Selon le directeur général de la Somiva, Ibrahima Sarr, ancien ministre du Budget et ex-ministre de l'Energie, «dès 2013, 50 à 70 millions de dollars seront investis dans la mine de Matam, dont la concession s’étale sur 25 ans».
Pour convaincre les plus sceptiques quant à l’impact positif que va engendrer ce projet, Ibrahima Sarr a promis : «avant même l’exploitation de la mine, on ai exigé et obtenu des investisseurs que d’énormes infrastructures sanitaire, scolaire, entre autres, soient d’abord érigées. Et je puis vous assurer qu’avec les Hôpitaux qui sortiront de terres, les gens viendront de partout pour y subir des soins, du fait du relèvement de leur plateau».
Aussi, précise le directeur général de la Somiva : «je travaille, certes, pour un privé, mais jamais je ne saurais troquer les intérêts nationaux de mon pays contre ceux d’autrui». Poursuivant, Ibrahima Sarr d’en rajouter une couche en ces termes : «j’ai clairement indiqué également aux investisseurs que le jour où il tentera de dévoyer le cahier de charges qu’on lui a assigné, je lui tournerai le dos, dans l’intérêt du Sénégal».
«Nous allons ériger des infrastructures sanitaire, scolaire, entre autres, avant même l’exploitation de notre mine»
Dissertant sur les normes environnementales, le directeur général de la Somiva se veut intransigeant : «aucun écart sera toléré sur ce plan. D’aiilleurs, dès le mois d’Avril, des études environnementales seront effectuées et dureront quatorze mois. Pourquoi 14 mois ? Parce que la plus grande Société mondiale en la matière qui est basée en Afrique du Sud entend s’assurer sur les douze mois de l’année de toutes les questions environnementales».
Sur ce, affirme-t-il : «le matériel que nous allons acheminer ici n’existe pas encore sous nos Cieux et Dieu sait que ce sera du matériel qui sera sous les flashs et caméras des médias. Car c’est du jamais vu !».
Actusen.com
Pour convaincre les plus sceptiques quant à l’impact positif que va engendrer ce projet, Ibrahima Sarr a promis : «avant même l’exploitation de la mine, on ai exigé et obtenu des investisseurs que d’énormes infrastructures sanitaire, scolaire, entre autres, soient d’abord érigées. Et je puis vous assurer qu’avec les Hôpitaux qui sortiront de terres, les gens viendront de partout pour y subir des soins, du fait du relèvement de leur plateau».
Aussi, précise le directeur général de la Somiva : «je travaille, certes, pour un privé, mais jamais je ne saurais troquer les intérêts nationaux de mon pays contre ceux d’autrui». Poursuivant, Ibrahima Sarr d’en rajouter une couche en ces termes : «j’ai clairement indiqué également aux investisseurs que le jour où il tentera de dévoyer le cahier de charges qu’on lui a assigné, je lui tournerai le dos, dans l’intérêt du Sénégal».
«Nous allons ériger des infrastructures sanitaire, scolaire, entre autres, avant même l’exploitation de notre mine»
Dissertant sur les normes environnementales, le directeur général de la Somiva se veut intransigeant : «aucun écart sera toléré sur ce plan. D’aiilleurs, dès le mois d’Avril, des études environnementales seront effectuées et dureront quatorze mois. Pourquoi 14 mois ? Parce que la plus grande Société mondiale en la matière qui est basée en Afrique du Sud entend s’assurer sur les douze mois de l’année de toutes les questions environnementales».
Sur ce, affirme-t-il : «le matériel que nous allons acheminer ici n’existe pas encore sous nos Cieux et Dieu sait que ce sera du matériel qui sera sous les flashs et caméras des médias. Car c’est du jamais vu !».
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