Le Bureau politique de l’AFP qui s’est réuni cet après midi se dit indigné par la fuite en avant inquiétante du régime en place qui, après l’avalanche de scandales financiers, est incapable de se ressaisir pour gérer, avec méthode et organisation, les dossiers prioritaires de notre pays. En effet les progressistes ne peuvent pas comprendre que l’affaire des 20 milliards de SUDATEL tombés, dans l’escarcelle du clan infernal n’ayant pas encore été élucidée par ceux-là mêmes qui ont négocié dans la pénombre, qu’une somme relevant du registre fantastique, 5.000 milliards, soit avancée dans le cadre d’une nébuleuse.
A ce stade, l’instance dirigeante de l’Afp estime qu’il est inutile d’attendre une quelconque amélioration de la gouvernance des Wade. « Comment peut-on comprendre, dans une République, que les principaux projets soient conçus, élaborés et négociés par une camarilla qui ignore royalement l’existence d’un ministre des Finances, des ministères techniques et de leurs services », s’interroge l’Afp ? Et pour Niasse et ses camarades, la liste des forfaitures est longue. « La liste des forfaitures est trop longue depuis dix ans, pour qu’on puisse accorder au régime en place l’excuse de l’incompétence ou du bénéfice du doute. Aujourd’hui, il apparaît clairement que le nœud gordien a pour noms affairisme et corruption, ce qui entraîne le raidissement des pseudo-libéraux qui parasitent, pour des raisons de survie, la vie démocratique du Sénégal et, naturellement, le mode de dévolution du pouvoir plombé par le besoin vital de couvrir des arrières, en confisquant la volonté populaire, par des fraudes électorales massives », ont-ils dit.
C’est, précisément, pour toutes ces raisons, soulignent les progressistes que « les Wade ne peuvent pas tolérer que les hommes de bien émergent au Sénégal et soient célébrés par la communauté internationale. Amadou Mahtar Mbow, Moustapha Niasse, Lamine Diack, Moussa Touré, Jacques Diouf, Ibrahima Fall, Serigne Mansour Sy Jamil, Bara Tall, Youssou Ndour pour ne citer que ces exemples, ont des points communs, en ce sens que dans leurs domaines de compétences respectives et dans les missions qui leur ont été confiées par la communauté des Nations, ils ont brillé de milles feux en portant très haut le flambeau de notre pays, avec talent, rigueur et élégance, le tout mu par une culture patriotique élevée. De surcroît, en portant les valeurs éternelles qui sont celles de notre peuple, ils sont devenus les ennemis publics des tenants du pouvoir qui rêvent de neutraliser ces hommes exemplaires et tous les patriotes ».
Evidemment, dans un tel contexte, il n’est pas étonnant aux yeux des progressistes que le gouvernement de Me Wade consacre l’essentiel de son temps à l’affairisme d’Etat et à la politique politicienne, en refusant de traiter sérieusement les vrais problèmes économiques de notre pays et la demande sociale qui assaille les populations ».
Auteur: Biram NDIAYE
A ce stade, l’instance dirigeante de l’Afp estime qu’il est inutile d’attendre une quelconque amélioration de la gouvernance des Wade. « Comment peut-on comprendre, dans une République, que les principaux projets soient conçus, élaborés et négociés par une camarilla qui ignore royalement l’existence d’un ministre des Finances, des ministères techniques et de leurs services », s’interroge l’Afp ? Et pour Niasse et ses camarades, la liste des forfaitures est longue. « La liste des forfaitures est trop longue depuis dix ans, pour qu’on puisse accorder au régime en place l’excuse de l’incompétence ou du bénéfice du doute. Aujourd’hui, il apparaît clairement que le nœud gordien a pour noms affairisme et corruption, ce qui entraîne le raidissement des pseudo-libéraux qui parasitent, pour des raisons de survie, la vie démocratique du Sénégal et, naturellement, le mode de dévolution du pouvoir plombé par le besoin vital de couvrir des arrières, en confisquant la volonté populaire, par des fraudes électorales massives », ont-ils dit.
C’est, précisément, pour toutes ces raisons, soulignent les progressistes que « les Wade ne peuvent pas tolérer que les hommes de bien émergent au Sénégal et soient célébrés par la communauté internationale. Amadou Mahtar Mbow, Moustapha Niasse, Lamine Diack, Moussa Touré, Jacques Diouf, Ibrahima Fall, Serigne Mansour Sy Jamil, Bara Tall, Youssou Ndour pour ne citer que ces exemples, ont des points communs, en ce sens que dans leurs domaines de compétences respectives et dans les missions qui leur ont été confiées par la communauté des Nations, ils ont brillé de milles feux en portant très haut le flambeau de notre pays, avec talent, rigueur et élégance, le tout mu par une culture patriotique élevée. De surcroît, en portant les valeurs éternelles qui sont celles de notre peuple, ils sont devenus les ennemis publics des tenants du pouvoir qui rêvent de neutraliser ces hommes exemplaires et tous les patriotes ».
Evidemment, dans un tel contexte, il n’est pas étonnant aux yeux des progressistes que le gouvernement de Me Wade consacre l’essentiel de son temps à l’affairisme d’Etat et à la politique politicienne, en refusant de traiter sérieusement les vrais problèmes économiques de notre pays et la demande sociale qui assaille les populations ».
Auteur: Biram NDIAYE