Sous le thème « Pour l'émergence d'une véritable économie de la culture en Afrique », ce point de presse visait à notifier l’importance de la culture dans le développement socio économique d’un pays. Selon Alassane Cissé, le représentant du ministère de la culture, les gens n’ont pas conscience des enjeux économiques de la culture.
«En période de crise, les politiques préfèrent délester le secteur de la culture au profit d’autres secteurs, et pourtant la culture regorgent d’énormes potentialités » a précisé le conférencier le Docteur Saliou Ndour. Selon une étude faite par M. Ndour, dans les pays du nord, le secteur culturel, est devenu aujourd’hui une industrie, qui emploie beaucoup de personnes et fait nourrir beaucoup de foyers, ce qui n’est pas encore tout à fait le cas en Afrique.
« Par exemple, au Sénégal, le musicien sénégalais peine à rentrer dans ses fonds lorsqu’il met sur le marché une casette, à cause des piratages mais également, il est aussi victime de son entourage, à qui il offre gratuitement son œuvre » a souligné M. Ndour. Pour Racine Senghor, le Directeur des arts, il faut tout mettre en œuvre pour amener les jeunes à défendre les droits des artistes à travers toute l’Afrique mais également à diversifier les activités culturelles.
« Nous, nous engageons avec beaucoup de bonne volonté dans ce challenge » a rassuré Michael Soumah. Cette motivation se justifie car Arterial Network aura un rôle de contact avec tous les acteurs de développement culturel à travers le monde. Elle va donc contribuer à amélioration des conditions de travail et de vie ; et défendre les droits des artistes et des praticiens sur le continent africain.
Egalement, faciliter la formation et le développement des ressources humaines afin de pratiquer, de distribuer, et commercialiser les biens créatifs du continent africain. Dans ce même cadre un concert de musique, avec l’orchestre nationale du Sénégal ; Bideew Bou Bess , et bien d’autres groupes sera organisé le vendredi 1 avril à partir de 19h à la maison de la culture Douta Seck.
Souadou BA (Stagiaire) le matin
«En période de crise, les politiques préfèrent délester le secteur de la culture au profit d’autres secteurs, et pourtant la culture regorgent d’énormes potentialités » a précisé le conférencier le Docteur Saliou Ndour. Selon une étude faite par M. Ndour, dans les pays du nord, le secteur culturel, est devenu aujourd’hui une industrie, qui emploie beaucoup de personnes et fait nourrir beaucoup de foyers, ce qui n’est pas encore tout à fait le cas en Afrique.
« Par exemple, au Sénégal, le musicien sénégalais peine à rentrer dans ses fonds lorsqu’il met sur le marché une casette, à cause des piratages mais également, il est aussi victime de son entourage, à qui il offre gratuitement son œuvre » a souligné M. Ndour. Pour Racine Senghor, le Directeur des arts, il faut tout mettre en œuvre pour amener les jeunes à défendre les droits des artistes à travers toute l’Afrique mais également à diversifier les activités culturelles.
« Nous, nous engageons avec beaucoup de bonne volonté dans ce challenge » a rassuré Michael Soumah. Cette motivation se justifie car Arterial Network aura un rôle de contact avec tous les acteurs de développement culturel à travers le monde. Elle va donc contribuer à amélioration des conditions de travail et de vie ; et défendre les droits des artistes et des praticiens sur le continent africain.
Egalement, faciliter la formation et le développement des ressources humaines afin de pratiquer, de distribuer, et commercialiser les biens créatifs du continent africain. Dans ce même cadre un concert de musique, avec l’orchestre nationale du Sénégal ; Bideew Bou Bess , et bien d’autres groupes sera organisé le vendredi 1 avril à partir de 19h à la maison de la culture Douta Seck.
Souadou BA (Stagiaire) le matin