‘’Idy (diminutif de l’ancien Premier ministre Seck) perdu dans ses calculs’’, entre le marteau de l’opposition qui l’a ‘’vomi’’ et l’enclume du pouvoir qui l’a ‘’piégé’’, note à sa une le quotidien Le Populaire.
‘’Après Awa Guèye Kébé comme vice-Premier ministre, Me Wade propose un poste de ministre d’Etat à un de ses proches’’, alors que M. Seck lui-même peine à s’accorder avec le président de la République, Abdoulaye Wade, concernant les modalités de son retour au sein de sa famille ‘’naturelle’’ libérale, au pouvoir, ajoute Le Populaire.
‘’Le silence de Idrissa Seck n’est pas gratuit’’, prévient cependant un des partisans du maire de Thiès, dont l’endurance et l’intelligence politique n’est plus à démontrer, selon les observateurs.
La preuve, avant d’entrer dans les rangs dans le cadre de ce qui est communément appelé les retrouvailles de la famille libérale, en référence à la réunification de l’ensemble des cadres du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir) dispersés à travers les autres formations politiques, M. Seck a été l’un des adversaires les plus farouches au président Wade après son départ de la Primature.
Mieux, ou pire, c’est selon, L’Observateur analyse que Awa Guèye Kébé ‘’installe la crise au sommet de l’Etat et du PDS’’, en soulignant que ‘’rien ne va plus entre le président de la République et ses collaborateurs Idrissa Seck et Aminata Tall.’’
‘’A l’origine de leur brouille, précise le journal, il y a l’adoption par le gouvernement d’un projet de loi prévoyant la création d’un poste de vice- Premier ministre’’, une initiative considérée par le maire de Thiès ‘’comme une énième tentative de l’enterrer définitivement, tandis que la secrétaire générale de la présidence de la République y voit la volonté manifeste de Wade (qui veut y installer Awa Guèye Kébé) de l’isoler et de la pousser à la démission.’’
‘’Awa Guèye Kébé en procédure d’urgence’’, relève par ailleurs L’As, selon qui l’Assemblée nationale est convoquée en session extraordinaire pour l’instauration d’un poste de vice-Premier ministre.
Pour le reste de l’actualité politique, des quotidiens se font l’écho des propos de l’ancien ambassadeur de France Jean-François Rufin sur des acteurs politiques sénégalais. Le diplomate qui vient de quitter le Sénégal juge par exemple ‘’curieuse’’, selon Sud-Quotidien, la candidature du président Wade à la prochaine présidentielle de 2012, du fait notamment de son âge avancé.
Rufin estime également que le ministre d’Etat Karim Wade, ministre de la Coopération internationale, de l’Aménagement du territoire des Transports terrestres et des Infrastructures, ‘’est hostile à la critique et au dialogue.’’ Karim Wade, fils du chef de l’Etat, est responsable d’un mouvement politique affilié au PDS. Il lui est prêté l’intention de succéder à son père.
S’intéressant à son tour à cette sortie du diplomate français, Le Messager range les commentaires de Jean-Christophe Rufin dans la rubrique des ‘’propos discourtois d’un diplomate en fin de carrière.’’ Sans plus.
Une autre partie non négligeable des journaux s’intére à la nouvelle donne à Touba avec la désignation d’un nouveau Khalife général en la personne de Serigne Cheikh Maty Lèye, suite au rappel à Dieu de son prédécesseur Serigne Mouhamadou Lamine Bara Mbacké.
‘’Les fils du khalife général écartés’’, tranche L’Office selon qui le marabout ‘’aurait obtenu de ses fils qu’ils ne fassent aucune ingérence dans les affaires qui relèvement directement de ses domaines.’’
Selon Le Quotidien, Touba ‘’réclame’’ un audit du bilan financier du khalifat de Serigne Bara. Le journal évoque également la ‘’bataille de positionnement’’ entre Ousmane Masseck Ndiaye et Madické Niang, président du Conseil économique et social et ministre des Affaires étrangères.
Le Matin rapporte que le collectif des imams et résidents des quartiers de Guédiawaye, qui avaient organisé l’année dernière une marche contre la cherté de l’énergie électrique, envisagent à nouveau ‘’une marche nationale’’, mais avec ‘’un autre plan d’action.’’ ‘’Ce n’est plus l’électricité qui demeure leur cheval de bataille, mais les inondations en banlieue et la qualité de l’eau’’, précise le journal.
Stades revient sur le Mondial 2010 et la ‘’nouvelle terreur’’ du tournoi, c’est-à-dire l’Allemagne, qui se présente de plus en plus comme un prétendant sérieux au titre, notamment après sa victoire sur l’Argentine (4-0) à l’issue des quarts de finale.
‘’Après Awa Guèye Kébé comme vice-Premier ministre, Me Wade propose un poste de ministre d’Etat à un de ses proches’’, alors que M. Seck lui-même peine à s’accorder avec le président de la République, Abdoulaye Wade, concernant les modalités de son retour au sein de sa famille ‘’naturelle’’ libérale, au pouvoir, ajoute Le Populaire.
‘’Le silence de Idrissa Seck n’est pas gratuit’’, prévient cependant un des partisans du maire de Thiès, dont l’endurance et l’intelligence politique n’est plus à démontrer, selon les observateurs.
La preuve, avant d’entrer dans les rangs dans le cadre de ce qui est communément appelé les retrouvailles de la famille libérale, en référence à la réunification de l’ensemble des cadres du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir) dispersés à travers les autres formations politiques, M. Seck a été l’un des adversaires les plus farouches au président Wade après son départ de la Primature.
Mieux, ou pire, c’est selon, L’Observateur analyse que Awa Guèye Kébé ‘’installe la crise au sommet de l’Etat et du PDS’’, en soulignant que ‘’rien ne va plus entre le président de la République et ses collaborateurs Idrissa Seck et Aminata Tall.’’
‘’A l’origine de leur brouille, précise le journal, il y a l’adoption par le gouvernement d’un projet de loi prévoyant la création d’un poste de vice- Premier ministre’’, une initiative considérée par le maire de Thiès ‘’comme une énième tentative de l’enterrer définitivement, tandis que la secrétaire générale de la présidence de la République y voit la volonté manifeste de Wade (qui veut y installer Awa Guèye Kébé) de l’isoler et de la pousser à la démission.’’
‘’Awa Guèye Kébé en procédure d’urgence’’, relève par ailleurs L’As, selon qui l’Assemblée nationale est convoquée en session extraordinaire pour l’instauration d’un poste de vice-Premier ministre.
Pour le reste de l’actualité politique, des quotidiens se font l’écho des propos de l’ancien ambassadeur de France Jean-François Rufin sur des acteurs politiques sénégalais. Le diplomate qui vient de quitter le Sénégal juge par exemple ‘’curieuse’’, selon Sud-Quotidien, la candidature du président Wade à la prochaine présidentielle de 2012, du fait notamment de son âge avancé.
Rufin estime également que le ministre d’Etat Karim Wade, ministre de la Coopération internationale, de l’Aménagement du territoire des Transports terrestres et des Infrastructures, ‘’est hostile à la critique et au dialogue.’’ Karim Wade, fils du chef de l’Etat, est responsable d’un mouvement politique affilié au PDS. Il lui est prêté l’intention de succéder à son père.
S’intéressant à son tour à cette sortie du diplomate français, Le Messager range les commentaires de Jean-Christophe Rufin dans la rubrique des ‘’propos discourtois d’un diplomate en fin de carrière.’’ Sans plus.
Une autre partie non négligeable des journaux s’intére à la nouvelle donne à Touba avec la désignation d’un nouveau Khalife général en la personne de Serigne Cheikh Maty Lèye, suite au rappel à Dieu de son prédécesseur Serigne Mouhamadou Lamine Bara Mbacké.
‘’Les fils du khalife général écartés’’, tranche L’Office selon qui le marabout ‘’aurait obtenu de ses fils qu’ils ne fassent aucune ingérence dans les affaires qui relèvement directement de ses domaines.’’
Selon Le Quotidien, Touba ‘’réclame’’ un audit du bilan financier du khalifat de Serigne Bara. Le journal évoque également la ‘’bataille de positionnement’’ entre Ousmane Masseck Ndiaye et Madické Niang, président du Conseil économique et social et ministre des Affaires étrangères.
Le Matin rapporte que le collectif des imams et résidents des quartiers de Guédiawaye, qui avaient organisé l’année dernière une marche contre la cherté de l’énergie électrique, envisagent à nouveau ‘’une marche nationale’’, mais avec ‘’un autre plan d’action.’’ ‘’Ce n’est plus l’électricité qui demeure leur cheval de bataille, mais les inondations en banlieue et la qualité de l’eau’’, précise le journal.
Stades revient sur le Mondial 2010 et la ‘’nouvelle terreur’’ du tournoi, c’est-à-dire l’Allemagne, qui se présente de plus en plus comme un prétendant sérieux au titre, notamment après sa victoire sur l’Argentine (4-0) à l’issue des quarts de finale.
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