Qu’il ait un tour ou cinq tours, le peuple sénégalais a fini de juger Abdoulaye Wade et, est prêt à le sanctionner lourdement aux prochaines élections présidentielles", lit-on dans le communiqué qui a sanctionné la réunion hebdomadaire de Leeral Askanwi.
D’ailleurs, ce mouvement reste convaincu que "la chute de Wade sera beaucoup plus lourde que celle d’Abdou Diouf en 2000". Une évidence, pensent Omar Faye et compagnie, que l’ancien président du Conseil de la République, Me Mbaye Jacques Diop semble ignorer.
"Il est regrettable qu’un homme politique de l’envergure de Mbaye Jacques Diop puisse ignorer cela. Qu’il sache que Wade n’est pas disposé à reconnaitre sa valeur et qu’il perde son temps à vouloir consolider sa base et son fief pour le réélire. Les hommes, les femmes et les jeunes qui, en aucun doute, ont un attachement réel pour Mbaye Jacques Diop ne sont pas en cours de le suivre vers Abdoulaye Wade", fait remarquer Leeral askanwi dans son communiqué.
Toutefois, face à cette situation, M Faye et ses camarades n’entendent pas baisser les bras et espèrent pouvoir réussir à faire changer de camp Me Jacques Diop.
Par ailleurs, Leeral askanwi s’est penché sur le paiement d’une partie de la dette de l’Apix à Bara Tall. Et de l’avis du mouvement rufisquois, "l’Etat se désavoue et continue son harcèlement burlesque et bouffon pour détruire un fleuron de l’économie qu’est Jean Lefébre".
Poursuivant, ce mouvement soutient : "toutes ses manigances traduisent une profonde jalousie du président Wade à tout ce qui peut porter ombrage à son fils Karim Wade et qui justifie d’une personnalité propre et d’une réussite sans tutelle ni curatelle".
Sur un autre front, Leearal askanwi a exprimé ses craintes à l’endroit de Youssou Ndour. En effet, il craint que le groupe futur média soit la prochaine cible après l’agression perpétrée contre le groupe Walfadjri dirigé par Sidy Lamine Niass.
Face à cette menace, Leeral askanwi en appelle à la vigilance et à la réaction de tout le mouvement patronal et syndical pour argue-t-il, "barrer la route à la politique du long couteau".
D’ailleurs, ce mouvement reste convaincu que "la chute de Wade sera beaucoup plus lourde que celle d’Abdou Diouf en 2000". Une évidence, pensent Omar Faye et compagnie, que l’ancien président du Conseil de la République, Me Mbaye Jacques Diop semble ignorer.
"Il est regrettable qu’un homme politique de l’envergure de Mbaye Jacques Diop puisse ignorer cela. Qu’il sache que Wade n’est pas disposé à reconnaitre sa valeur et qu’il perde son temps à vouloir consolider sa base et son fief pour le réélire. Les hommes, les femmes et les jeunes qui, en aucun doute, ont un attachement réel pour Mbaye Jacques Diop ne sont pas en cours de le suivre vers Abdoulaye Wade", fait remarquer Leeral askanwi dans son communiqué.
Toutefois, face à cette situation, M Faye et ses camarades n’entendent pas baisser les bras et espèrent pouvoir réussir à faire changer de camp Me Jacques Diop.
Par ailleurs, Leeral askanwi s’est penché sur le paiement d’une partie de la dette de l’Apix à Bara Tall. Et de l’avis du mouvement rufisquois, "l’Etat se désavoue et continue son harcèlement burlesque et bouffon pour détruire un fleuron de l’économie qu’est Jean Lefébre".
Poursuivant, ce mouvement soutient : "toutes ses manigances traduisent une profonde jalousie du président Wade à tout ce qui peut porter ombrage à son fils Karim Wade et qui justifie d’une personnalité propre et d’une réussite sans tutelle ni curatelle".
Sur un autre front, Leearal askanwi a exprimé ses craintes à l’endroit de Youssou Ndour. En effet, il craint que le groupe futur média soit la prochaine cible après l’agression perpétrée contre le groupe Walfadjri dirigé par Sidy Lamine Niass.
Face à cette menace, Leeral askanwi en appelle à la vigilance et à la réaction de tout le mouvement patronal et syndical pour argue-t-il, "barrer la route à la politique du long couteau".