A une situation chaotique sur les plans politique, économique et social, sous le régime de Wade, se substitue aujourd’hui un climat social apaisé, une économie qui se redynamise, sous la magistrature du Président Macky SALL, conséquence de la sincérité et du souci de l’intérêt général et de l’efficacité de la plupart des chefs de partis de l’alliance BBY qui accompagne le gouvernement. Les rapports entre les leaders de l’alliance BBY, à quelques exceptions prés, ressemblent fort à un pacte de convergence afin de réussir sans ambiguïté la deuxième alternance.
Aujourd’hui, il nous est tous (coalition BBY) donné l’occasion de remettre le pays en marche vers l’émergence économique, de se concentrer tous sur un seul objectif et de façon durable pour espérer atteindre au moins les OMD à la fin du premier mandat du Président Macky SALL, et une telle réussite supposerait de le remettre en scelle pour un deuxième mandat. Toute stratégie contraire à cela nous mènerait droit dans une spirale de rivalités des leaders de BBY qui ne s’estompera qu’après l’échec de nos projets de sociétés pour lesquels la population sénégalaise nous a investis.
Comment pourrait-on comprendre et accepter une alliance politique dans le but de restaurer la démocratie et combattre « le mal politique », la corruption, le népotisme, la mal gouvernance et dans le même temps s’interdire une alliance qui va au-delà de tout cela, c'est-à-dire construire le pays et répondre aux aspirations réelles de la population sénégalaise ?
L’intérêt de rassembler nos forces politiques pour transformer le Sénégal répond à un souci de stratégie de développement et d’efficacité dans l’action publique. Toute réticence à ce projet, qui est au sens freudien un refus obstiné d’admettre une vérité pourtant établie, indiquerait que la classe politique Sénégalaise n’est pas un fondement certain pour l’émergence du pays.
L’alternance de 2012 n’est pas seulement un changement de régime, mais aussi un changement de comportement et d’état d’esprit dans l’arène politique. Il ne sert à rien de soutenir un allié, de le porter à la tête de l’Etat et par la suite se présenter comme son principal rival dans une équipe collégiale. Le ridicule dans cette situation est qu’aucun motif sérieux ne justifie ces rivalités. Elles s’expliquent tantôt par une ambition pressante ; des partis qui vous ont soutenu s’empressent de vous remplacer même si vous faites d’excellents résultats dans l’exercice de vos fonctions ; tantôt c’est des calculs politiciens individualistes qui constituent la pomme de discorde.
La Ligue Démocratique dans sa constance à la quête du développement accéléré du pays et dans sa logique permanente en politique a, par la voix de son nouveau leader Mamadou Ndoye, que nous soutenons de façon indéfectible, donné le ton d’un engagement fort et sincère dans l’unique but de satisfaire, le plus rapidement possible les besoins pressants de la population. La Ligue Démocratique est prête à subordonner les intérêts immédiats du parti aux objectifs économiques et au développement du pays.
Cette alliance qui sera tissée d’une confiance mutuelle et d’une concertation permanente nous permettra, j’en suis sûr, de relever les défis de développement de notre pays tout en assurant nos arrières sur le plan politique afin de travailler dans la sérénité.
Alpha Ousmane S.D AW
Coordonnateur des Cadres de la LD
Aujourd’hui, il nous est tous (coalition BBY) donné l’occasion de remettre le pays en marche vers l’émergence économique, de se concentrer tous sur un seul objectif et de façon durable pour espérer atteindre au moins les OMD à la fin du premier mandat du Président Macky SALL, et une telle réussite supposerait de le remettre en scelle pour un deuxième mandat. Toute stratégie contraire à cela nous mènerait droit dans une spirale de rivalités des leaders de BBY qui ne s’estompera qu’après l’échec de nos projets de sociétés pour lesquels la population sénégalaise nous a investis.
Comment pourrait-on comprendre et accepter une alliance politique dans le but de restaurer la démocratie et combattre « le mal politique », la corruption, le népotisme, la mal gouvernance et dans le même temps s’interdire une alliance qui va au-delà de tout cela, c'est-à-dire construire le pays et répondre aux aspirations réelles de la population sénégalaise ?
L’intérêt de rassembler nos forces politiques pour transformer le Sénégal répond à un souci de stratégie de développement et d’efficacité dans l’action publique. Toute réticence à ce projet, qui est au sens freudien un refus obstiné d’admettre une vérité pourtant établie, indiquerait que la classe politique Sénégalaise n’est pas un fondement certain pour l’émergence du pays.
L’alternance de 2012 n’est pas seulement un changement de régime, mais aussi un changement de comportement et d’état d’esprit dans l’arène politique. Il ne sert à rien de soutenir un allié, de le porter à la tête de l’Etat et par la suite se présenter comme son principal rival dans une équipe collégiale. Le ridicule dans cette situation est qu’aucun motif sérieux ne justifie ces rivalités. Elles s’expliquent tantôt par une ambition pressante ; des partis qui vous ont soutenu s’empressent de vous remplacer même si vous faites d’excellents résultats dans l’exercice de vos fonctions ; tantôt c’est des calculs politiciens individualistes qui constituent la pomme de discorde.
La Ligue Démocratique dans sa constance à la quête du développement accéléré du pays et dans sa logique permanente en politique a, par la voix de son nouveau leader Mamadou Ndoye, que nous soutenons de façon indéfectible, donné le ton d’un engagement fort et sincère dans l’unique but de satisfaire, le plus rapidement possible les besoins pressants de la population. La Ligue Démocratique est prête à subordonner les intérêts immédiats du parti aux objectifs économiques et au développement du pays.
Cette alliance qui sera tissée d’une confiance mutuelle et d’une concertation permanente nous permettra, j’en suis sûr, de relever les défis de développement de notre pays tout en assurant nos arrières sur le plan politique afin de travailler dans la sérénité.
Alpha Ousmane S.D AW
Coordonnateur des Cadres de la LD