Des conteneurs de plastiques ont été saisis, en application de la loi effective depuis le 20 avril dernier. L’Union nationale des associations de commerçants, opérateurs et industriels du Sénégal (Unacois/Yessal), a révélé que la douane a mis la main sur quelque 40 tonnes de sachets plastiques, d’une valeur équivalente à 120 millions de FCfa et 156 conteneurs de plastiques dédouanés d’une valeur de 5,5 milliards de FCfa.
Et l’Unacois/Yessal de réclamer l’arrêt des saisies et la libération des stocks déjà dédouanés, en cette période de Covid-19 impactant tous les secteurs d’activité, tout en assurant les autorités de leur accompagnement pour la mise en œuvre de la loi.
L'Etat décidé à poursuivre le combat
Dans un entretien accordé à "Sud Quotidien", le 25 avril 2020, Abdou Karim Sall avait indiqué que les conditions juridiques pour l’entrée en vigueur de la loi sur le plastique, sont réunies. Quant à celles techniques et matérielles, elles se mettront en place au fur et mesure de l’application de la loi.
Cela démontre, selon lui, que « l’Etat ne doit pas attendre que toutes les conditions soient réunies pour mettre en place une loi. Dans certaines situations d’urgence, comme c’est le cas actuellement avec l’ampleur de la pollution plastique, il faut légiférer et passer à l’action. Le reste suivra. Car, plus nous attendrons, plus le mal va empirer et atteindre le point de non-retour», avait-il garanti.
S’agissant de la circulation des sachets, le ministre de l’Environnement avait promis l’arrêt des importations. « Ce dont je suis sûr, c’est qu’aucune autorisation d’importation de sachets plastiques ne sera délivrée par le ministère de l’Environnement et du Développement durable. Au cas où ces sachets plastiques entrent frauduleusement dans le pays, les services de contrôle habilités, procéderont à leur saisie, conformément à la loi, et infligeront aux contrevenants les sanctions prévues», avait-il prévenu.
Et l’Unacois/Yessal de réclamer l’arrêt des saisies et la libération des stocks déjà dédouanés, en cette période de Covid-19 impactant tous les secteurs d’activité, tout en assurant les autorités de leur accompagnement pour la mise en œuvre de la loi.
L'Etat décidé à poursuivre le combat
Dans un entretien accordé à "Sud Quotidien", le 25 avril 2020, Abdou Karim Sall avait indiqué que les conditions juridiques pour l’entrée en vigueur de la loi sur le plastique, sont réunies. Quant à celles techniques et matérielles, elles se mettront en place au fur et mesure de l’application de la loi.
Cela démontre, selon lui, que « l’Etat ne doit pas attendre que toutes les conditions soient réunies pour mettre en place une loi. Dans certaines situations d’urgence, comme c’est le cas actuellement avec l’ampleur de la pollution plastique, il faut légiférer et passer à l’action. Le reste suivra. Car, plus nous attendrons, plus le mal va empirer et atteindre le point de non-retour», avait-il garanti.
S’agissant de la circulation des sachets, le ministre de l’Environnement avait promis l’arrêt des importations. « Ce dont je suis sûr, c’est qu’aucune autorisation d’importation de sachets plastiques ne sera délivrée par le ministère de l’Environnement et du Développement durable. Au cas où ces sachets plastiques entrent frauduleusement dans le pays, les services de contrôle habilités, procéderont à leur saisie, conformément à la loi, et infligeront aux contrevenants les sanctions prévues», avait-il prévenu.