"L’ONUDI a fait ses preuves en aidant les PMA de l’Afrique à réduire la pauvreté par le développement industriel durable’’, a déclaré Kandeh K. Yumkella, après une rencontre avec le Premier ministre de la Guinée, Mohamed Said Fofana, rapporte un communiqué.
En Guinée, ’’nous travaillons en étroite collaboration avec le gouvernement pour développer un secteur florissant de la production, accroître la participation du pays dans le commerce international, et en même temps préserver l’environnement’’, a-t-il ajouté.
Yumkella, accompagné de son adjoint, Piskounov Dmitri, est en visite en Guinée et en Sierra Leone pour des réunions avec des responsables gouvernementaux et pour lancer de nouveaux projets ou superviser des projets en cours d’une valeur totale de 15 millions de dollars, explique le communiqué.
Dans la même source, il a relevé qu’en Afrique sub-saharienne, ‘’plus de 20 pour cent des jeunes étaient au chômage et plus de 60 pour cent de la population urbaine de l’Afrique vivaient dans des conditions misérables’’.
"Un nombre croissant de jeunes hommes et femmes migrent vers les villes. Sans accès à l’emploi ni à des moyens pour s’acquitter de leurs ambitions, ils n’ont pas d’avenir et finiront par constituer une menace pour la stabilité sociale’’, a dit le patron de l’ONUDI.
’’Avec près de trois quarts de la population âgés de moins de 30 ans, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Liberia et la Sierra Leone ont les populations les plus jeunes dans le monde. Nous avons une responsabilité pour les aider à trouver un emploi. Il s’agit d’un défi majeur mais aussi une opportunité, et c’est là que l’ONUDI intervient pour aider à réduire la pauvreté par des activités productives’’, a déclaré M. Yumkella.
En Guinée, le montant total des projets de l’ONUDI se chiffre à quelques 9 millions de dollars, avec la France et le Japon parmi les principaux bailleurs de fonds, lit-on dans le communiqué.
Selon la même source, ‘’les projets sont axés sur le développement multi-usages mini-centrales hydroélectriques des systèmes d’alimentation, l’élimination progressive des chlorofluorocarbones (CFC) qui appauvrissent la couche d’ozone (dans le cadre du Protocole de Montréal), et sur la formation des compétences pour les collectivités touchées par des crises, afin de les aider à trouver de nouvelles opportunités d’emploi’’.
Un projet distinct ONUDI en Guinée contribuera à l’autonomisation économique des jeunes hommes et des jeunes femmes en les engageant dans le recyclage des déchets, selon le communiqué ajoutant que ‘’les petites et moyennes entreprises seront impliquées dans la collecte et le traitement des déchets dans cinq districts de Conakry, ainsi que le recrutement d’un nombre considérable de jeunes non qualifiés et souvent illettrés’’.
L’ONUDI a également mis en œuvre un programme de 16,5 millions d’euros pour l’Afrique de l’Ouest qui couvre 16 pays et qui est financé par la Commission européenne, annonce t-on dans le communiqué.
Selon le texte, ce programme consiste ‘’à aider à l’introduction de normes internationales, à harmoniser les opérations de laboratoire (y compris les essais de produits et d’étalonnage / métrologie), à promouvoir la qualité et les systèmes de sécurité sanitaire de gestion des aliments au niveau de l’entreprise (ISO 9001 et ISO 22000), à développer une infrastructure régionale de qualité standard, ainsi que des politiques de qualité nationales et régionales’’.
SOURCE:APS
En Guinée, ’’nous travaillons en étroite collaboration avec le gouvernement pour développer un secteur florissant de la production, accroître la participation du pays dans le commerce international, et en même temps préserver l’environnement’’, a-t-il ajouté.
Yumkella, accompagné de son adjoint, Piskounov Dmitri, est en visite en Guinée et en Sierra Leone pour des réunions avec des responsables gouvernementaux et pour lancer de nouveaux projets ou superviser des projets en cours d’une valeur totale de 15 millions de dollars, explique le communiqué.
Dans la même source, il a relevé qu’en Afrique sub-saharienne, ‘’plus de 20 pour cent des jeunes étaient au chômage et plus de 60 pour cent de la population urbaine de l’Afrique vivaient dans des conditions misérables’’.
"Un nombre croissant de jeunes hommes et femmes migrent vers les villes. Sans accès à l’emploi ni à des moyens pour s’acquitter de leurs ambitions, ils n’ont pas d’avenir et finiront par constituer une menace pour la stabilité sociale’’, a dit le patron de l’ONUDI.
’’Avec près de trois quarts de la population âgés de moins de 30 ans, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Liberia et la Sierra Leone ont les populations les plus jeunes dans le monde. Nous avons une responsabilité pour les aider à trouver un emploi. Il s’agit d’un défi majeur mais aussi une opportunité, et c’est là que l’ONUDI intervient pour aider à réduire la pauvreté par des activités productives’’, a déclaré M. Yumkella.
En Guinée, le montant total des projets de l’ONUDI se chiffre à quelques 9 millions de dollars, avec la France et le Japon parmi les principaux bailleurs de fonds, lit-on dans le communiqué.
Selon la même source, ‘’les projets sont axés sur le développement multi-usages mini-centrales hydroélectriques des systèmes d’alimentation, l’élimination progressive des chlorofluorocarbones (CFC) qui appauvrissent la couche d’ozone (dans le cadre du Protocole de Montréal), et sur la formation des compétences pour les collectivités touchées par des crises, afin de les aider à trouver de nouvelles opportunités d’emploi’’.
Un projet distinct ONUDI en Guinée contribuera à l’autonomisation économique des jeunes hommes et des jeunes femmes en les engageant dans le recyclage des déchets, selon le communiqué ajoutant que ‘’les petites et moyennes entreprises seront impliquées dans la collecte et le traitement des déchets dans cinq districts de Conakry, ainsi que le recrutement d’un nombre considérable de jeunes non qualifiés et souvent illettrés’’.
L’ONUDI a également mis en œuvre un programme de 16,5 millions d’euros pour l’Afrique de l’Ouest qui couvre 16 pays et qui est financé par la Commission européenne, annonce t-on dans le communiqué.
Selon le texte, ce programme consiste ‘’à aider à l’introduction de normes internationales, à harmoniser les opérations de laboratoire (y compris les essais de produits et d’étalonnage / métrologie), à promouvoir la qualité et les systèmes de sécurité sanitaire de gestion des aliments au niveau de l’entreprise (ISO 9001 et ISO 22000), à développer une infrastructure régionale de qualité standard, ainsi que des politiques de qualité nationales et régionales’’.
SOURCE:APS