:Entretien…
Monsieur le Ministre, l’Alliance Panafricaniste qu’est ce que c’est ?
A.L.F : l’Alliance Panafricaniste a été lancée en 2006 par le Président WADE parti d’un appel depuis Salvador De Bahia à l’occasion de la conférence des intellectuels et artistes noirs. Depuis, nous avons eu à entreprendre des activités d’implantation de clubs panafricains dans les quartiers, les universités, les lycées pour la formation de panafricanistes qui vont intervenir dans le noble combat de sensibilisation pour la création des Etats Unis d’Afrique. Dans la Diaspora, nous avons également des clubs. Nous étions récemment en Afique Centrale avec le producteur de culture de Communication, Morgan PALMER. Signalons que nous avons quelques 900 clubs. Le siège du réseau national se trouve à Dakar, sur la VDN .Il existe aussi des sièges départementaux dont le plus important est à Rufisque. Dans la Diaspora, c’est au Brésil que nous sommes plus présents. D’ailleurs, la ville de Salvador vient de nous élever au rang de citoyen d’honneur.
Votre secret en matière de communication ?
A.L.F : Nous prenons appui sur le site de l’Alliance Panafricanistes et de Destin de l’Afrique pour établir un lien social, de formation et d’information avec l’ensemble de nos réseaux éparpillés un peu partout en Afrique et dans la Diaspora.
Vous êtes un partisan de « l’Afrique Une ».Notre pays vient d’accueillir des étudiants venus d’Haïti. Lecture ?
A.L.F : Je suis d’avis que c’est un acte de haute portée historique. I l s’inscrit dans le combat pour le retour en Afrique des afro-descendants d’esclaves qui a été le rêve des pères fondateurs du Panafricanisme à l’image de Marcus GARVEY. Aujourd’hui, Me Abdoulaye WADE qui est l’héritier légitime de ces pères fondateurs a su poser un acte majeur qui montre la solidarité que doivent entretenir tous les fils d’Afrique. Nous devons partager le même que ces gens dont les aïeux ont été exploités, persécutés et martyrisés sans aucune forme de procès.
Les Etats Unis d’Afrique, vous-y croyez sincèrement ?
A.L.F : Oui ! C’est l’unique voie pour la survie de l’homme noir et du continent. C’est pourquoi le Président est entrain de fédérer le mouvement noir mondial en créant un pacte culturel à Dakar. Ce panafricaniste tout dévoué est en passe de créer un lieu de mémoire de la résistance et de la renaissance africaine.
Et le Fesman dans tout cela ?
A.L.F :Il va être un moment fort de retrouvailles du peuple noir mais aussi et surtout l’affirmation de son combat pour la réalisation de la Renaissance africaine .Il sera un tournant historique qui va annoncer de nouvelles espérances pour l’Afrique, une Afrique qui gagne et qui sera prête à se positionner comme l’un des pôles les plus dynamiques pour le 21ème siècle.
Un mot sur la succession du Président WADE souvent évoquée ?
A.L.F :J’ai toujours dit qu’il ya un nouveau leadership qui ouvre des perspectives à l’Afrique et au Sénégal et que ce dernier des Mohicans, cet homme historique, Me WADE a l’obligation historique d’organiser sa succession. Pour donner des chances d’aboutissement au combat mené depuis par ses devanciers sur le vaste chantier du Panafricanisme. L’Afrique n’a pas besoin d’avoir un successeur qui va faire autre chose que de conduire et de perpétuer ce combat-là. Le Sénégal a alors besoin d’un successeur qui sait lire la vision de cet homme historique et qui peut la décliner ensuite à travers des actes stratégiques .Et je suis convaincu que Karim WADE présente le bon profil grâce à la pertinence de son militantisme de projets qu’il a initié pour impulser une dynamique concrétiste.
Réalisée par Ibrahim NGOM Damel
Monsieur le Ministre, l’Alliance Panafricaniste qu’est ce que c’est ?
A.L.F : l’Alliance Panafricaniste a été lancée en 2006 par le Président WADE parti d’un appel depuis Salvador De Bahia à l’occasion de la conférence des intellectuels et artistes noirs. Depuis, nous avons eu à entreprendre des activités d’implantation de clubs panafricains dans les quartiers, les universités, les lycées pour la formation de panafricanistes qui vont intervenir dans le noble combat de sensibilisation pour la création des Etats Unis d’Afrique. Dans la Diaspora, nous avons également des clubs. Nous étions récemment en Afique Centrale avec le producteur de culture de Communication, Morgan PALMER. Signalons que nous avons quelques 900 clubs. Le siège du réseau national se trouve à Dakar, sur la VDN .Il existe aussi des sièges départementaux dont le plus important est à Rufisque. Dans la Diaspora, c’est au Brésil que nous sommes plus présents. D’ailleurs, la ville de Salvador vient de nous élever au rang de citoyen d’honneur.
Votre secret en matière de communication ?
A.L.F : Nous prenons appui sur le site de l’Alliance Panafricanistes et de Destin de l’Afrique pour établir un lien social, de formation et d’information avec l’ensemble de nos réseaux éparpillés un peu partout en Afrique et dans la Diaspora.
Vous êtes un partisan de « l’Afrique Une ».Notre pays vient d’accueillir des étudiants venus d’Haïti. Lecture ?
A.L.F : Je suis d’avis que c’est un acte de haute portée historique. I l s’inscrit dans le combat pour le retour en Afrique des afro-descendants d’esclaves qui a été le rêve des pères fondateurs du Panafricanisme à l’image de Marcus GARVEY. Aujourd’hui, Me Abdoulaye WADE qui est l’héritier légitime de ces pères fondateurs a su poser un acte majeur qui montre la solidarité que doivent entretenir tous les fils d’Afrique. Nous devons partager le même que ces gens dont les aïeux ont été exploités, persécutés et martyrisés sans aucune forme de procès.
Les Etats Unis d’Afrique, vous-y croyez sincèrement ?
A.L.F : Oui ! C’est l’unique voie pour la survie de l’homme noir et du continent. C’est pourquoi le Président est entrain de fédérer le mouvement noir mondial en créant un pacte culturel à Dakar. Ce panafricaniste tout dévoué est en passe de créer un lieu de mémoire de la résistance et de la renaissance africaine.
Et le Fesman dans tout cela ?
A.L.F :Il va être un moment fort de retrouvailles du peuple noir mais aussi et surtout l’affirmation de son combat pour la réalisation de la Renaissance africaine .Il sera un tournant historique qui va annoncer de nouvelles espérances pour l’Afrique, une Afrique qui gagne et qui sera prête à se positionner comme l’un des pôles les plus dynamiques pour le 21ème siècle.
Un mot sur la succession du Président WADE souvent évoquée ?
A.L.F :J’ai toujours dit qu’il ya un nouveau leadership qui ouvre des perspectives à l’Afrique et au Sénégal et que ce dernier des Mohicans, cet homme historique, Me WADE a l’obligation historique d’organiser sa succession. Pour donner des chances d’aboutissement au combat mené depuis par ses devanciers sur le vaste chantier du Panafricanisme. L’Afrique n’a pas besoin d’avoir un successeur qui va faire autre chose que de conduire et de perpétuer ce combat-là. Le Sénégal a alors besoin d’un successeur qui sait lire la vision de cet homme historique et qui peut la décliner ensuite à travers des actes stratégiques .Et je suis convaincu que Karim WADE présente le bon profil grâce à la pertinence de son militantisme de projets qu’il a initié pour impulser une dynamique concrétiste.
Réalisée par Ibrahim NGOM Damel