Seydou Guèye a indiqué, par ailleurs, que l’APR va prendre des mesures pour sa propre sécurité. «L’APR mettra en place un dispositif sécuritaire apte à faire face aux défis que lui impose le pouvoir», a-t-il révélé.
Selon lui, «aujourd’hui, plus que jamais l’APR est sur ordre de bataille, même si, au nom de ses valeurs républicaines fondatrices, elle demeure respectueuse des lois et règlements en vigueur dans notre pays».
D’ailleurs, Macky Sall et ses camarades entendent «mutualiser» davantage ses forces avec celles des autres partis de la coalition Bennoo Siggil Senegaal, entre autres structures pour organiser la nécessaire résistance collective, pour lutter contre la volonté du pouvoir de bâillonner les libertés politiques et démocratiques, pour défendre la République et pour mobiliser les populations pour l’avènement d’un Sénégal nouveau.
Selon le porte-parole de l’APR, cette exigence est aujourd’hui «une urgence» au regard des impératifs de défense de la cause et des intérêts du peuple sénégalais. Aussi, a-t-i ajouté, à quelques mois de la décisive présidentielle du 26 février 2012, l’APR ne reculera devant rien. Cela, pour refuser la confiscation des suffrages citoyens par un pouvoir qui «a fait de l’usage de la violence son ultime recours et secours pour s’imposer à notre peuple».
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com
Selon lui, «aujourd’hui, plus que jamais l’APR est sur ordre de bataille, même si, au nom de ses valeurs républicaines fondatrices, elle demeure respectueuse des lois et règlements en vigueur dans notre pays».
D’ailleurs, Macky Sall et ses camarades entendent «mutualiser» davantage ses forces avec celles des autres partis de la coalition Bennoo Siggil Senegaal, entre autres structures pour organiser la nécessaire résistance collective, pour lutter contre la volonté du pouvoir de bâillonner les libertés politiques et démocratiques, pour défendre la République et pour mobiliser les populations pour l’avènement d’un Sénégal nouveau.
Selon le porte-parole de l’APR, cette exigence est aujourd’hui «une urgence» au regard des impératifs de défense de la cause et des intérêts du peuple sénégalais. Aussi, a-t-i ajouté, à quelques mois de la décisive présidentielle du 26 février 2012, l’APR ne reculera devant rien. Cela, pour refuser la confiscation des suffrages citoyens par un pouvoir qui «a fait de l’usage de la violence son ultime recours et secours pour s’imposer à notre peuple».
Charles Thialice SENGHOR pressafrik.com