Dans une déclaration lue par l'ambassadrice américaine à l'ONU, Susan Rice, le Conseil de sécurité soutient la demande formulée plus tôt par le médiateur international Kofi Annan que les autorités syriennes cessent les combats avant le 12 avril à 06h00, heure de Damas (03H00 GMT).
Le médiateur avait adressé une lettre de trois pages au Conseil déplorant mardi que le régime syrien n'ait pas rempli tous ses engagements de retrait militaire à la date du 10 avril et demandant au Conseil d'inviter instamment pouvoir et opposition à "respecter la date limite du 12 avril" pour cesser totalement les hostilités.
S'adressant à la presse, Mme Rice a rejeté l'idée que le Conseil fixe une nouvelle échéance le 12 avril après avoir laissé passer une première échéance. "Je ne vois pas cela comme une nouvelle date limite, la date limite était aujourd'hui", a-t-elle affirmé, ajoutant: "le date limite est passée et les violences ont continué".
"Les Etats-Unis considérent qu'il est scandaleux mais pas surprenant que le gouvernement (syrien) ait fait des promesses et ne les aient pas tenues. Nous arriverons très bientôt au moment de vérité", a-t-elle averti, précisant que "la prochaine étape est d'accentuer la pression" sur le régime du président Bachar al-Assad.
SOURCE:7sur7.be
Le médiateur avait adressé une lettre de trois pages au Conseil déplorant mardi que le régime syrien n'ait pas rempli tous ses engagements de retrait militaire à la date du 10 avril et demandant au Conseil d'inviter instamment pouvoir et opposition à "respecter la date limite du 12 avril" pour cesser totalement les hostilités.
S'adressant à la presse, Mme Rice a rejeté l'idée que le Conseil fixe une nouvelle échéance le 12 avril après avoir laissé passer une première échéance. "Je ne vois pas cela comme une nouvelle date limite, la date limite était aujourd'hui", a-t-elle affirmé, ajoutant: "le date limite est passée et les violences ont continué".
"Les Etats-Unis considérent qu'il est scandaleux mais pas surprenant que le gouvernement (syrien) ait fait des promesses et ne les aient pas tenues. Nous arriverons très bientôt au moment de vérité", a-t-elle averti, précisant que "la prochaine étape est d'accentuer la pression" sur le régime du président Bachar al-Assad.
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