Toutes les personnes en contact avec les victimes, soit 176, ont été recensées et isolées, a expliqué M. Saweka devant la presse. Des organisations comme Médecins sans frontières et les Centres américains de prévention et de lutte contre les maladies aident les autorités ougandaises à lutter contre la propagation du virus, a-t-il ajouté.
Les examens en laboratoire ont confirmé sa présence le 28 juillet dans la région de Kibaale, dans l'ouest du pays.
Il n'existe pas de traitement spécifique ni de vaccin contre ce virus identifié pour la première fois en 1976 au Zaïre, aujourd'hui République démocratique du Congo. Il est hautement infectieux, avec un taux de létalité (proportion de cas fatals liés à une maladie spécifique) de 25% à 90%.
La fièvre hémorragique à Ebola se caractérise selon l'OMS par une brusque montée de température, souvent suivie de vomissements, diarrhées, insuffisance rénale et hépatique, hémorragies internes et externes.
Le virus se transmet par contact direct avec le sang, les sécrétions, les organes et liquides biologiques des personnes contaminées. Les rituels funéraires, au cours dequels les proches du défunt sont en contact direct avec le corps, jouent également un rôle important dans la transmission.
Le virus, ajoute l'OMS, peut aussi passer à l'homme lors de la manipulation lors d'animaux porteurs, vivants ou morts, comme les chimpanzés, gorilles et antilopes des bois.
Les examens en laboratoire ont confirmé sa présence le 28 juillet dans la région de Kibaale, dans l'ouest du pays.
Il n'existe pas de traitement spécifique ni de vaccin contre ce virus identifié pour la première fois en 1976 au Zaïre, aujourd'hui République démocratique du Congo. Il est hautement infectieux, avec un taux de létalité (proportion de cas fatals liés à une maladie spécifique) de 25% à 90%.
La fièvre hémorragique à Ebola se caractérise selon l'OMS par une brusque montée de température, souvent suivie de vomissements, diarrhées, insuffisance rénale et hépatique, hémorragies internes et externes.
Le virus se transmet par contact direct avec le sang, les sécrétions, les organes et liquides biologiques des personnes contaminées. Les rituels funéraires, au cours dequels les proches du défunt sont en contact direct avec le corps, jouent également un rôle important dans la transmission.
Le virus, ajoute l'OMS, peut aussi passer à l'homme lors de la manipulation lors d'animaux porteurs, vivants ou morts, comme les chimpanzés, gorilles et antilopes des bois.