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LANDING SAVANE EN VISITE CHEZ LE PATRON DU GROUPE FUTURS MEDIAS «Youssou Ndour ne peut pas être seul dans son combat»

Landing Savané, le Secrétaire général de And Jëf/Parti africain pour la démocratie et le socialisme (Aj/Pads), ainsi que sa délégation, ont été reçus, hier après-midi, par Youssou Ndour. Une rencontre qui a eu lieu dans la villa de l’artiste et patron de Futurs Médias, située aux Almadies. L’opposant politique est venu témoigner de son soutien à ce dernier dans sa lutte pour le démarrage de Tfm.
Hier, Landing Savané a aussi assuré de son soutien au patron du groupe de presse Futurs Médias, mais non sans s’insurger contre le blocage de la Tfm (Télévision futurs médias, Ndlr).


Rédigé par leral.net le Mardi 19 Janvier 2010 à 05:22 | | 4 commentaire(s)|

LANDING SAVANE EN VISITE CHEZ LE PATRON DU GROUPE FUTURS MEDIAS «Youssou Ndour ne peut pas être seul dans son combat»
«Nous ne pouvons pas comprendre, ni admettre que quelqu’un comme lui, comme tout opérateur sénégalais, demande à bénéficier d’un moyen de travail dont d’autres Sénégalais disposent et qu’on lui crée artificiellement des problèmes. C’est inacceptable», a-t-il dénoncé. Pis, le Secrétaire général de And-Jëf a affirmé que si sa formation politique a tardé à réagir à ce blocage de la Télévision futurs médias, c’est «pour ne pas donner l’impression de vouloir faire de la récupération politique». «Parce que ce n’est pas de notre tempérament et ce n’est pas la cause d’un parti. C’est une cause de toute la Nation, a-t-il martelé. Mais nous sommes arrivés à un stade où il fallait le lui dire, et faire savoir aux Sénégalais et au monde entier que Youssou Ndour ne peut pas être seul dans son combat.»
«Depuis le début (du blocage de la Tfm, Ndlr), les gens m’ont téléphoné, sont venus me voir, mais c’est la première fois qu’un parti politique, conduit par son Secrétaire général, est venu m’apporter son soutien», a témoigné, hier, Youssou Ndour. Après la rencontre de près d’une heure qu’il a eue chez lui, aux Almadies, avec Landing Savané et sa délégation composée de militants de And-Jëf/Pads. «Landing représente énormément sur la scène politique sénégalaise et c’est quelqu’un qui compte pour nous et pour le Sénégal. C’est un symbole de la politique. Je le connais, nous échangeons et même avant aujourd’hui, nous l’avons fait autour du blocage de cette télévision (Tfm) et j’ai toujours eu son soutien», a dit le leader du Super Etoile de Dakar, entouré de M. Savané et de sa délégation d’une quinzaine de personnes, mais aussi de Mamadou Diop, Directeur général de Futurs Médias.
Par ailleurs, poursuivant ses propos, Youssou Ndour a laissé entendre qu’il avait «le devoir de lui expliquer l’histoire et il (Landing) m’a montré après cela qu’il est conforté dans sa position». Toutefois, il a reconnu que cette rencontre constitue une démarche «assez osée» pour le leader de Aj/Pads. «On n’est pas seulement des enfants qui dansent à la télé, on comprend», a-t-il conclu. Raison pour laquelle il a tenu à le remercier, ainsi que toute sa délégation, tout en affirmant qu’il le suivait «depuis très longtemps». Cette rencontre s’est déroulée dans une ambiance détendue, ponctuée notamment par des échanges et des rappels de souvenirs entre Youssou Ndour et quelques membres de la délégation qui ont accompagné Landing Savané. Ainsi, le chanteur africain du siècle a déclaré qu’il a «apprécié cette rencontre» et en a «beaucoup appris».



Article Par OUSMANE DIOP, L'Observateur

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1.Posté par moi le 19/01/2010 09:49 | Alerter
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you tu es le roi

2.Posté par DAKAROIS le 19/01/2010 09:56 | Alerter
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ON S'EN FOUT
LANDING RESSEMBLE A UN CHIEN ERRANT

3.Posté par dd le 19/01/2010 10:18 | Alerter
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Etranger
Sénégal : le système Wade s'essouffle
mardi 19 janvier 2010

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Abdoulaye Wade.
Abdoulaye Wade.
Reuters

Président depuis 2000, Abdoulaye Wade, 82 ans, devrait se représenter pour un troisième mandat en 2012. Mais le mécontentement gronde.
Dakar. De notre correspondante

« Durcissement du pouvoir », « chef de clan »... Les critiques pleuvent sur Abdoulaye Wade, président du Sénégal depuis bientôt dix ans. « Le pouvoir est de plus en plus absolutiste. Cela a beaucoup dégradé l'image démocratique du pays, observe Alioune Tine, président de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l'homme. De 2000 à 2004, il y a eu beaucoup d'efforts de faits. Mais, à partir de 2005, des marches ont été interdites, des leaders politiques arrêtés, l'Assemblée nationale et la Constitution instrumentalisées. Ce pour avoir un contrôle absolu sur les élections. »

En 2007, Abdoulaye Wade a pourtant remporté la présidentielle. « Personne ne peut dire qu'il n'a rien fait. Il a créé au moins deux postes de santé en plus dans chaque région. Ce qu'il a fait en sept ans, les socialistes ne l'avaient pas fait en quarante-cinq ans », constate Demba Ndiaye, directeur du journal La Sentinelle.

Mais l'augmentation du coût de la vie, les récentes inondations (des banlieues sont encore sous les eaux trois mois après la fin des pluies) et les coupures d'électricité lassent les Sénégalais. « Si nous ne faisons pas de virage d'ici à 2011, nous risquons d'être sévèrement sanctionnés par la population », prévient Babacar Gaye, porte-parole du PDS (Parti démocratique sénégalais, au pouvoir). « La corruption, ses projets mégalos... Cela a précipité le désamour », estime Demba Ndiaye.

L'option Karim

« Abdoulaye Wade a essayé d'installer une politique clientéliste à l'égard de toutes les forces sociales. Pour lui, l'argent est la mesure de toute chose », condamne Ousmane Tanor Dieng, secrétaire général du Parti socialiste. En mars 2009, la coalition présidentielle perd les municipales. Même la capitale, Dakar, qui devait mettre Karim, le fils du Président, sur orbite, lui échappe. Malgré sa défaite, Karim Wade, 40 ans, sera propulsé ministre d'État, de la Coopération internationale, de l'Aménagement du territoire, des Transports aériens et des Infrastructures.

« Ce n'est aucunement du népotisme, explique Moustapha Guirassy, ministre de la Communication. C'est simplement de la compétence, de la volonté. Tant mieux si cela se retrouve chez son fils. » Karim Wade a aussi été le conseiller de son père et le dirigeant de l'agence qui a préparé le sommet de l'Organisation de la conférence islamique.

Aurélie FONTAINE.

4.Posté par peul le 19/01/2010 10:26 | Alerter
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DAKAROIS c dommage avec des gens comme toi on n'avance pas, comment on peut etre aussi nul

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