Parce qu’elles sont si faciles à utiliser, les tablettes peuvent être un excellent moyen de découvrir internet. En revanche, coûtant chères pour la majorité des populations en Afrique, Google s'est demandé pourquoi ne pas les rendre disponibles dans les cybercafés. Non seulement les cybercafés pourraient ainsi attirer de nouveaux clients intéressés par une manière plus simple et interactive de surfer, mais ils économiseraient également, de manière significative, sur leur coût opérationnel le plus important : l’électricité. Les tablettes consomment en effet beaucoup moins que les ordinateurs fixes ou portables, et ne nécessitent pas de ventilation. Ces économies peuvent entre autres être réinvesties dans une connexion internet plus rapide.
Les propriétaires du cybercafé ont échangé leur flotte de PC par 15 tablettes, et les rendent disponibles au même prix qu’une séance de cybercafé standard à 300 francs Cfa de l’heure (environ 0.45 €). Pour Médoune Seck, co-proprietaire d’Equinox “cette innovation est vraiment formidable pour nos affaires et c’est pour cette raison que nous avons décidé de participer à ce projet. Mes clients sont ravis d’avoir la tablette entre les mains et de pouvoir l’utiliser confortablement installés sur un canapé.
Lorsqu’un client débute sa session sur la tablette, il trouve les applications les plus populaires prêtes à être utilisées ainsi que des raccourcis vers les sites locaux les plus visités. Ils peuvent utiliser la tablette confortablement installés sur un canapé, aller dans une cabine privée pour un chat vidéo ou bien poser leur tablette sur un socle et taper à l’aide d’un clavier sans fil. Une fois la séance terminée, le personnel du cybercafé aidera le client à restaurer le terminal à sa configuration d’usine d’un simple clic, afin de s’assurer que les données privées sont entièrement effacées.
"Internet est un moteur de croissance économique et les propriétaires de cybercafés pourront donner un nouveau souffle à leurs entreprises et ainsi mieux répondre aux besoins de la nouvelle vague d'internautes", a déclaré Tidiane Dème, responsable de Google pour l’Afrique Francophone.
Google espère que ce concept contribuera à stimuler l'économie de l'Internet et que plus d’internautes utiliseront les tablettes et apprécieront la facilité avec laquelle ils accèdent aux nombreuses applications.
Les propriétaires du cybercafé ont échangé leur flotte de PC par 15 tablettes, et les rendent disponibles au même prix qu’une séance de cybercafé standard à 300 francs Cfa de l’heure (environ 0.45 €). Pour Médoune Seck, co-proprietaire d’Equinox “cette innovation est vraiment formidable pour nos affaires et c’est pour cette raison que nous avons décidé de participer à ce projet. Mes clients sont ravis d’avoir la tablette entre les mains et de pouvoir l’utiliser confortablement installés sur un canapé.
Lorsqu’un client débute sa session sur la tablette, il trouve les applications les plus populaires prêtes à être utilisées ainsi que des raccourcis vers les sites locaux les plus visités. Ils peuvent utiliser la tablette confortablement installés sur un canapé, aller dans une cabine privée pour un chat vidéo ou bien poser leur tablette sur un socle et taper à l’aide d’un clavier sans fil. Une fois la séance terminée, le personnel du cybercafé aidera le client à restaurer le terminal à sa configuration d’usine d’un simple clic, afin de s’assurer que les données privées sont entièrement effacées.
"Internet est un moteur de croissance économique et les propriétaires de cybercafés pourront donner un nouveau souffle à leurs entreprises et ainsi mieux répondre aux besoins de la nouvelle vague d'internautes", a déclaré Tidiane Dème, responsable de Google pour l’Afrique Francophone.
Google espère que ce concept contribuera à stimuler l'économie de l'Internet et que plus d’internautes utiliseront les tablettes et apprécieront la facilité avec laquelle ils accèdent aux nombreuses applications.