Lors de l'interview qu'il a accordée à Laurent Delahousse et Claire Chazal après le défilé, François Hollande s'est enfin exprimé sur cette "affaire du tweet". Il faut dire qu'un peu plus tôt dans la semaine, des propos de son fils ainé, Thomas, rapportés par Le Point, avait relancé la polémique. "Ce que je reproche au tweet, c'est d'avoir fait basculer la vie privée dans la vie publique. Ça m'a fait de la peine pour mon père, il déteste tellement que l'on parle de sa vie privée. Ça a détruit l'image normale qu'il avait construite", aurait commenté le jeune avocat qui par ailleurs nie avoir donné une interview au Point. "Je suis pour une claire distinction entre vie publique et privée, et donc je considère que les affaires privées se règlent en privé, et je l'ai dit à mes proches pour qu'ils acceptent scrupuleusement le respect de ce principe", a expliqué le Président de la République insinuant ainsi que ce genre d'incident ne se reproduirait plus. Il a ajouté : "Il n'y a pas de statut (de première dame). Valérie veut garder son activité professionnelle. Je comprends. A partir de là, elle sera présente à mes côtés lorsque le protocole l'exigera. Ce n'est pas facile de prendre cette place. Il doit y avoir des règles".
Histoire de mettre définitivement fin à cet épisode, Valérie Trierweiler y est elle aussi allée de son commentaire hier lors de la visite du couple présidentiel à Brest. Elle a ainsi déclaré qu'à l'avenir elle "tournera sept fois son pouce avant de tweeter".Le compte Twitter de la première Dame n'a pas connu d'activité depuis le message du 12 juin. Alors, elle se tourne les pouces ou quoi ?
Histoire de mettre définitivement fin à cet épisode, Valérie Trierweiler y est elle aussi allée de son commentaire hier lors de la visite du couple présidentiel à Brest. Elle a ainsi déclaré qu'à l'avenir elle "tournera sept fois son pouce avant de tweeter".Le compte Twitter de la première Dame n'a pas connu d'activité depuis le message du 12 juin. Alors, elle se tourne les pouces ou quoi ?