1. L'Allemagne frappe fort
Un peu décevante lors de son entrée en lice contre le Portugal, la Mannschaft a été impressionnante de facilité contre les Pays-Bas. Passé un premier quart d'heure où les "Oranje" ont tenté de les secouer, les Allemands ont mis le pied sur le ballon pour dominer la partie de la tête et des épaules. Schweinsteiger a fait ce qu'il voulait dans l'entrejeu tandis que Mario Gomez s'est régalé en plantant deux roses. Après la réduction du score de Van Persie, on a cru que les Sneijder, Van der Vaart ou Robben allaient appuyer sur le champignon mais il n'en fut rien. Désignée comme favorite de la compétition, l'Allemagne a pleinement justifié son statut. Cette équipe-là, très équilibrée et compétitive dans tous les secteurs de jeu, il va falloir aller la chercher... d'autant qu'elle semble encore pouvoir monter dans les tours.
2. La défense hollandaise à la rue
Van der Wiel-Heitinga-Mathijssen-Willems : avouons que, sur papier, cette défense n'a rien de très impressionnant. Là où les Allemands proposent peut-être le meilleur quatuor défensif du tournoi (Hummels, Boateng ou Lahm ont encore été excellents), les Hollandais ont affiché toutes leurs lacunes face à la vitesse d'exécution adverse. Jetro Willems, plus jeune joueur de l'histoire de l'Euro à 18 ans, a vécu une soirée cauchemardesque face au remuant Müller. Et que dire de l'axe central, Heitinga-Mathijssen, complètement roulé dans la farine sur les deux buts de Gomez. Finalement, la possible (ou probable) élimination des Hollandais est-elle vraiment une surprise?
3. Mario Gomez meilleur buteur ?
"Super Mario" a donc encore frappé deux fois. L'attaquant du Bayern Munich occupe désormais la tête du classement des buteurs avec 3 buts (ex-aequo avec le Russe Dzagoev) et quelque chose nous dit qu'il ne va pas s'arrêter en si bon chemin. Le numéro 23 de la Mannschaft a étalé toute sa classe et son sens du but, dans la lignée de ce qu'il a montré ces derniers mois en Bundesliga. Quand on possède un avant-centre de sa trempe, capable de marquer sur ses rares possibilités, on peut résolument se montrer optimiste. Les adversaires sont prévenus.
SOURCE:7sur7.com
Un peu décevante lors de son entrée en lice contre le Portugal, la Mannschaft a été impressionnante de facilité contre les Pays-Bas. Passé un premier quart d'heure où les "Oranje" ont tenté de les secouer, les Allemands ont mis le pied sur le ballon pour dominer la partie de la tête et des épaules. Schweinsteiger a fait ce qu'il voulait dans l'entrejeu tandis que Mario Gomez s'est régalé en plantant deux roses. Après la réduction du score de Van Persie, on a cru que les Sneijder, Van der Vaart ou Robben allaient appuyer sur le champignon mais il n'en fut rien. Désignée comme favorite de la compétition, l'Allemagne a pleinement justifié son statut. Cette équipe-là, très équilibrée et compétitive dans tous les secteurs de jeu, il va falloir aller la chercher... d'autant qu'elle semble encore pouvoir monter dans les tours.
2. La défense hollandaise à la rue
Van der Wiel-Heitinga-Mathijssen-Willems : avouons que, sur papier, cette défense n'a rien de très impressionnant. Là où les Allemands proposent peut-être le meilleur quatuor défensif du tournoi (Hummels, Boateng ou Lahm ont encore été excellents), les Hollandais ont affiché toutes leurs lacunes face à la vitesse d'exécution adverse. Jetro Willems, plus jeune joueur de l'histoire de l'Euro à 18 ans, a vécu une soirée cauchemardesque face au remuant Müller. Et que dire de l'axe central, Heitinga-Mathijssen, complètement roulé dans la farine sur les deux buts de Gomez. Finalement, la possible (ou probable) élimination des Hollandais est-elle vraiment une surprise?
3. Mario Gomez meilleur buteur ?
"Super Mario" a donc encore frappé deux fois. L'attaquant du Bayern Munich occupe désormais la tête du classement des buteurs avec 3 buts (ex-aequo avec le Russe Dzagoev) et quelque chose nous dit qu'il ne va pas s'arrêter en si bon chemin. Le numéro 23 de la Mannschaft a étalé toute sa classe et son sens du but, dans la lignée de ce qu'il a montré ces derniers mois en Bundesliga. Quand on possède un avant-centre de sa trempe, capable de marquer sur ses rares possibilités, on peut résolument se montrer optimiste. Les adversaires sont prévenus.
SOURCE:7sur7.com