A la barre, le prévenu a tenté de nier les faits en affirmant n’avoir reçu que la somme de 175.000 francs que lui aurait remis sa fiancée pour la recherche d’un visa en Espagne pour un jeune commerçant.
Mais le procureur a vite fait d’interrompre le prévenu pour lui signifier qu’il est un récidiviste, un coutumier des faits d’escroquerie. Le parquet a souligné que le prévenu a appelé sur le téléphone portable de la fille. Celle-ci, ne la connaissant pas, lui a dit qu’il s’est trompé de numéro.
Mais, a précisé le procureur, le prévenu n’a pas obtempéré. Il l’a appelée plusieurs fois et a continué de lui envoyer des SMS. La fille a voulu en savoir sur les vraies intentions de l’homme et allé à sa rencontre. Mais le prévenu lui dit qu’il est un transitaire au port autonome de Dakar et qu’il était à la recherche d’une épouse.
C’est à la suite des pourparlers que le prévenu s’est présenté au domicile de la fille qui travaille comme aide soignante à la clinique de la Madeleine. Ainsi, le prévenu, qui savait que la famille l’a accepté, se présentait régulièrement au domicile de la fille avec une voiture et un chauffeur. Il finit ainsi par gagner la confiance de toute la famille.
Le parquet a déclaré que le pot au rose a été découvert, après que le bonhomme avait fini d’encaisser le million de sa fiancée et 2,5 millions francs de son frère pour un éventuel visa pour l’Espagne, que ce dernier ne verra jamais.
Interpellé par la police, le prévenu avait avoué son forfait, avant de chercher à se rétracter à la barre du tribunal. Le parquet a requis 3 ans dont 2 ans ferme contre lui.
Les avocats de la défense ont tenté de tirer d’affaires leur client en soutenant qu’il n’a pas reçu les sommes déclarées par les parties civiles et que les preuves des remises ne sont rapportés à la barre. Ils sont sollicité une application bienveillante de la loi, car ce dernier n’a reçu que 175.000 francs CFA et non 3,5 millions de francs CFA.
Le tribunal des flagrants délits à la suite de son délibéré, a condamné le prévenu à 3 ans de prison dont 1 an ferme. Il payera la somme de 2,5 millions francs CFA aux parties civiles aux titres des dommages et intérêts.
APS
Mais le procureur a vite fait d’interrompre le prévenu pour lui signifier qu’il est un récidiviste, un coutumier des faits d’escroquerie. Le parquet a souligné que le prévenu a appelé sur le téléphone portable de la fille. Celle-ci, ne la connaissant pas, lui a dit qu’il s’est trompé de numéro.
Mais, a précisé le procureur, le prévenu n’a pas obtempéré. Il l’a appelée plusieurs fois et a continué de lui envoyer des SMS. La fille a voulu en savoir sur les vraies intentions de l’homme et allé à sa rencontre. Mais le prévenu lui dit qu’il est un transitaire au port autonome de Dakar et qu’il était à la recherche d’une épouse.
C’est à la suite des pourparlers que le prévenu s’est présenté au domicile de la fille qui travaille comme aide soignante à la clinique de la Madeleine. Ainsi, le prévenu, qui savait que la famille l’a accepté, se présentait régulièrement au domicile de la fille avec une voiture et un chauffeur. Il finit ainsi par gagner la confiance de toute la famille.
Le parquet a déclaré que le pot au rose a été découvert, après que le bonhomme avait fini d’encaisser le million de sa fiancée et 2,5 millions francs de son frère pour un éventuel visa pour l’Espagne, que ce dernier ne verra jamais.
Interpellé par la police, le prévenu avait avoué son forfait, avant de chercher à se rétracter à la barre du tribunal. Le parquet a requis 3 ans dont 2 ans ferme contre lui.
Les avocats de la défense ont tenté de tirer d’affaires leur client en soutenant qu’il n’a pas reçu les sommes déclarées par les parties civiles et que les preuves des remises ne sont rapportés à la barre. Ils sont sollicité une application bienveillante de la loi, car ce dernier n’a reçu que 175.000 francs CFA et non 3,5 millions de francs CFA.
Le tribunal des flagrants délits à la suite de son délibéré, a condamné le prévenu à 3 ans de prison dont 1 an ferme. Il payera la somme de 2,5 millions francs CFA aux parties civiles aux titres des dommages et intérêts.
APS