naturellement, «venger» son aîné de l’affront des deux jeunes «impudents», Balla Gaye n°2 et Lac de Guiers n°2. Mais d’autres challenges attendent le «Nouveau Tigre de Fass».
Comme tout lutteur qui subit une succession de défaites, on peut affirmer, sans risque de se tromper, que «Gris Bordeaux est dans un cul-de-sac». Implicitement, une telle situation s’accompagne d’une baisse de la côte boursière, au grand bonheur des promoteurs. Si après son revers face à Balla Bèye n°2, le Fassois a obtenu un cachet encore plus intéressant face à Yékini, c’est qu’il maintenait toujours l’espoir de pouvoir mettre fin à l’invincibilité du chef de file de l’écurie Ndakaru. Maintenant que les choses sont claires dans l’esprit de tous, il s’impose à lui de redescendre sur terre en empruntant l’escalier, marche par marche. D’autant plus d’ailleurs que ses détracteurs affirment qu’il avait «emprunté des raccourcis pour accéder au sommet».
Descendre l’escalier suppose, pour le successeur de Tapha Guèye, d’accorder des revanches à ceux qu’il avait battus auparavant, notamment Khadim Ndiaye n°2, Eumeu Sène, Tyson Jr, Serigne Dia «Bombardier», ou alors demander une revanche à Abdou Diouf et Balla Bèye n°2. Sinon, pourquoi ne pas accepter le défi de la nouvelle vague, symbolisée par Modou Lô, Lac de Guiers n°2 et Balla Gaye n°2 ?. D’autant que ces deux derniers ont empêché son mentor, Moustapha Guèye, de terminer sa carrière en beauté, pour l’avoir battu tous les deux !. C’est un autre challenge à relever pour lui et pour tous les autres Fassois.
Mais pour arriver à s’imposer au sommet de l’arène, le poulain de Mbaye Guèye devra surtout revoir sa stratégie de combat, dont ses appuis au sol. Sur quatre combats, au moins, on a remarqué que pour un rien, Gris Bordeaux s’est mis à genou. C’est arrivé contre Tyson Jr, Bombardier, Balla Bèye n°2 et Yékini. Cela signifie-t-il que le lutteur a des pieds d’argile ? On est tenté de le croire. Par deux fois, cela lui a coûté très cher. Il y a également un excès de confiance qu’il lui faut combattre et souvent, semble le pousser à prendre des risques inconsidérés, comme cette attaque préméditée, pour ne pas dire «téléphonée» face à Yékini, alors que l’effet de surprise lui aurait, peut-être, offert plus de chance de réussir sa prise.
Mais au-delà de Gris Bordeaux, c’est toute l’écurie de Fass qui doit méditer sur son sort. Cette saison, comme la précédente, les Fassois n’ont quasiment aligné que des défaites. Les rares éclaircies sont venues des lutteurs moins adulés, notamment Papa Sow, Boy Nar, tandis que Bruce Lee. Ouza, Balla Diouf, Gris Bordeaux, Zale Lô, Rock Mbalax et autres starlettes de Fass n’y ont vu que du feu. Ce ; sans compter les querelles internes qui ont fini de miner la cohésion du groupe
Comme tout lutteur qui subit une succession de défaites, on peut affirmer, sans risque de se tromper, que «Gris Bordeaux est dans un cul-de-sac». Implicitement, une telle situation s’accompagne d’une baisse de la côte boursière, au grand bonheur des promoteurs. Si après son revers face à Balla Bèye n°2, le Fassois a obtenu un cachet encore plus intéressant face à Yékini, c’est qu’il maintenait toujours l’espoir de pouvoir mettre fin à l’invincibilité du chef de file de l’écurie Ndakaru. Maintenant que les choses sont claires dans l’esprit de tous, il s’impose à lui de redescendre sur terre en empruntant l’escalier, marche par marche. D’autant plus d’ailleurs que ses détracteurs affirment qu’il avait «emprunté des raccourcis pour accéder au sommet».
Descendre l’escalier suppose, pour le successeur de Tapha Guèye, d’accorder des revanches à ceux qu’il avait battus auparavant, notamment Khadim Ndiaye n°2, Eumeu Sène, Tyson Jr, Serigne Dia «Bombardier», ou alors demander une revanche à Abdou Diouf et Balla Bèye n°2. Sinon, pourquoi ne pas accepter le défi de la nouvelle vague, symbolisée par Modou Lô, Lac de Guiers n°2 et Balla Gaye n°2 ?. D’autant que ces deux derniers ont empêché son mentor, Moustapha Guèye, de terminer sa carrière en beauté, pour l’avoir battu tous les deux !. C’est un autre challenge à relever pour lui et pour tous les autres Fassois.
Mais pour arriver à s’imposer au sommet de l’arène, le poulain de Mbaye Guèye devra surtout revoir sa stratégie de combat, dont ses appuis au sol. Sur quatre combats, au moins, on a remarqué que pour un rien, Gris Bordeaux s’est mis à genou. C’est arrivé contre Tyson Jr, Bombardier, Balla Bèye n°2 et Yékini. Cela signifie-t-il que le lutteur a des pieds d’argile ? On est tenté de le croire. Par deux fois, cela lui a coûté très cher. Il y a également un excès de confiance qu’il lui faut combattre et souvent, semble le pousser à prendre des risques inconsidérés, comme cette attaque préméditée, pour ne pas dire «téléphonée» face à Yékini, alors que l’effet de surprise lui aurait, peut-être, offert plus de chance de réussir sa prise.
Mais au-delà de Gris Bordeaux, c’est toute l’écurie de Fass qui doit méditer sur son sort. Cette saison, comme la précédente, les Fassois n’ont quasiment aligné que des défaites. Les rares éclaircies sont venues des lutteurs moins adulés, notamment Papa Sow, Boy Nar, tandis que Bruce Lee. Ouza, Balla Diouf, Gris Bordeaux, Zale Lô, Rock Mbalax et autres starlettes de Fass n’y ont vu que du feu. Ce ; sans compter les querelles internes qui ont fini de miner la cohésion du groupe