Cependant aucune baguette magique ne peut empêcher les temps de changer surtout si ceux-ci sont voulus par l'immense des Sénégalais. Il faut savoir accepter la volonté populaire et aussi assurer ses responsabilités dans sa gestion à un moment donné. C'est pourquoi toute l'énergie du Président et du gouvernement sera dispensée vers les objectifs suivants : 1. Favoriser le développement/l'émergence d'une conscience citoyenne forte et rapatrier tous les biens mal acquis. 2. Assurer les bases de la rupture et de la gouvernance vertueuse en ne changeant ni de cap ni d'objectifs. 3. Accompagner tous les Citoyens sans distinction aucune du berceau au tombeau en ne laissant personne au bord de la route.
L'ancien parti au pouvoir, l'oeil rivé sur le rétroviseur, fera tout son possible pour freiner, chahuter et discréditer les actions du gouvernement car ils pensent qu'ils sont encore au pouvoir et on du mal à se plier aux contraintes d'une opposition responsable dont les membres sont des justiciables comme Madame X ou Monsieur Y. Ils sont encore dans la bulle de l'insoutenable légèreté de l'arrivisme qui a caractérisé le régime de Wade et cela permet de mieux comprendre la lamentable sortie d'El Hadji Amadou Sall et la pseudo motion de censure déposée à l'Assemblée nationale.
Avec le 25 mars 2012, les choses ont changé parce qu'avec la mise en œuvre du Yoonu Yokkute adossée à la déclaration de politique générale du Premier Ministre, gouverner, c'est choisir, savoir distinguer les dépenses d'Etat improductives de celles productives et loin des dépenses de prestige à l'opposé des préoccupations du peuple. La rupture incarnée par Macky Sall les effraie car jusqu'à présent il a fait preuve de courage et de clarté dans les actes posés. C'est un homme de courage qui n'a pas peur de sortir des conformismes contrairement à Wade, champion de l'éphémère, du populisme de mauvais aloi et de la patrimonialisation de l'Etat ; ce qui a été la quintessence de la République de 2000 à 2012.
Entre la volonté d'un pouvoir décidé à remettre de l'ordre, l'héritage sulfureux de Wade et leur difficulté à se projeter, les libéraux peinent à se défendre. Au point d'utiliser une méthode qu'ils décriaient naguère. Ils n'ont donc pas d'autre parade que de provoquer, c'est-à-dire ressusciter le bon vieux clivage par le rétroviseur. Certes, le désarroi des libéraux est compréhensible. Il s'explique par le fait que beaucoup de choses ont changé depuis leur perte du pouvoir. D'ailleurs, l'héritage de Wade et Cie qui a plus dit qu'il n'a fait, laissant ainsi au président Macky Sall une addition très difficile en ayant pas su améliorer le niveau de vie, donc le pouvoir d'achat des Sénégalais, démocratiser l'enseignement, développer la formation, renforcer les infrastructures du pays entre autres priorités. Autrement dit, pour préserver le pouvoir d'achat de ses affidés, l'ancien Président a lourdement endetté le pays et il a tardé d'entamer les restructurations nécessaires. Du coup, ils doivent assumer leurs bévues et c'est comme une chemise qui aurait pris un mauvais pli. On a beau multiplié les coups de fer, on arriverait pas à l'enlever. Cela fait beaucoup. On comprend que, faute de cap clairement défini, en l'absence d'un tournant idéologique, ils cherchent la parade par la maladie du rétroviseur.C'est peine perdue. Le président a été élu pour remettre le pays en orbite et il ira jusqu'au bout car manifestement il mène un combat d'avant garde au service exclusif du Sénégal.
Ben Yahya SY
Convergence des Cadres Républicains
L'ancien parti au pouvoir, l'oeil rivé sur le rétroviseur, fera tout son possible pour freiner, chahuter et discréditer les actions du gouvernement car ils pensent qu'ils sont encore au pouvoir et on du mal à se plier aux contraintes d'une opposition responsable dont les membres sont des justiciables comme Madame X ou Monsieur Y. Ils sont encore dans la bulle de l'insoutenable légèreté de l'arrivisme qui a caractérisé le régime de Wade et cela permet de mieux comprendre la lamentable sortie d'El Hadji Amadou Sall et la pseudo motion de censure déposée à l'Assemblée nationale.
Avec le 25 mars 2012, les choses ont changé parce qu'avec la mise en œuvre du Yoonu Yokkute adossée à la déclaration de politique générale du Premier Ministre, gouverner, c'est choisir, savoir distinguer les dépenses d'Etat improductives de celles productives et loin des dépenses de prestige à l'opposé des préoccupations du peuple. La rupture incarnée par Macky Sall les effraie car jusqu'à présent il a fait preuve de courage et de clarté dans les actes posés. C'est un homme de courage qui n'a pas peur de sortir des conformismes contrairement à Wade, champion de l'éphémère, du populisme de mauvais aloi et de la patrimonialisation de l'Etat ; ce qui a été la quintessence de la République de 2000 à 2012.
Entre la volonté d'un pouvoir décidé à remettre de l'ordre, l'héritage sulfureux de Wade et leur difficulté à se projeter, les libéraux peinent à se défendre. Au point d'utiliser une méthode qu'ils décriaient naguère. Ils n'ont donc pas d'autre parade que de provoquer, c'est-à-dire ressusciter le bon vieux clivage par le rétroviseur. Certes, le désarroi des libéraux est compréhensible. Il s'explique par le fait que beaucoup de choses ont changé depuis leur perte du pouvoir. D'ailleurs, l'héritage de Wade et Cie qui a plus dit qu'il n'a fait, laissant ainsi au président Macky Sall une addition très difficile en ayant pas su améliorer le niveau de vie, donc le pouvoir d'achat des Sénégalais, démocratiser l'enseignement, développer la formation, renforcer les infrastructures du pays entre autres priorités. Autrement dit, pour préserver le pouvoir d'achat de ses affidés, l'ancien Président a lourdement endetté le pays et il a tardé d'entamer les restructurations nécessaires. Du coup, ils doivent assumer leurs bévues et c'est comme une chemise qui aurait pris un mauvais pli. On a beau multiplié les coups de fer, on arriverait pas à l'enlever. Cela fait beaucoup. On comprend que, faute de cap clairement défini, en l'absence d'un tournant idéologique, ils cherchent la parade par la maladie du rétroviseur.C'est peine perdue. Le président a été élu pour remettre le pays en orbite et il ira jusqu'au bout car manifestement il mène un combat d'avant garde au service exclusif du Sénégal.
Ben Yahya SY
Convergence des Cadres Républicains