« Depuis ma sortie à travers Walf Grand-Place et Weekend Magazine on ne cesse de me traquer. Je reçois des appels anonymes de gens qui m’avertissent : ‘si tu ne te tais pas, on va te mettre à genoux et te tuer’ », dit-il dans les colonnes de Walf Grand-Place. Birama Diop ajoute qu’il a peur pour sa vie et lance un appel au président de la République car « je veux rentrer au bercail », indique-t-il.
Birama Diop qui fait partie des rescapés du naufrage du bateau Le Joola avait dans un entretien avec Walf relevé quelques anomalies qui ont conduit à la perte en vies humaines lors de cette catastrophe. Selon Birama Dio : « les radeaux de sauvetage Bombard qui devaient s’ouvrir automatiquement dès que le bateau s’incline avaient été attachés avec des cordes ».
Ce qui, selon l’émigré sénégalais en Espagne, est une faute inadmissible, trop lourde ». A en croire Birama « si ce système avait fonctionné, peut-être serions nous 200 ou 300 à être sauvés ». Il avait aussi fait état de la mort du capitaine du bateau dont le corps n’a pas été retrouvé.
Birama Diop qui fait partie des rescapés du naufrage du bateau Le Joola avait dans un entretien avec Walf relevé quelques anomalies qui ont conduit à la perte en vies humaines lors de cette catastrophe. Selon Birama Dio : « les radeaux de sauvetage Bombard qui devaient s’ouvrir automatiquement dès que le bateau s’incline avaient été attachés avec des cordes ».
Ce qui, selon l’émigré sénégalais en Espagne, est une faute inadmissible, trop lourde ». A en croire Birama « si ce système avait fonctionné, peut-être serions nous 200 ou 300 à être sauvés ». Il avait aussi fait état de la mort du capitaine du bateau dont le corps n’a pas été retrouvé.