L'Oréal s'est lancé un nouveau pari un peu fou: créer de la peau humaine grâce à des imprimantes 3D. L'entreprise de cosmétiques française pourra ainsi tester l'efficacité et la toxicité de ses produits de manière beaucoup plus rapide et fiable. Pour accomplir ce projet, elle s'est associée avec la start-up Organovo, spécialisée dans les technologies de bio-impression. C'est la première fois qu'un partenariat se met en place avec une marque de beauté.
Comme le souligne Bloomberg, L'Oréal avait déjà commencé à produire de la peau pour ne plus tester ses produits sur les animaux notamment. A Lyon, un laboratoire de la taille de trois piscines olympiques est entièrement consacré à la culture et à l'analyse de tissus humains. 60 scientifiques travaillent sur place et chaque année, plus de 100.000 échantillons de peau sont produits. Mais ceux-ci sont créés à partir de tissus donnés par des patients ayant effectué une chirurgie esthétique.
Le fait de reproduire de la peau humaine via une impression 3D développerait ce procédé à l'échelle industrielle et augmenterait donc considérablement la production. Si ce projet représente une avancée pour le secteur de la beauté, le monde médical espère aussi qu'il aboutira. "Ce partenariat apportera de nouvelles méthodes de pointe pour évaluer la performance et la sécurité de nos produits, mais le potentiel de ce nouveau champ de recherche et de technologie est sans limite", a indiqué dans un communiqué Guive Balooch, vice-président de l'incubateur L'Oréal.
Comme le souligne Bloomberg, L'Oréal avait déjà commencé à produire de la peau pour ne plus tester ses produits sur les animaux notamment. A Lyon, un laboratoire de la taille de trois piscines olympiques est entièrement consacré à la culture et à l'analyse de tissus humains. 60 scientifiques travaillent sur place et chaque année, plus de 100.000 échantillons de peau sont produits. Mais ceux-ci sont créés à partir de tissus donnés par des patients ayant effectué une chirurgie esthétique.
Le fait de reproduire de la peau humaine via une impression 3D développerait ce procédé à l'échelle industrielle et augmenterait donc considérablement la production. Si ce projet représente une avancée pour le secteur de la beauté, le monde médical espère aussi qu'il aboutira. "Ce partenariat apportera de nouvelles méthodes de pointe pour évaluer la performance et la sécurité de nos produits, mais le potentiel de ce nouveau champ de recherche et de technologie est sans limite", a indiqué dans un communiqué Guive Balooch, vice-président de l'incubateur L'Oréal.