Les plaintes déposées par le président Wade et son fils Karim, à l'encontre de Me William Bourdon, pour diffamation devant le Tribunal hors
classe de Dakar, pour une interview qui ce dernier a accordée au journal «Le Parisien», n'ébranlent pas les avocats de ce dernier. Une sortie
dans laquelle, Me Bourdon indiquait que, les premières plaintes déposées en France visant différents chefs d'Etats, pourraient être élargies à Messieurs Abdoulaye et Karim Wade. Les Conseils de Maître William Bourdon, Mes Simon Ndiaye et Jean-Pierre Mignard qui, dans un communiqué, «s’étonnent de cette initiative judiciaire», qu'ils trouvent «précipitée alors que quiconque procède à une analyse objective des propos tenus par Maître William Bourdon se convaincra aisément de leur caractère très prudentiel», précisent que, ce dernier «n’impute aucun fait précis par ailleurs à l’égard de Messieurs Abdoulaye et Karim Wade et, pas plus, ne tient des propos de nature outrageante à leur endroit».
Ce qui leur fait marteler, «ces plaintes que l’on a voulu annoncer avec fracas, se résument à une simple opération de communication, voire de diversion». Allant plus loin, l'un des avocats de Bara Tall, lors de son procès des chantiers de Thiès et son collègue d'indiquer : «elles témoignent de la fébrilité et de l’inquiétude de Messieurs Abdoulaye et Karim Wade qui, comme tout chef d’Etat ou agent public, se doivent, s’agissant des deniers publics, de rendre compte de l’intégrité et de la probité avec lesquelles ils les ont utilisés au mieux de l’intérêt général du peuple sénégalais». Mes Ndiaye et Mignard qui précisent que, «L’Association Sherpa, présidée par Maître William Bourdon, a démontré l’état d’avancement spectaculaire des procédures visant les biens mal acquis, relatifs à trois autres chefs d’Etat africains, son professionnalisme et sa rigueur», disent de manière claire que, «si Messieurs Abdoulaye et Karim Wade n’ont rien à se reprocher, leur seule attitude aurait dû être celle de la sérénité». Et, «leur initiative judiciaire témoigne du contraire».
SOURCE:piccmi.com
classe de Dakar, pour une interview qui ce dernier a accordée au journal «Le Parisien», n'ébranlent pas les avocats de ce dernier. Une sortie
dans laquelle, Me Bourdon indiquait que, les premières plaintes déposées en France visant différents chefs d'Etats, pourraient être élargies à Messieurs Abdoulaye et Karim Wade. Les Conseils de Maître William Bourdon, Mes Simon Ndiaye et Jean-Pierre Mignard qui, dans un communiqué, «s’étonnent de cette initiative judiciaire», qu'ils trouvent «précipitée alors que quiconque procède à une analyse objective des propos tenus par Maître William Bourdon se convaincra aisément de leur caractère très prudentiel», précisent que, ce dernier «n’impute aucun fait précis par ailleurs à l’égard de Messieurs Abdoulaye et Karim Wade et, pas plus, ne tient des propos de nature outrageante à leur endroit».
Ce qui leur fait marteler, «ces plaintes que l’on a voulu annoncer avec fracas, se résument à une simple opération de communication, voire de diversion». Allant plus loin, l'un des avocats de Bara Tall, lors de son procès des chantiers de Thiès et son collègue d'indiquer : «elles témoignent de la fébrilité et de l’inquiétude de Messieurs Abdoulaye et Karim Wade qui, comme tout chef d’Etat ou agent public, se doivent, s’agissant des deniers publics, de rendre compte de l’intégrité et de la probité avec lesquelles ils les ont utilisés au mieux de l’intérêt général du peuple sénégalais». Mes Ndiaye et Mignard qui précisent que, «L’Association Sherpa, présidée par Maître William Bourdon, a démontré l’état d’avancement spectaculaire des procédures visant les biens mal acquis, relatifs à trois autres chefs d’Etat africains, son professionnalisme et sa rigueur», disent de manière claire que, «si Messieurs Abdoulaye et Karim Wade n’ont rien à se reprocher, leur seule attitude aurait dû être celle de la sérénité». Et, «leur initiative judiciaire témoigne du contraire».
SOURCE:piccmi.com