Le phénomène de «l'immolationmania» inspirerait certains individus qui veulent s'illustrer tristement, au regard des derniers développements de la série de suicides qui défraie la chronique. En effet, après le déficient mental Adama Bocoum (il aurait d'ailleurs été transféré, hier, à l'hôpital psychiatrique de Thiaroye), ce fut hier au tour d'un autre individu, ne jouissant pas de toutes ses facultés mentales, de s'illustrer et comment.
À en croire nos sources, c'est aux environs de 15h30mn, hier, que le bonhomme muni d'un Coran bien tenu dans sa main a enjambé la grille entourant le rond-point, avant d’enfourcher la statue du cheval «Malaw». De ce poste, rapportent nos sources, il a vivement menacé de mettre un terme à sa vie, non en s'immolant, mais plutôt«en se jetant du haut de sa position, soutiennent nos interlocuteurs. Agé d'une trentaine d'années environ, l'homme a été décrit par nos sources comme ne jouissant vraiment pas de toutes ses facultés mentales, au regard de ses faits et gestes. N'empêche qu'il a fallu «des négociations fermes, pour convaincre le monsieur à surseoir à son projet et à revenir à la raison», indiquent nos sources. Des négociations qui, ajoutent-elles, ont finalement porté leurs fruits puisque «l'homme au Coran» a finalement décidé de ne pas passer à l'acte.
C’est ensuite, précisent nos sources, qu’il a tout bonnement vidé les lieux, son Coran en main. «Il ne pouvait nullement pas être arrêté et soumis à une poursuite pénale, vu que le fait de se suicider ou de vouloir le faire ne constitue pas un délit», ont argué nos interlocuteurs.
Abdoulaye DIÉDHIOU le populaire
À en croire nos sources, c'est aux environs de 15h30mn, hier, que le bonhomme muni d'un Coran bien tenu dans sa main a enjambé la grille entourant le rond-point, avant d’enfourcher la statue du cheval «Malaw». De ce poste, rapportent nos sources, il a vivement menacé de mettre un terme à sa vie, non en s'immolant, mais plutôt«en se jetant du haut de sa position, soutiennent nos interlocuteurs. Agé d'une trentaine d'années environ, l'homme a été décrit par nos sources comme ne jouissant vraiment pas de toutes ses facultés mentales, au regard de ses faits et gestes. N'empêche qu'il a fallu «des négociations fermes, pour convaincre le monsieur à surseoir à son projet et à revenir à la raison», indiquent nos sources. Des négociations qui, ajoutent-elles, ont finalement porté leurs fruits puisque «l'homme au Coran» a finalement décidé de ne pas passer à l'acte.
C’est ensuite, précisent nos sources, qu’il a tout bonnement vidé les lieux, son Coran en main. «Il ne pouvait nullement pas être arrêté et soumis à une poursuite pénale, vu que le fait de se suicider ou de vouloir le faire ne constitue pas un délit», ont argué nos interlocuteurs.
Abdoulaye DIÉDHIOU le populaire