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LENDEMAIN DE LA PRESIDENTIELLE 2012 : Révélations sur les grands secrets des cinq sages

Aux Almadies de Dakar, dans les coursives du siège du Conseil constitutionnel, souffle un vent léger, charriant un air de profond soulagement. «C’est évident que nous sommes soulagés que l’histoire se termine par une consultation démocratique apaisée, respire-t-on d’un souffle léger au sein du Conseil. Il y a eu des morts avant et pendant la campagne électorale, mais le pire prédit a été évité.»


Rédigé par leral.net le Dimanche 8 Avril 2012 à 03:54 | | 7 commentaire(s)|

LENDEMAIN  DE LA PRESIDENTIELLE 2012 : Révélations sur les grands secrets des cinq sages
On est loin des moments invivables, où les «cinq sages» étouffaient sous le poids des suspicions, des invectives, des accusations, des insultes. Comme ce jour de 2011, quand un des cinq juges constitutionnels a poussé, la mine en berne, la porte d’un de ses collègues du Conseil : «Qu’est-ce que ça te ferait si on ne traite de «corrompu» et de «fils de p…» sur Internet ?» Le gars était abasourdi, car sa fille cadette venait de lire toutes les insanités déversées sur lui. Et avait commis l’indélicatesse de lui en faire part.

Aujourd’hui, par ce temps de dépression, les cinq sages l’avouent à mots couverts, pudiques : «Certains d’entre nous, moins habitués à être exposés publiquement durant presque tout leur cursus professionnel, ont vécu l’enfer, des moments horribles», concède un des juges constitutionnels. «C’est surtout nos entourages, nos proches qui en ont plus souffert», dit-on en écho au sein du Conseil. «Moi, reprend l’un des juges constitutionnels, j’avais demandé à ma maman de ne pas écouter la radio ou de suivre la télé quand on évoque le Conseil. Je voulais l’épargner des insanités qu’on déversait sur nous.»

Chaque aveu laisse affleurer que les attaques ont fait mal, laissant parfois des traces indélébiles. Et ce n’est pas la poussée de fièvre épistolaire de Malick Noël Seck qui a fait le plus gerber au sein du Conseil. Mais plutôt les virulences décochées par le Secrétaire général de la Ligue démocratique (Ld), Abdoulaye Bathily : «Ils ont tous des Paul Yao Ndré (Ancien Président du Conseil constitutionnel de la Côte d’Ivoire qui avait proclamé les résultats qui consacrent la victoire de Laurent Gbagbo». Ou par le candidat Ibrahima Fall, ancien Doyen de la Faculté des Sciences juridiques de l’UCAD, qui les a traités de «corrompus». «Comment a-t-il pu nous traiter ainsi, alors qu’il a connu ou pratiqué la plupart d’entre nous, regrettent vivement les «Sages». Et le plus dur a été de ne pas pouvoir répondre, parce que nous sommes tenus par une obligation de réserve. C’est infernal de subir, toujours subir, sans pouvoir répondre.»

Las de souffrir un silence, d’assister «impuissant» à un procès en sorcellerie en leur encontre orchestré par des politiciens partisans et des intellectuels parfois malhonnêtes, un des «cinq sages» avoue aujourd’hui avoir régulièrement pris sa plume pour signer, sous pseudonymes, différents des tribunes (contributions dans le débat sur le Conseil Constitutionnel) dans les journaux de la place. Ecrire pour se soulager de trop de maux, pour soulever surtout le couvercle de la marmite bouillante.

Un besoin d’air pur face au silence ignoble des rédacteurs de la Constitution, coupables aux yeux des «cinq sages» du charivari autour de la candidature controversée de Wade. «Un des rédacteurs m’a avoué que la mégarde à l’origine de la controverse, témoigne un des juges constitutionnels. Quand ils ont fini de rédiger la Constitution, m’a-t-il dit, ils ont soumis la mouture au Président Wade. Celui-ci leur a signifié qu’il voulait rester chef de parti. Alors quand ils ont modifié les textes, ils ont commis le coupable «oubli» de ne pas verrouiller les articles sur le nombre de mandats qu’il reste à Wade.»

Mais aujourd’hui, tout cela se conjugue au passé, même si toutes les plaies ne se sont pas cautérisées : «Le Conseil revendique collectivement la partie du discours du Président Cheikh Tidiane Diakhaté lors de l’investiture de Macky Sall dans laquelle il répondait à nos détracteurs, insiste un des cinq sages. Cela a fait débat, mais c’était l’unique occasion que l’on disposait pour parler, solder nos comptes. C’était le moment ou jamais.»

En attendant de tout panser, le coffre-fort des cinq sages s’ouvre progressivement et laisse s’échapper d’incroyables secrets.


SECRET 1 : Comment Wade a été validé à l’unanimité, en une heure top chrono ?


L’affaire a pollué l’atmosphère nationale pendant plus d’un an, généré les plus folles passions, nourri tous les fantasmes. Au final, les «Sages» l’ont évacuée en… un tour d’horloge. «La candidature de Me Wade à la Présidentielle nous a pris à peine une heure», sourit un des cinq membres du Conseil constitutionnel. Une petite heure pour prendre la décision constitutionnelle la plus attendue de l’histoire politique récente du Sénégal. Et «à l’unanimité», renseigne un «sage».

Ce vendredi 27 janvier, Dakar bout, la Place de l’Obélisque est incandescente, le Sénégal tout entier croise les doigts. Les Cassandre promettent le pire, le diable est dans presque tous les corps. Aux Almadies de Dakar, dans le secret de la salle de délibération du Conseil constitutionnel, le Président Cheikh Tidiane Diakhaté, le vice-président Isaac Yankhoba Ndiaye et leurs collègues Mohamed Sonko, Siricondy Diallo et Malick Chimère Diouf manipulent le dossier incandescent : le Président Wade pourra-t-il briguer un troisième mandat consécutif ? Au-dehors, tout un peuple est tout ouïe, habité par toutes les peurs.

Dans les locaux du Conseil constitutionnel, autour du Président de Cheikh Tidiane Diakhaté, les idées sont pourtant claires. Car le sujet était presque épuisé. La réflexion autour du cas Wade avait très tôt commencé, sous l’ère de l’ancienne Présidente, Mireille Ndiaye : «On savait très tôt que le cas allait se poser à l’avenir, souffle-t-on autour des cinq sages. Et à l’époque, en 2009 précisément, un mini-séminaire avait été organisé. Chacun des membres de l’institution avait produit un rapport dans lequel il avait produit son argumentaire et son contre-argumentaire juridiques sur la recevabilité ou non de la candidature du Président sortant.» A l’arrivée du Président Diakhaté en 2010, un deuxième séminaire s’était aussi tenu pour permettre aux «Sages» de s’«imprégner» davantage d’un sujet d’une délicatesse inouïe.

Alors, ce fameux vendredi 27 janvier, quand il s’est agi de statuer sur les candidatures à la Présidentielle, les délibérations sont allées très vite. Le rapporteur désigné par le Président Diakhaté rend sa conclusion : «La candidature de Wade est recevable !» Autour de lui, aucun des autres quatre «Sages» ne moufte. «Nous étions tous d’accord avec lui, et c’est allé très vite, renseigne un «Sage». Et si on a débattu pendant une heure, c’est juste parce que le rapporteur désigné n’avait pas motivé sa conclusion. Certains parmi nous estimaient qu’il fallait évoquer les articles 27 et 104 pour motiver notre décision, d’autres étaient contre. Au bout d’une heure de débat, nous avons trouvé le consensus d’apposer les motivations de notre décision dans le délibéré du Conseil.»

Dehors, l’écho du «Oui» des «Sages» fait l’effet d’une bombe. Le Sénégal brûle dans presque tous ses coins et recoins. Et le pire survient à Dakar : l’étudiant Mamadou Diop est fauché mortellement à la Place de l’Obélisque. «Mais, croyez-moi, ici au Conseil, nous ne portons pas cette mort sur notre conscience, même si nous la déplorons vivement comme toutes les autres, dit-on au Conseil constitutionnel. Nous avons notre conscience avec nous, car nous estimons avoir la vérité et le Droit de notre côté.»



SECRET 2 : Comment la candidature de Idrissa Seck a été sauvée in extremis ?


C’était une revanche bien mûrie, servie comme un plat à manger froid. C’était l’occasion rêvée pour Wade de faire payer à ses «fils» leurs effronteries, leurs «traîtrises»… On est le samedi 28 janvier 2012. La veille, 14 candidats à la Présidentielle sur 17 ont été «validés» par le Conseil constitutionnel. Le camp du candidat du Pds et des «Fal2012» dépose des recours en annulation des candidatures de Idrissa Seck, Macky Sall et Cheikh Tidiane Gadio, tous issus des flancs de la majorité sortante. Pour l’opinion chronique, ces recours sont introduits par les Fal2012 comme de simples effets de manche, pour contrecarrer médiatiquement les multiples recours contre la validation de la candidature controversée de Wade. Mais la tactique est plus pernicieuse, plus cynique.

Le camp de Wade avait mûri un sale coup. La coalition «Fal2012» du candidat Wade avait déposé un recours aux fins de faire rejeter les candidatures de Macky Sall, Cheikh Tidiane Gadio et Idrissa Seck pour «défaut de quitus fiscal». Sans doute informé par les services de l’Etat, le camp de Wade savait que ces trois candidats avaient quelques soucis avec le fisc. Avertis sans doute par des «agents doubles», Macky et Gadio ont préféré se mettre en règle, en déposant un quitus dans leur dossier de candidature. Idy, lui, se contente d’une déclaration sur l’honneur. Et cela a failli lui être fatal.

«Dans leur recours, le camp de Wade avait signifié qu’il allait apporter la preuve qu’Idrissa Seck n’était pas en règle avec le fisc, raconte-t-on au Conseil constitutionnel. Ils étaient sûrs de leur fait. Mais on était le samedi et il leur fallait attendre lundi, jour ouvrable, pour pouvoir, sans doute, accéder au dossier «incriminant» Idrissa Seck.» Qui sera miraculeusement sauvé par la décision des cinq «Sages» à vider les recours dès le dimanche 29 janvier. «Pourtant, le Conseil constitutionnel dispose d’un délai d’au moins 5 jours pour statuer sur les recours, souligne-t-on au Conseil constitutionnel. Si on avait repoussé seulement de 24 heures nos délibérations (lundi, jour ouvrable), Idrissa Seck serait sans doute forclos et sa candidature serait techniquement irrecevable. Dans le camp de Wade, on n’a pas jusque-là compris pourquoi le Conseil s’est dépêché de délibérer dès le dimanche…» Finalement, seules les candidatures de Youssou Ndour, Kéba Keindé et Abdourahmane Sarr seront invalidés. Idy l’a échappé belle…


SECRET 3 : Qui gagne 5 millions FCfa par mois au Conseil constitutionnel ?


Tout est parti d’une «belle idée» de Nafi Ngom Ndour. Un beau jour, Madame le Vérificateur général de l’Inspection générale d’Etat (Ige) toque à la porte de la salle d’audience du Président Wade. Se sachant prise en affection par le chef de l’Etat, la cheftaine de l’Ige s’en ouvre au patriarche du Palais : «M. Le Président Wade, les chefs des corps de contrôle et des hautes juridictions sénégalaises sont les plus mal payés de la sous-région», lui expose-t-elle en substance. Généreux devant l’Eternel, Me Wade lui demande de lui faire des «propositions pour réparer ces injustices».

Nafi Ngom Ndour a les coudées franches et engage la concertation avec ses collègues. Sans perdre de temps, elle s’en ouvre au Président de la Cour des comptes, Abdou Bame Guèye. Celui-ci lui suggère, à son tour, que la mesure soit élargie à tous les chefs de juridiction et de mission de vérification du Sénégal. Au finish, ils seront six (6) privilégiés à bénéficier du traitement royal de 5 millions de francs Cfa par mois : Nafi Ngom Ndour (Vérificateur général de l’Ige), Abdou Bame Guèye (président de la Cour des comptes), Fara Mbodji (Commissaire Droit de la Cour des comptes), Abdoulaye Gaye (Procureur général près la Cour suprême) et… Cheikh Tidiane Diakhaté (Président du Conseil constitutionnel).

«Le Président Diakhaté a été le dernier nom ajouté à ce décret signé par Wade et qui n’a pas suivi la filière classique, sinon la «fuite» aurait eu lieu très tôt, rapporte-t-on. Au sein du Conseil constitutionnel, seul le Président Cheikh Tidiane Diakhaté a bénéficié de cette substantielle augmentation de salaire. Les autres ont conservé leurs émoluments mensuels qui ne dépassement pas 1,5 million FCfa.»



SECRET 4 : Quelle est la vérité sur les voitures offertes par Wade ?



L’affaire avait fait grand bruit. Au moment où le Conseil constitutionnel est épié de toutes parts, vilipendé de partout, Wade décide de mettre à la disposition des cinq membres du Conseil constitutionnel de nouvelles voitures de fonction. La clameur populaire bruit de suspicions, voire d’accusations de corruption manifeste. «C’était une décision inopportune, juge aujourd’hui un des cinq «Sages». Le moment était mal choisi, même l’acte partait de bons sentiments. Mieux, il n’avait rien d’exceptionnel.» Ni de scandaleux.

A l’époque, la Présidence avait prix la décision d’attribuer à quelques corps de l’Etat les véhicules qui ont servi lors du dernier Sommet de l’Organisation de la conférence islamique (Oci) du 7 au 14 mars 2008 à Dakar. Après que plusieurs départements ministériels et autres démembrements de l’Etat ont été servis, les autorités étatiques ont pensé doter le Conseil constitutionnel de véhicules offerts en 2006 par la Coopération chinoise. «Mais c’est arrivé à un moment délicat, raconte un proche des cinq «Sages». Il y avait tellement de fureur dans le pays, que certains membres du Conseil constitutionnel n’ont pas voulu utiliser ces nouveaux véhicules de fonction.»

«Je n’ai pas pris la mienne, avoue un des «Sages». Déjà, j’avais ma première voiture de fonction, une Mercedes, et je disais au Président Diakhaté que je n’avais pas besoin d’une deuxième. C’était superflu. Seuls ceux parmi nous dont les Mercedes étaient en panne utilisent ces nouveaux véhicules. Et ils ne sont pas très commodes, parce qu’ils consomment beaucoup de carburant.»



SECRET 5 : Pourquoi n’y a-t-il pas de constitutionnaliste parmi les 5 «Sages» ?


Au fort moment du vacarme autour du Conseil constitutionnel, la chronique s’étonnait de l’absence d’un juriste-constitutionnaliste parmi les cinq «Sages». Un débat posé avec fureur autour de la composition du Conseil constitutionnel : trois magistrats (Cheikh Tidiane Diakhaté, Malick Chimère Diouf et Mohamed Sonko), un Inspecteur général d’Etat (Siricondy Diallo) et un professeur agrégé de Droit… pénal (Isaac Yankhoba Ndiaye). Pourquoi ce dernier, alors que les Universités du pays pullulent de constitutionnalistes ambitieux, frustrés de ne pas pouvoir accéder à pareille station ?

L’histoire débute en 2009, au départ du Conseil constitutionnel du Pr Boubacar Kanté. Au moment de procéder à son remplacement, le pouvoir bute sur les conditions d’éligibilité. Le titulaire doit être un professeur d’Université, avoir été un Doyen de la Faculté des Sciences juridiques et capitaliser une expérience d’au moins 25 ans d’enseignement supérieur. Moustapha Sourang, alors ministre de la Justice, prend langue avec les autorités de la Faculté des Sciences juridiques de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad). Après un tour dans la salle des Profs, on se rend compte que seul Isaac Yankhoba Ndiaye a l’heur de satisfaire à toutes les conditions. Pour cause : le Professeur Babacar Guèye n’avait pas cumulé 25 ans d’expérience dans l’enseignement ; El Hadji Mbodji n’était pas encore Professeur, tout comme Ismaïla Madior Fall ; Pape Demba Sy ne l’est pas. Et Amsatou Sow Sidibé, quoique professeur, n’a jamais été Doyenne et n’était plus en phase avec Wade.

Il ne reste plus que le seul Isaac Yankhoba Ndiaye. Problème : il enseigne en France où il gagne bien sa vie. On le rappelle pour une consultation, mais il traîne les pieds. Ses «supérieurs» finissent par lui opposer un argument-massue : «On ne peut pas vous couvrir légalement pour une demande de disponibilité de 8 ans.» Il renonce à ses 3 800 Euros mensuels (environ 2,4 millions FCfa) en France, revient alors au Sénégal et accepte le poste de vice-président du Conseil constitutionnel, alors présidé par la magistrate Mireille Ndiaye. «Aujourd’hui, souffle un de ses proches, son salaire de vice-président du Conseil ne dépasse pas 1 million 350 mille francs.» Un «sacrifice» fait au nom de la patrie qui ne lui rapporte pas que des choses positives à cet agrégé du Droit, professeur à la réputation sans tache, qui ne se fait pas de complexes vis-à-vis du Conseil constitutionnel. «Le débat autour de l’absence de constitutionnaliste au sein du Conseil est fallacieux, déjà qu’il n’est entretenu que par des ambitieux qui rêvent du poste, dit-on à l’Ucad. Pour preuve : le meilleur président du Conseil constitutionnel français est Robert Badinter, un pénaliste.» Comme Isaac Yankhoba Ndiaye…

Ndiaga Ndiaye l'osb

( Les News )


1.Posté par le fou le 08/04/2012 06:56 | Alerter
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foutaise la candidature de youssou ndour falllait en parler on aimerait connaitre la reponse. Il avait tout planifier. honte a eux pour l'eternite

2.Posté par schwarzeraal le 08/04/2012 09:17 | Alerter
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ces 5 singes dougnou rousse, ils manquent de courage c´est aprés la bataille gagnée par le peuple qu´ils sortent de leurs trous pour raconter des ragots.qui doit les croire car une fois menteur ou corrompu ils le resteront toujours.je trouve injuste que ces juges ,politiciens et autres fonctionaires gagne 20 fois ou 50 plus que le guorguolou. douyone c´´est trop injustice ,on aura beau reduire les prix de denrées ,ils vivront mieux mieux qu´eux en défendant le mensonge et le crime.kidilékke thiébou caroline kénéne dilékke dougoubou pithe. sauerei

3.Posté par lissa le 08/04/2012 15:04 | Alerter
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conseil constitutionnel de merde....SENE DAYIII NDAYE WAYE
conseil constitutionnel de merde....SENE DAYIII NDAYE WAYE
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conseil constitutionnel de merde....SENE DAYIII NDAYE WAYE

4.Posté par bath le 09/04/2012 00:25 | Alerter
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J'ai honte pour ces gens, Medcin aprés la mort, ils devraient démissionner . Mais DEUGG rek kay moudj.ILS REGARDERONT LES SENEGALAIS LA TETE BAISSEE.
BRAVO LES SENEGALAIS QUI ONT TRANCHE AVEC L 'AIDE DE DIEU
HONTE a CES GENCES .

5.Posté par ngôor le 09/04/2012 01:39 | Alerter
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Tout le monde peut noter en bas de page les mises en garde censées représenter les règles de fonctionnement du site. Mais je suis surpris chaque fois de constater que beaucoup d'interventions les violent allègrement et ce, impunément. La question est la suivante:
- un contrôle est-il effectué a priori?
- dans la négative, les administrateurs de Seneweb assument-ils la responsabilité du contenu des écrits?. J'aimerais bien être édifié puisqu'il ne me semble pas juste qu'un citoyen s'abrite derrière l'anonymat de son clavier et s'autorise à déverser toutes sortes d' insultes sur un autre, sans  aucune conséquence pour lui-même.

6.Posté par L''''africain le 09/04/2012 02:31 | Alerter
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Ces cinq sages je l'ai connais pas tous mais je reconnais que c'est de grands messieurs. Sérieusement tous les gens qui les ont fréquentés soutiennent qu'ils sont incorruptibles contrairement à ce que pensent beaucoup de sénégalais. Au Sénégal on aime souvent trainer par terre l'honneur d'honnetes citoyens et inlassables serviteurs de la république sans etre sur de ce que l'on avance. Tous mes respects à vous messieurs!

7.Posté par deug deug rek le 09/04/2012 13:59 | Alerter
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c'est des histoires ils sont corrompus juska leur trou du c_ _ . Meme gorgui avait dit qu'il avait bloqué la constitution, donc they can all go to hell. tous les 5 singes du conseil. C'est Allah qui a réglé la situation au Sénégal.
Donc les sages du conseil u ain't nothing but shitty ass corrupt asses!!!! donkeys

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