Courant après l’illusion de la « mère parfaite », de nombreuses mamans s’épuisent par peur de ne pas être à la hauteur. Si la parole s’est aujourd’hui libérée, beaucoup de femmes restent encore retranchées dans leur solitude. Sur 75000 mères primipares, on peut dire que 10% d’entre elles se sentent mal dans ce devenir (hors babyblues, puisqu’il touche la moitié des mères). Mais « face à la mère qui n’a aucun problème ou ne semble en avoir aucun […] nos yeux restent secs, notre jugement aiguisé »*.
Pourtant, il n’existe pas de bonne ou de mauvaise mère. Le temps en est la meilleure illustration ! Ce qui était jadis dénigré est aujourd'hui parfaitement accepté, preuve qu'il n’existe pas de route tracée nous conduisant vers la sacro-sainte maternité. Alors, un seul mot d’ordre : ayez confiance en vous !
*Sophie Marinopoulos, Dans l’intime des mères, éditions Marabout.
Photo de Ousmane Sow
Pourtant, il n’existe pas de bonne ou de mauvaise mère. Le temps en est la meilleure illustration ! Ce qui était jadis dénigré est aujourd'hui parfaitement accepté, preuve qu'il n’existe pas de route tracée nous conduisant vers la sacro-sainte maternité. Alors, un seul mot d’ordre : ayez confiance en vous !
*Sophie Marinopoulos, Dans l’intime des mères, éditions Marabout.
Photo de Ousmane Sow