Cette réunion a été une occasion pour les industriels d’exposer les problèmes qui les assaillent et menacent sérieusement la survie de leurs entreprises. Lesdites difficultés sont notamment liées, selon eux, aux importations massives de produits qui envahissent le marché local et risquent d’entraîner la fermeture de leurs usines.
Pour ces industriels (filières tomate, savonnerie, piles électriques, biscuiterie, huiles, sucre, papeterie, etc.,), la concurrence féroce et difficilement soutenable des produits étrangers a fini de faire baisser de manière considérable leurs chiffres d’affaires et leurs effectifs en termes d’employés.
Ces opérateurs économiques ont reconnu les maints efforts consentis par les Douanes dans la lutte contre la fraude et la contrefaçon pour la sauvegarde de leurs industries.
Toutefois, ils en appellent à un soutien encore plus intense en raison de la taille des écueils auxquels ils font face.
La Direction générale des Douanes (DGD), après avoir attentivement écouté les doléances de ses hôtes, envisage, sous l’impulsion des autorités du ministère de l’Economie et des Finances et en collaboration avec celui du commerce, un certain nombre de mesures pour soutenir l’industrie locale.
Ces mesures ont pour noms, entre autres : la lutte contre la fraude par le renforcement de la surveillance et du contrôle des marchandises au niveau des brigades, bureaux et postes des douanes.
Des actions pratiques comme l’étiquetage des produits destinés au marché sénégalais, l’application stricte des normes, la révision des prix de déclenchement de certains produits ainsi que l’application d’une taxe conjoncturelle à l’importation (TCI) à certains produits et une utilisation plus judicieuse des déclarations d’importation de produits alimentaires (DIPA) ont été recommandées lors des échanges afin de mieux défendre les intérêts de l’industrie locale.
Toutes ces actions devront, bien entendu, rester conformes aux lois et règlements communautaires (UEMOA, CEDEAO, notamment).
Il a été demandé aussi aux industriels locaux de renforcer leurs relations, dans la mesure du possible, pour mieux résister à la concurrence des produits étrangers.
En outre, l’idée de l’instauration d’une structure de veille et d’anticipation alimentée en informations a été retenue pour un meilleur suivi de l’action en faveur d’une embellie du secteur secondaire sénégalais.
Le Directeur général a rappelé l’importance des recettes mais a insisté sur la mission économique encore plus cruciale des Douanes. Les industriels s’engagent aussi à mieux appuyer l’Administration des Douanes dans le cadre de la lutte contre la fraude.
Dans le cadre du partenariat Douanes-Entreprise, la DGD va poursuivre ses visites d’usines qui entrent Dans la même optique, une « Journée de l’Entreprise » initiée par le Comité du partenariat Douanes –Entreprise (CPDE) est prévue ce jeudi 7 novembre 2013 sous le thème : « « Renforcer la compétitivité de l’entreprise par la dématérialisation des procédures du commerce extérieur ».
D’ores et déjà un Programme de partenaires privilégiés (PPP) a été instauré pour encourager les entreprises vertueuses et respectueuses de la réglementation douanière en vue accroître leur compétitivité.
Pour ces industriels (filières tomate, savonnerie, piles électriques, biscuiterie, huiles, sucre, papeterie, etc.,), la concurrence féroce et difficilement soutenable des produits étrangers a fini de faire baisser de manière considérable leurs chiffres d’affaires et leurs effectifs en termes d’employés.
Ces opérateurs économiques ont reconnu les maints efforts consentis par les Douanes dans la lutte contre la fraude et la contrefaçon pour la sauvegarde de leurs industries.
Toutefois, ils en appellent à un soutien encore plus intense en raison de la taille des écueils auxquels ils font face.
La Direction générale des Douanes (DGD), après avoir attentivement écouté les doléances de ses hôtes, envisage, sous l’impulsion des autorités du ministère de l’Economie et des Finances et en collaboration avec celui du commerce, un certain nombre de mesures pour soutenir l’industrie locale.
Ces mesures ont pour noms, entre autres : la lutte contre la fraude par le renforcement de la surveillance et du contrôle des marchandises au niveau des brigades, bureaux et postes des douanes.
Des actions pratiques comme l’étiquetage des produits destinés au marché sénégalais, l’application stricte des normes, la révision des prix de déclenchement de certains produits ainsi que l’application d’une taxe conjoncturelle à l’importation (TCI) à certains produits et une utilisation plus judicieuse des déclarations d’importation de produits alimentaires (DIPA) ont été recommandées lors des échanges afin de mieux défendre les intérêts de l’industrie locale.
Toutes ces actions devront, bien entendu, rester conformes aux lois et règlements communautaires (UEMOA, CEDEAO, notamment).
Il a été demandé aussi aux industriels locaux de renforcer leurs relations, dans la mesure du possible, pour mieux résister à la concurrence des produits étrangers.
En outre, l’idée de l’instauration d’une structure de veille et d’anticipation alimentée en informations a été retenue pour un meilleur suivi de l’action en faveur d’une embellie du secteur secondaire sénégalais.
Le Directeur général a rappelé l’importance des recettes mais a insisté sur la mission économique encore plus cruciale des Douanes. Les industriels s’engagent aussi à mieux appuyer l’Administration des Douanes dans le cadre de la lutte contre la fraude.
Dans le cadre du partenariat Douanes-Entreprise, la DGD va poursuivre ses visites d’usines qui entrent Dans la même optique, une « Journée de l’Entreprise » initiée par le Comité du partenariat Douanes –Entreprise (CPDE) est prévue ce jeudi 7 novembre 2013 sous le thème : « « Renforcer la compétitivité de l’entreprise par la dématérialisation des procédures du commerce extérieur ».
D’ores et déjà un Programme de partenaires privilégiés (PPP) a été instauré pour encourager les entreprises vertueuses et respectueuses de la réglementation douanière en vue accroître leur compétitivité.