Devant de nombreux fidèles rassemblés dans ce lieu de culte, le guide religieux a rappelé que ce sont les jeunes d’aujourd’hui qui seront appelés à diriger le Sénégal.
Il a à cet égard déploré l’affaiblissement de l’autorité parentale, relevant que ‘’le père n’a plus aujourd’hui de pouvoir sur son enfant’’.
Or, l’Islam enseigne la nécessité pour le fils de respecter et d’obéir à ses parents, a-t-il rappelé, soulignant qu’il est par conséquent important pour les parents de ‘’revoir l’éducation de leurs enfants’’.
A cet égard, il a rappelé l’importance de la tradition qui selon lui est plus âgée que la charia. Il a à ce propos regretté le traitement méprisant réservé parfois à ‘’nos meilleures traditions’’, avant de qualifier cette attitude de dangereuse’’.
Pour Alioune Moussa Samb qui a axé son sermon sur les cinq piliers de l’islam, le musulman ne doit ‘’adorer qu’Allah tout seul’’ qui a aidé les croyants à ‘’affronter’’ l’épreuve que constitue le mois de Ramadan.
Revenant sur le sens et l’importance de la prière, il a rappelé les conditions dans lesquelles celle-ci doit s’accomplir, avant de souligner l’importance pour le musulman d’accomplir des actes en accord avec l’enseignement de sa religion.
Il a appelé les personnes à qui des responsabilités ont été confiées à notamment tenir compte du fait qu’ils ont été choisis par ‘’Allah’’.
En ce jour de korité, il a également exhorté les fidèles à donner la zakkat. Parlant de la période du pèlerinage à la Mecque qui s’ouvre après le Ramadan, il a rappelé que ce rite est une obligation pour tout croyant disposant des moyens qui lui permettent d’accomplir ce voyage.
Selon le marabout, au-delà du pèlerinage, le musulman se doit d’accomplir tous les cinq piliers de l’islam s’il en a les moyens.
Revenant sur le sens de l’Aïd-Al-Fitr, il a souligné qu’il s’agit d’un jour de réjouissance durant lequel les croyants sont inviter à se rapprocher et à se montrer solidaires, quels que soient les différends qui les opposent.
De ce point de vue, tout musulman se doit de répondre à tout appel de paix, d’où qu’il émane, a-t-il conseillé tout en demandant aux fidèles de s’aimer et de faire confiance mutuellement.
Il a ensuite prié pour qu’il y ait la paix dans tous les pays musulmans du monde et la prospérité du Sénégal.
ASG
Source APS
Il a à cet égard déploré l’affaiblissement de l’autorité parentale, relevant que ‘’le père n’a plus aujourd’hui de pouvoir sur son enfant’’.
Or, l’Islam enseigne la nécessité pour le fils de respecter et d’obéir à ses parents, a-t-il rappelé, soulignant qu’il est par conséquent important pour les parents de ‘’revoir l’éducation de leurs enfants’’.
A cet égard, il a rappelé l’importance de la tradition qui selon lui est plus âgée que la charia. Il a à ce propos regretté le traitement méprisant réservé parfois à ‘’nos meilleures traditions’’, avant de qualifier cette attitude de dangereuse’’.
Pour Alioune Moussa Samb qui a axé son sermon sur les cinq piliers de l’islam, le musulman ne doit ‘’adorer qu’Allah tout seul’’ qui a aidé les croyants à ‘’affronter’’ l’épreuve que constitue le mois de Ramadan.
Revenant sur le sens et l’importance de la prière, il a rappelé les conditions dans lesquelles celle-ci doit s’accomplir, avant de souligner l’importance pour le musulman d’accomplir des actes en accord avec l’enseignement de sa religion.
Il a appelé les personnes à qui des responsabilités ont été confiées à notamment tenir compte du fait qu’ils ont été choisis par ‘’Allah’’.
En ce jour de korité, il a également exhorté les fidèles à donner la zakkat. Parlant de la période du pèlerinage à la Mecque qui s’ouvre après le Ramadan, il a rappelé que ce rite est une obligation pour tout croyant disposant des moyens qui lui permettent d’accomplir ce voyage.
Selon le marabout, au-delà du pèlerinage, le musulman se doit d’accomplir tous les cinq piliers de l’islam s’il en a les moyens.
Revenant sur le sens de l’Aïd-Al-Fitr, il a souligné qu’il s’agit d’un jour de réjouissance durant lequel les croyants sont inviter à se rapprocher et à se montrer solidaires, quels que soient les différends qui les opposent.
De ce point de vue, tout musulman se doit de répondre à tout appel de paix, d’où qu’il émane, a-t-il conseillé tout en demandant aux fidèles de s’aimer et de faire confiance mutuellement.
Il a ensuite prié pour qu’il y ait la paix dans tous les pays musulmans du monde et la prospérité du Sénégal.
ASG
Source APS