"La priorité pour le gouvernement, c’est de trouver un emploi décent et durable à ceux-là qui ne sont pas qualifiés et qui ont quitté l’école en sachant juste lire et écrire", a dit M. Niang lors de la cérémonie de clôture d’un "camp de vacances" de l’Association des élèves et étudiants musulmans du Sénégal (AEEMS).
"Prés de 42 pour cent des jeunes demandeurs d’emplois sont dépourvus de qualification professionnelle", a signalé Mame Mbaye Niang, expliquant que "c’est la faute à un enseignement universitaire trop général".
Il estime que "l’enseignement dispensé dans les universités sénégalaises doit être réformé", car il "ne permet pas aux diplômés d’être opérationnels" sur le marché du travail. "
"Entre l’école élémentaire et l’université, ce sont près de 310 mille jeunes qui abandonnent leur scolarisation, sans diplôme professionnel. Et il faut les insérer dans la vie professionnelle", a poursuivi Mame Mbaye Niang.
C’est à cette raison que l’Etat veut faire construire 17 lycées professionnels et deux nouvelles universités, l’une étant appelée à se spécialiser dans l’enseignement des métiers agricoles, et l’autre tournée vers les technologies de l’information et de la communication, selon M. Niang.
La construction de ces deux universités va coûter 120 milliards de francs CFA, qui seront tirés du Budget consolidé d’investissement (BCI), a-t-il précisé.
APS
"Prés de 42 pour cent des jeunes demandeurs d’emplois sont dépourvus de qualification professionnelle", a signalé Mame Mbaye Niang, expliquant que "c’est la faute à un enseignement universitaire trop général".
Il estime que "l’enseignement dispensé dans les universités sénégalaises doit être réformé", car il "ne permet pas aux diplômés d’être opérationnels" sur le marché du travail. "
"Entre l’école élémentaire et l’université, ce sont près de 310 mille jeunes qui abandonnent leur scolarisation, sans diplôme professionnel. Et il faut les insérer dans la vie professionnelle", a poursuivi Mame Mbaye Niang.
C’est à cette raison que l’Etat veut faire construire 17 lycées professionnels et deux nouvelles universités, l’une étant appelée à se spécialiser dans l’enseignement des métiers agricoles, et l’autre tournée vers les technologies de l’information et de la communication, selon M. Niang.
La construction de ces deux universités va coûter 120 milliards de francs CFA, qui seront tirés du Budget consolidé d’investissement (BCI), a-t-il précisé.
APS