« Après Touba, Tivavouane, Ndiassane, Thiénaba, Niasséne, Médina Baye, Famille Omarienne, etc., c’est par la Cité religieuse de Yoff Layéne, suivie du Clergé catholique, que Jamra a bouclé son périple auprès des familles religieuses du pays », précise le texte.
Après la visite « réussie » la semaine dernière chez le Khalife général des Layéne, Seydi Abdoulaye Thiaw, qui s’était félicité de la constance de Jamra « de toujours joindre l’acte à la parole », c’est ce lundi 09 janvier que le Clergé catholique a reçu la délégation de l’organisation Jamra. C’est le président exécutif, l’Imam Massamba Diop qui a conduit la délégation chez le Cardinal Théodore Adrien Sarr.
Entouré de ses plus proches collaborateurs (Abbé Léon Diouf, Abbé Alphonse Seck Vicaire général, Paul Sagna de Sida-service, etc.) à la Cathédrale de Dakar « Notre-Dame-des-Victoires », le président de la Conférence épiscopale a également félicité l’initiative de Jamra. Pour lui, « la paix constitue une préoccupation majeure également pour l’Eglise ».
Dans ses encouragements et saluts pour « la mission de pacification de Jamra », le Cardinal a tenu à suggérer à Jamra « d’exhorter les politiques à faire preuve de vigilance et de rigueur dans les promesses qu’ils font aux populations pendant le temps des campagne électorale ». L’Organisation Jamra compte boucler sa tournée par les politiques après celle des religieux.
Dans la cour des politiciens, Jamra compte les soumettre « systématiquement à chaque candidat à la Présidentielle une plateforme intitulée « les 20 mesures d’urgence de Jamra ».
Après avoir pris « positivement » acte de la pertinence de la recommandation de Jamra, le premier magistrat de l’Eglise catholique sénégalaise préconise que l’enseignement religieux dans les écoles ne soit plus « optionnelle », mais « obligatoire », avant de proposer qu’en lieu et place du terme « enseignement religieux », qu’on adopte plutôt la formule de « d’éducation religieuse ». Selon le texte, tant il est vrai que plus tôt les futurs citoyens sont moralement bien armés, mieux un pays aura de chance d’en faire de bons citoyens dans le futur.
Gata DORE
PressAfrik
Après la visite « réussie » la semaine dernière chez le Khalife général des Layéne, Seydi Abdoulaye Thiaw, qui s’était félicité de la constance de Jamra « de toujours joindre l’acte à la parole », c’est ce lundi 09 janvier que le Clergé catholique a reçu la délégation de l’organisation Jamra. C’est le président exécutif, l’Imam Massamba Diop qui a conduit la délégation chez le Cardinal Théodore Adrien Sarr.
Entouré de ses plus proches collaborateurs (Abbé Léon Diouf, Abbé Alphonse Seck Vicaire général, Paul Sagna de Sida-service, etc.) à la Cathédrale de Dakar « Notre-Dame-des-Victoires », le président de la Conférence épiscopale a également félicité l’initiative de Jamra. Pour lui, « la paix constitue une préoccupation majeure également pour l’Eglise ».
Dans ses encouragements et saluts pour « la mission de pacification de Jamra », le Cardinal a tenu à suggérer à Jamra « d’exhorter les politiques à faire preuve de vigilance et de rigueur dans les promesses qu’ils font aux populations pendant le temps des campagne électorale ». L’Organisation Jamra compte boucler sa tournée par les politiques après celle des religieux.
Dans la cour des politiciens, Jamra compte les soumettre « systématiquement à chaque candidat à la Présidentielle une plateforme intitulée « les 20 mesures d’urgence de Jamra ».
Après avoir pris « positivement » acte de la pertinence de la recommandation de Jamra, le premier magistrat de l’Eglise catholique sénégalaise préconise que l’enseignement religieux dans les écoles ne soit plus « optionnelle », mais « obligatoire », avant de proposer qu’en lieu et place du terme « enseignement religieux », qu’on adopte plutôt la formule de « d’éducation religieuse ». Selon le texte, tant il est vrai que plus tôt les futurs citoyens sont moralement bien armés, mieux un pays aura de chance d’en faire de bons citoyens dans le futur.
Gata DORE
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