L’organe compétent a été saisi du contenu de ce livre par des membres de la société civile et du secteur privé sénégalais, a précisé le directeur de l’ARMP, au cours de ‘’Grand Jury’’. Il a rappelé au cours de cette émission hebdomadaire de la Radio futurs médias (RFM) que la structure dont il est le directeur général n’a pas le pouvoir de s’autosaisir dans de tels cas.
Evoquant le profil des membres du conseil de régulation et du comité de règlement des différends de l’ARMP, Youssouph Sakho a dit que ‘’ce ne sont pas des personnes qui peuvent se débiner. Ça ne leur ressemble même pas’’.
Il a souligné que la société civile, le secteur privé et l’administration sont représentés au sein de ces différentes instances ‘’par des cadres de valeur’’. Ce qui fait que, selon lui, il est ‘’impossible de penser venir devant ces gens-là avec des arguments qui ne sont pas tirés du droit et de la logique’’.
Conformément aux normes en vigueur sur le plan international, ‘’l’ARMP peut être saisie par n’importe quel citoyen’’, s’est félicité son directeur général. ‘’Nous pouvons être saisis d’un recours introduit dans les formes requises, l’ARMP peut même être saisie par dénonciation anonyme’’, à partir du numéro vert ou de son portail électronique, a-t-il indiqué.
Journaliste et écrivain, Abdou Latif Coulibaly a présenté il y a quelques semaines à la presse son ouvrage intitulé ‘’Contes et mécomptes de l’ANOCI’’ (Editions L’Harmattan et Sentinelle). Selon l’auteur, ce livre a été écrit sur la base de documents officiels, dont des procès-verbaux de réunion et le rapport du commissaire aux comptes de l’ANOCI.
Coulibaly a relevé, entre autres, 18 milliards de dépenses de fonctionnement, 26 milliards pour la réfection de l’hôtel Méridien Président, 8 milliards pour l’affrètement d’un paquebot-hôtel, 687 millions pour l’aménagement et l’équipement du bureau du Président du Conseil de surveillance, Karim Wade.
Dans cet ouvrage de 200 pages, le journaliste passe au peigne-fin les comptes de l’ANOCI et s’intéresse en particulier aux conditions d’attribution des marchés publics.
L’Agence nationale de l’Organisation de la Conférence islamique a été créée en juin 2004 pour coordonner notamment la construction d’infrastructures hôtelières et routières sur la Corniche Ouest à Dakar.
Evoquant le profil des membres du conseil de régulation et du comité de règlement des différends de l’ARMP, Youssouph Sakho a dit que ‘’ce ne sont pas des personnes qui peuvent se débiner. Ça ne leur ressemble même pas’’.
Il a souligné que la société civile, le secteur privé et l’administration sont représentés au sein de ces différentes instances ‘’par des cadres de valeur’’. Ce qui fait que, selon lui, il est ‘’impossible de penser venir devant ces gens-là avec des arguments qui ne sont pas tirés du droit et de la logique’’.
Conformément aux normes en vigueur sur le plan international, ‘’l’ARMP peut être saisie par n’importe quel citoyen’’, s’est félicité son directeur général. ‘’Nous pouvons être saisis d’un recours introduit dans les formes requises, l’ARMP peut même être saisie par dénonciation anonyme’’, à partir du numéro vert ou de son portail électronique, a-t-il indiqué.
Journaliste et écrivain, Abdou Latif Coulibaly a présenté il y a quelques semaines à la presse son ouvrage intitulé ‘’Contes et mécomptes de l’ANOCI’’ (Editions L’Harmattan et Sentinelle). Selon l’auteur, ce livre a été écrit sur la base de documents officiels, dont des procès-verbaux de réunion et le rapport du commissaire aux comptes de l’ANOCI.
Coulibaly a relevé, entre autres, 18 milliards de dépenses de fonctionnement, 26 milliards pour la réfection de l’hôtel Méridien Président, 8 milliards pour l’affrètement d’un paquebot-hôtel, 687 millions pour l’aménagement et l’équipement du bureau du Président du Conseil de surveillance, Karim Wade.
Dans cet ouvrage de 200 pages, le journaliste passe au peigne-fin les comptes de l’ANOCI et s’intéresse en particulier aux conditions d’attribution des marchés publics.
L’Agence nationale de l’Organisation de la Conférence islamique a été créée en juin 2004 pour coordonner notamment la construction d’infrastructures hôtelières et routières sur la Corniche Ouest à Dakar.