THélas, le constat général est qu’aujourd’hui le parti s’est mué en camp de concentration de ses dignes et loyaux fils qui ne sont pas dans les schémas des ténors. L’image qu’offre aujourd’hui le parti est une maison hantée ou des démons portent la haine pour les militants les plus dévoués et qui se distinguent pour leur attachement au frère sécrétaire général national et au Sopi originel. Combien d’hommes qui n’ont connu que le PDS et qui lui ont tout donné, ont été, soit expulsés ou ont choisi tout bonnement de quitter à cause de vastes complots ! Combien de responsables et de vrais militants, n’ayant aucun accès à la hiérarchie du parti et ne reconnaissant plus le vrai PDS et ceux qui l’animent ont simplement décidée de croiser les bras et d’être des spectateurs impuissants et des témoins inactifs de la scène politique ?
Le PDS est aujourd’hui achalandé de démons armés de leur glaive venimeux, crachant leur bave maléfique en coupant avec délectation les têtes des vaillants soldats et combattants du sopi qui, pour la plupart sont déguenillés et sans le moindre morceau de pain à la bouche.
Le spectacle est triste et désolant, dans tous les coins du pays et à l’étranger, le PDS ressemble fort à une armée mexicaine mais surtout à une jungle où règne la domination de la force et de la violence pour ne pas dire le diktat de ceux qui ont les moyens ou qui sont bien nichés quelque part dans une bonne position de strapontin.
Les sorciers des temps modernes qui empêchent aux autres d’avancer et d’être promus sont entrain de réussir leur funeste projet de démantibuler et de déglinguer le parti aux profits d’intérêts mesquins, égoïstes, crypto personnels et d’objectifs inavoués.
Gagnés par l’arrogance, l’ivresse du pouvoir, la haine, l’inculture, le complexe et l’infatuation, certains membres de l’entourage du Secrétaire Général National et certaines « grands » responsables du parti sont entrain de conduire le régime en place tout droit vers l’impasse si des mesures urgentes et adéquates ne sont pas prises pour réconcilier Me Wade avec les militants déçus et les populations fatigués.
En outre, Jetons un regard sur ceux qui occupent certaines positions stratégiques, ne sommes nous pas toujours dirigés par les anciens bourreaux de Me Wade ?
Quels sont les pourcentages des vrais libéraux dans le comité directeur du PDS ? Dans le gouvernement ? A l’assemblée nationale ? Au Senat. Dans les directions et direction générales ? Et les présidents de conseil d’administration ?
Bref, ne sommes nous pas toujours dirigés par les Caciques du régime déchu en 2000, avec un dosage de libéraux privilégiés et qui empêchent aux autres de gravir les échelons ?
Encore une fois Me Wade n’est-il pas piégé par ses ennemis et par des partenaires aveuglés par la haine et la méchanceté vis-à-vis de leurs propres « frères » du parti ?
Devons nous croire à la facile chanson qui dit que le PDS n’a pas de cadres » ? Je pense que non !
Le Parti regorge de cadres intellectuels et politiques, on y rencontre de grandes personnalités, des hommes, et des femmes et des jeunes d’honneur et de devoir mais malheureusement qui n’ont pas toujours la chance d’être compris, écoutés, et entendus et/ou suivis ou mieux qui n’ont pas de tuteurs ou de mentors influents.
Hélas, le PDS est animé aujourd’hui en majorité par des responsables méchants, jaloux et inaccessibles , dépourvus d’écoute, de générosité et de réceptivité, totalement insensibles aux lamentables situations des militants confrontés à des besoins minimes et primaires de nécessité vitale (la bouffe, le toit, la santé) et pourtant la clameur retentit quotidiennement de la profondeur des banlieues et des régions mais aussi des zones urbaines, la coupe est pleine !
Le PDS n’est pas reconnaissant, oui ! Ce parti préfère récompenser des arrivistes, des affairistes, des opportunistes et des chasseurs de primes qui n’ont aucune légitimité dans le parti, qui n’ont contribué en rien à l’alternance et enfin qui ne peuvent brandir aucun trophée de guerre sur le terrain politique du Sopi et de sa longue marche.
Aussi, il est curieux et dommage de voir le PDS faire la promotion de maîtres chanteurs qui n’ont que l’insulte à la bouche ou aussi s’il nous plait, les lèches-bottes » et les fieffés laudateurs dépourvus d’honneur, d’éthiques, de hauteur et de pudeur mais aussi les pires adeptes de la compromission, vilains vendeurs d’âmes.
Mais , même si ça et là, quelques figures emblématiques du parti occupent certaines positions , il n’en reste pas moins vrai que de très nombreux militants surtout les anciens mourront sans doute dans la misérabilité sans revoir le président qu’ils n’arrivent plus à rencontrer depuis l’épopée glorieuse du SOPI entre le quartier général de la place de l’obélisque de Colobane et le domicile du Pape du Sopi au point E.
En effet, le PDS doit se ressaisir car le temps est venu de remobiliser les troupes et d’insuffler un réarmement moral, il est urgent d’unir et d’intégrer les forces du PDS, de réhabiliter les valeureux soldats du Sopi original qui jusqu’à nos jours continuent à consentir de lourds sacrifices pour les causes du parti et pour la défense du frère secrétaire général national Me Abdoulaye Wade.
En tout état de cause, si le parti ne veut pas subir la même raclée du 22 mars 2009, il devra accepter de faire son propre autocritique et d’apporter des remèdes politiques, sociaux et humains efficaces et adéquates et à temps.
Par ailleurs, la survie du parti dépendra de sa capacité de ressaisissement, de réhabilitation de certains militants et responsables afin de les revaloriser et les élever à la dignité humaine qu’ils méritent.
Le degré de frustration, de mécontentement, des démotivations a gagné des proportions jamais imaginées et pourtant on reste aphone ! C’est curieux !
Malheureusement hélas, certaines grosses pointures ayant accès au secrétaire général national se soucient peu et presque pas du tout de la profondeur et de la gravité de l’angoisse des pauvres militants et des responsables humiliés qui pourtant ont tout donné au parti et ont tout perdu à cause de ce même Parti.
Ces grosses pointures qui après 10 ans de pouvoir enivrant ont certainement oubliés qu’ils sont là grâce aux pauvres militants et chacun amasse à qui mieux craignant un déluge brusque ! Sont-ils bon croyants ?
Quel dommage dans un parti qui a le triste sort de se muer en camp de concentration, en champ de batailles avec des armes non conventionnelles et des coups en bas de la ceinture entre retenez le souffle : « frères » et « sœurs »
Le PDS,oui , un parti où les liquidateurs ne se fatiguent jamais s’il s’agit de tuer, des gens qui n’ont de bonheur et de plaisir que lorsque leur adversaires et frères de parti agonisent douloureusement, alors ils s’organisent une ronde des vautours alors rythmée d’une danse des sorciers pour les achever avant de passer à table pour se délecter des « frères » ou « sœurs » rôtis déjà au fond du four libéral pour un énième « barbecue bleu ».
C’est triste quand certains privilégiés baignent dans l’opulence, tirant du malin plaisir à pisser sur les tombes de pauvres militants morts de faim et de misère, en ricanant à ce petit peuple, la bouche grande ouverte, un couteau entre les dents !
Chers frères et sœurs du parti, que faut-il faire devant ces démons ?
Sopi ou Silence ?
Pour ceux et celles qui craignent la guillotine des monstres froids , qu’ils sachent que : seul le pouvoir divin est éternel !
Pape Djibril TOGOLA
Responsable Politique PDS
3ème Adjoint au Maire à Thiès
Le PDS est aujourd’hui achalandé de démons armés de leur glaive venimeux, crachant leur bave maléfique en coupant avec délectation les têtes des vaillants soldats et combattants du sopi qui, pour la plupart sont déguenillés et sans le moindre morceau de pain à la bouche.
Le spectacle est triste et désolant, dans tous les coins du pays et à l’étranger, le PDS ressemble fort à une armée mexicaine mais surtout à une jungle où règne la domination de la force et de la violence pour ne pas dire le diktat de ceux qui ont les moyens ou qui sont bien nichés quelque part dans une bonne position de strapontin.
Les sorciers des temps modernes qui empêchent aux autres d’avancer et d’être promus sont entrain de réussir leur funeste projet de démantibuler et de déglinguer le parti aux profits d’intérêts mesquins, égoïstes, crypto personnels et d’objectifs inavoués.
Gagnés par l’arrogance, l’ivresse du pouvoir, la haine, l’inculture, le complexe et l’infatuation, certains membres de l’entourage du Secrétaire Général National et certaines « grands » responsables du parti sont entrain de conduire le régime en place tout droit vers l’impasse si des mesures urgentes et adéquates ne sont pas prises pour réconcilier Me Wade avec les militants déçus et les populations fatigués.
En outre, Jetons un regard sur ceux qui occupent certaines positions stratégiques, ne sommes nous pas toujours dirigés par les anciens bourreaux de Me Wade ?
Quels sont les pourcentages des vrais libéraux dans le comité directeur du PDS ? Dans le gouvernement ? A l’assemblée nationale ? Au Senat. Dans les directions et direction générales ? Et les présidents de conseil d’administration ?
Bref, ne sommes nous pas toujours dirigés par les Caciques du régime déchu en 2000, avec un dosage de libéraux privilégiés et qui empêchent aux autres de gravir les échelons ?
Encore une fois Me Wade n’est-il pas piégé par ses ennemis et par des partenaires aveuglés par la haine et la méchanceté vis-à-vis de leurs propres « frères » du parti ?
Devons nous croire à la facile chanson qui dit que le PDS n’a pas de cadres » ? Je pense que non !
Le Parti regorge de cadres intellectuels et politiques, on y rencontre de grandes personnalités, des hommes, et des femmes et des jeunes d’honneur et de devoir mais malheureusement qui n’ont pas toujours la chance d’être compris, écoutés, et entendus et/ou suivis ou mieux qui n’ont pas de tuteurs ou de mentors influents.
Hélas, le PDS est animé aujourd’hui en majorité par des responsables méchants, jaloux et inaccessibles , dépourvus d’écoute, de générosité et de réceptivité, totalement insensibles aux lamentables situations des militants confrontés à des besoins minimes et primaires de nécessité vitale (la bouffe, le toit, la santé) et pourtant la clameur retentit quotidiennement de la profondeur des banlieues et des régions mais aussi des zones urbaines, la coupe est pleine !
Le PDS n’est pas reconnaissant, oui ! Ce parti préfère récompenser des arrivistes, des affairistes, des opportunistes et des chasseurs de primes qui n’ont aucune légitimité dans le parti, qui n’ont contribué en rien à l’alternance et enfin qui ne peuvent brandir aucun trophée de guerre sur le terrain politique du Sopi et de sa longue marche.
Aussi, il est curieux et dommage de voir le PDS faire la promotion de maîtres chanteurs qui n’ont que l’insulte à la bouche ou aussi s’il nous plait, les lèches-bottes » et les fieffés laudateurs dépourvus d’honneur, d’éthiques, de hauteur et de pudeur mais aussi les pires adeptes de la compromission, vilains vendeurs d’âmes.
Mais , même si ça et là, quelques figures emblématiques du parti occupent certaines positions , il n’en reste pas moins vrai que de très nombreux militants surtout les anciens mourront sans doute dans la misérabilité sans revoir le président qu’ils n’arrivent plus à rencontrer depuis l’épopée glorieuse du SOPI entre le quartier général de la place de l’obélisque de Colobane et le domicile du Pape du Sopi au point E.
En effet, le PDS doit se ressaisir car le temps est venu de remobiliser les troupes et d’insuffler un réarmement moral, il est urgent d’unir et d’intégrer les forces du PDS, de réhabiliter les valeureux soldats du Sopi original qui jusqu’à nos jours continuent à consentir de lourds sacrifices pour les causes du parti et pour la défense du frère secrétaire général national Me Abdoulaye Wade.
En tout état de cause, si le parti ne veut pas subir la même raclée du 22 mars 2009, il devra accepter de faire son propre autocritique et d’apporter des remèdes politiques, sociaux et humains efficaces et adéquates et à temps.
Par ailleurs, la survie du parti dépendra de sa capacité de ressaisissement, de réhabilitation de certains militants et responsables afin de les revaloriser et les élever à la dignité humaine qu’ils méritent.
Le degré de frustration, de mécontentement, des démotivations a gagné des proportions jamais imaginées et pourtant on reste aphone ! C’est curieux !
Malheureusement hélas, certaines grosses pointures ayant accès au secrétaire général national se soucient peu et presque pas du tout de la profondeur et de la gravité de l’angoisse des pauvres militants et des responsables humiliés qui pourtant ont tout donné au parti et ont tout perdu à cause de ce même Parti.
Ces grosses pointures qui après 10 ans de pouvoir enivrant ont certainement oubliés qu’ils sont là grâce aux pauvres militants et chacun amasse à qui mieux craignant un déluge brusque ! Sont-ils bon croyants ?
Quel dommage dans un parti qui a le triste sort de se muer en camp de concentration, en champ de batailles avec des armes non conventionnelles et des coups en bas de la ceinture entre retenez le souffle : « frères » et « sœurs »
Le PDS,oui , un parti où les liquidateurs ne se fatiguent jamais s’il s’agit de tuer, des gens qui n’ont de bonheur et de plaisir que lorsque leur adversaires et frères de parti agonisent douloureusement, alors ils s’organisent une ronde des vautours alors rythmée d’une danse des sorciers pour les achever avant de passer à table pour se délecter des « frères » ou « sœurs » rôtis déjà au fond du four libéral pour un énième « barbecue bleu ».
C’est triste quand certains privilégiés baignent dans l’opulence, tirant du malin plaisir à pisser sur les tombes de pauvres militants morts de faim et de misère, en ricanant à ce petit peuple, la bouche grande ouverte, un couteau entre les dents !
Chers frères et sœurs du parti, que faut-il faire devant ces démons ?
Sopi ou Silence ?
Pour ceux et celles qui craignent la guillotine des monstres froids , qu’ils sachent que : seul le pouvoir divin est éternel !
Pape Djibril TOGOLA
Responsable Politique PDS
3ème Adjoint au Maire à Thiès