton de comité de transition et des élections en 2015, poussant le ridicule jusqu’à fixer deux dates.
Voilà donc un Monsieur qui, il y a à peine une trentaine de mois, a été désavoué et sanctionné par le peuple souverain qui a choisi librement le candidat Macky Sall, en lui octroyant plus de 65% des suffrages exprimés, dans la transparence. D’où Monsieur Wade tire t-il donc cette légitimité qui lui permet de prétendre mettre sous le boisseau les Institutions de la République et la volonté populaire ?
Dévoilant, malgré lui, ses motivations profondes, il s’est ensuite livré à un marchandage sordide pour, croit-il, libérer son fils et ses co-inculpés, par la rue. L’on savait que Monsieur Wade se trompe de pays et d’époque, mais sa piètre prestation révèle au grand jour qu’il est devenu un véritable cas clinique.
En tout état de cause, l’irresponsabilité des propos de Monsieur Wade est incompatible avec l’Etat de droit, la démocratie et les rites de la République qu’il a ignorés, en déclinant l’élégante invitation du Président Macky Sall au XVème Sommet de la Francophonie.
L’AFP dénonce, avec la dernière énergie, les velléités putschistes d’un quasi centenaire, de surcroit ancien Chef d’Etat, prisonnier de ses propres ruses et fantasmes, asphyxié par un narcissisme sans limite qui l’empêche d’assumer la situation qu’il a lui-même créée, avec une arrogance inouïe.
L’AFP tient à affirmer, avec la plus grande solennité, qu’elle ne permettra jamais que les acquis démocratiques de notre peuple soient menacés, encore moins par un clan familial qui doit rendre compte de sa gestion, comme dans toutes les démocraties modernes. »
Cependant, les démocrates et les observateurs ont constaté comment Abdoulaye Wade, tel le coupable classique qui revient sur les lieux de son forfait, feint d’oublier les crimes de sang dans lesquels son parti et lui-même sont trempés ainsi que les innombrables crimes économiques qu’il a perpétrés avec ses complices, douze ans durant.
Grisé par sa foule «Ndiaga-Ndiaye» financée avec le butin de ceux qui déclaraient, en avril 2000, que leurs soucis d’argent étaient terminés, Wade, tel qu’en lui-même, s’est mis à suggérer un coup d’état par l’occupation du Palais de la République qui semble être une obsession morbide. Il a ensuite poursuivi son délire éveillé, en invitant le Chef de l’Etat à démissionner et en annonçant un avorton de comité de transition et des élections en 2015, poussant le ridicule jusqu’à fixer deux dates.
Voilà donc un Monsieur qui, il y a à peine une trentaine de mois, a été désavoué et sanctionné par le peuple souverain qui a choisi librement le candidat Macky Sall, en lui octroyant plus de 65% des suffrages exprimés, dans la transparence. D’où Monsieur Wade tire t-il donc cette légitimité qui lui permet de prétendre mettre sous le boisseau les Institutions de la République et la volonté populaire ?
Dévoilant, malgré lui, ses motivations profondes, il s’est ensuite livré à un marchandage sordide pour, croit-il, libérer son fils et ses co-inculpés, par la rue. L’on savait que Monsieur Wade se trompe de pays et d’époque, mais sa piètre prestation révèle au grand jour qu’il est devenu un véritable cas clinique.
En tout état de cause, l’irresponsabilité des propos de Monsieur Wade est incompatible avec l’Etat de droit, la démocratie et les rites de la République qu’il a ignorés, en déclinant l’élégante invitation du Président Macky Sall au XVème Sommet de la Francophonie.
L’AFP dénonce, avec la dernière énergie, les velléités putschistes d’un quasi centenaire, de surcroit ancien Chef d’Etat, prisonnier de ses propres ruses et fantasmes, asphyxié par un narcissisme sans limite qui l’empêche d’assumer la situation qu’il a lui-même créée, avec une arrogance inouïe.
L’AFP tient à affirmer, avec la plus grande solennité, qu’elle ne permettra jamais que les acquis démocratiques de notre peuple soient menacés, encore moins par un clan familial qui doit rendre compte de sa gestion, comme dans toutes les démocraties modernes. »