’L’ONAS n’intervient que dans les zones pourvues de réseau d’évacuation des eaux usées. Et il se trouve que ce n’est pas toute la région de Dakar qui est dotée de réseau. Notre réseau se limite principalement au niveau de Dakar-ville et de Rufisque’’, a souligné M. Dieng dans une interview publiée, samedi, par le quotidien privé l’As.
En dehors de Dakar, l’ONAS a également des réseaux dans les villes de Saint-Louis, Louga, Kaolack, et tout récemment à Thiès, a précisé son directeur général qui répondait à une question relative aux inondations consécutives aux fortes pluies de ces derniers jours.
‘’L’ONAS, pour le moment, n’intervient pas dans la banlieue, parce que nous n’y avons pas de réseau’’, a insisté Amadou Lamine Dieng.
Prié de s’expliquer sur les problèmes rencontrés à Dakar pour évacuer les eaux usées, M. Dieng a indiqué qu’ils sont dus à la ‘’vétusté du réseau qui date des années 60’’. Ensuite, a-t-il dit, il ya le ‘’problème du sous-dimensionnement’’.
‘’C’est ce qui pose d’ailleurs tous ces problèmes d’évacuation que nous connaissons. Je donne un exemple un exemple banal, concernant l’évacuation des eaux usées,. Pour une maison qui était prévue pour dix habitants, elle est aujourd’hui transformée en R+5, R+6. et là où on avait prévu un écoulement, ce sont 50 à 100 personnes qui l’utilisent. Ce qui fait que le réseau est surchargé’’, a expliqué le DG de l’ONAS.
Amadou Lamine Dieng a en outre, rappelé que l’ONAS n’a pas attendu l’hivernage pour commencer le travail de lutte contre les inondations. ‘’Nous avons une opération pré-hivernal qui a commencé au mois de mars’’, a-t-il précisé.
Et annonce un important programme pour Pikine Le directeur général de l’Office national de l’assainissement du Sénégal (ONAS) annonce le démarrage prochain d’un ‘’important’’ programme d’assainissement de la ville de Pikine, grâce à un financement de 7 milliards de francs de la Banque arabe pour le développement de l’Afrique (BADEA).
‘’Au niveau de la banlieue, nous allons bientôt démarrer un important programme d’assainissement de la vile de Pikine. Cela grâce à un financement de presque 7 milliards obtenus récemment de la Banque arabe pour le développement de l’Afrique’’, a dit Amadou Lamine Dieng dont les propos ont été rapportés, samedi, par le quotidien privé l’As.
‘’Nous avons lancé les appels d’offres et nous connaissons les entreprises qui doivent réaliser ces travaux nous sommes à la phase de signature de contrat. Pour Pikine, nous allons mettre pas moins de 20 km de réseau, deux grandes stations de pompage. Ce qui permettra d’atténuer les inondations’’, a expliqué le DG de l’ONAS.
‘’C’est également le cas pour une partie de Thiaroye où vous avez pu constater les importants travaux d’assainissement que l’AATR (Agence autonome des travaux routiers) est en train de réaliser le long de la route nationale’’, a rappelé M. Dieng.
Il a assuré que ces travaux ‘’seront complétés par les investissements réalisés par l’ONAS, et pour lesquels les financements sont obtenus de la BADEA.
A Guédiawaye, a-t-il poursuivi, plus précisément à Sam Notaire, des investissements sont prévus dans le cadre de la coopération décentralisée. ‘’Au Parcelles Assainies, nous avons un vaste programme d’évacuation des eaux usées de l’Unité 1 à l’Unité 26’’, a dit M. Dieng répondant à une question sur ce que la société qu’il dirige compte faire dans les quartiers de la banlieue dakaroise en proie à des inondations consécutives aux fortes pluies.
Aps
En dehors de Dakar, l’ONAS a également des réseaux dans les villes de Saint-Louis, Louga, Kaolack, et tout récemment à Thiès, a précisé son directeur général qui répondait à une question relative aux inondations consécutives aux fortes pluies de ces derniers jours.
‘’L’ONAS, pour le moment, n’intervient pas dans la banlieue, parce que nous n’y avons pas de réseau’’, a insisté Amadou Lamine Dieng.
Prié de s’expliquer sur les problèmes rencontrés à Dakar pour évacuer les eaux usées, M. Dieng a indiqué qu’ils sont dus à la ‘’vétusté du réseau qui date des années 60’’. Ensuite, a-t-il dit, il ya le ‘’problème du sous-dimensionnement’’.
‘’C’est ce qui pose d’ailleurs tous ces problèmes d’évacuation que nous connaissons. Je donne un exemple un exemple banal, concernant l’évacuation des eaux usées,. Pour une maison qui était prévue pour dix habitants, elle est aujourd’hui transformée en R+5, R+6. et là où on avait prévu un écoulement, ce sont 50 à 100 personnes qui l’utilisent. Ce qui fait que le réseau est surchargé’’, a expliqué le DG de l’ONAS.
Amadou Lamine Dieng a en outre, rappelé que l’ONAS n’a pas attendu l’hivernage pour commencer le travail de lutte contre les inondations. ‘’Nous avons une opération pré-hivernal qui a commencé au mois de mars’’, a-t-il précisé.
Et annonce un important programme pour Pikine Le directeur général de l’Office national de l’assainissement du Sénégal (ONAS) annonce le démarrage prochain d’un ‘’important’’ programme d’assainissement de la ville de Pikine, grâce à un financement de 7 milliards de francs de la Banque arabe pour le développement de l’Afrique (BADEA).
‘’Au niveau de la banlieue, nous allons bientôt démarrer un important programme d’assainissement de la vile de Pikine. Cela grâce à un financement de presque 7 milliards obtenus récemment de la Banque arabe pour le développement de l’Afrique’’, a dit Amadou Lamine Dieng dont les propos ont été rapportés, samedi, par le quotidien privé l’As.
‘’Nous avons lancé les appels d’offres et nous connaissons les entreprises qui doivent réaliser ces travaux nous sommes à la phase de signature de contrat. Pour Pikine, nous allons mettre pas moins de 20 km de réseau, deux grandes stations de pompage. Ce qui permettra d’atténuer les inondations’’, a expliqué le DG de l’ONAS.
‘’C’est également le cas pour une partie de Thiaroye où vous avez pu constater les importants travaux d’assainissement que l’AATR (Agence autonome des travaux routiers) est en train de réaliser le long de la route nationale’’, a rappelé M. Dieng.
Il a assuré que ces travaux ‘’seront complétés par les investissements réalisés par l’ONAS, et pour lesquels les financements sont obtenus de la BADEA.
A Guédiawaye, a-t-il poursuivi, plus précisément à Sam Notaire, des investissements sont prévus dans le cadre de la coopération décentralisée. ‘’Au Parcelles Assainies, nous avons un vaste programme d’évacuation des eaux usées de l’Unité 1 à l’Unité 26’’, a dit M. Dieng répondant à une question sur ce que la société qu’il dirige compte faire dans les quartiers de la banlieue dakaroise en proie à des inondations consécutives aux fortes pluies.
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