Au lendemain de la victoire de Bombardier, ils étaient nombreux à s’attendre à des retrouvailles entre Bombardier de Mbour et Yékini pour le Der de la saison. Mais c’est finalement le combat Yékini-Gris Bordeaux qui sera proposé au monde de la lutte le 26 juillet prochain.
Cette affiche inédite annoncée depuis quelques jours n’a été officialisée qu’hier vendredi 17 avril au siège du Comité national de gestion (Cng) de la lutte au stade Léopold Senghor. C’était en présence de Moustapha Ndoye, manager de Yékini, d’Alassane Diakhaté qui manage Gris Bordeaux et Gaston Mbengue.
Le promoteur a casqué pour cette vraie fausse affiche 140 millions F CFa. Le Roi des arènes « Yékini » touche toutefois le gros lot puisqu’il empoche 80 millions de Fcfa contre 60 millions pour son adversaire Gris Bordeaux.
Ce n’est pour rien que le promoteur a réservé cette confrontation pour le Der de la saison si l’on sait que les deux adversaires sont aujourd’hui très côtés à la bourse des valeurs de l’arène.
Les observateurs semblent cependant partagés sur la pertinence de cette affiche qu’ils jugent prématurée. D’aucuns vont même plus loin en soutenant qu’elle était un « bouche-trou ». C’est-à-dire, le seul moyen pour le promoteur d’organiser à cette date du 26 juillet après l’échec du combat qui devrait opposer Bombardier à Yékini.
Certains ne voyaient en effet pas de sitôt cette affiche. Ils avancent tout bonnement que Gris Bordeaux devrait davantage se mesurer avec les meilleurs espoirs du moment. Surtout si l’on sait que le Fassois sort d’une défaite concédée devant Baboye. Un lutteur qui a été terrassé à trois reprises par l’« Empereur des arènes », Yékini.
Quoi qu’il en soit cette affiche ne sera pas pour déplaire les amateurs et sera sans doute l’un des faits marquants de cette présente saison. Ce combat n’est pas sans rappeler la rivalité ayant opposé dans les années 70 et 80, l’écurie Sérère au temps de sa splendeur, à l’écurie Fass ou encore les duels entre Robert Diouf et Mbaye Guèye, Moustapha Guèye et Alioune Diouf entre autres.
Sans parler de l’entourage de Yékini composé de Mbaye Ciss, Katy Diop ou des écuries Ndakarou et Fass qui appartiennent tous au même moule : l’écurie Fass.
Ce combat charrie donc de multiples enjeux pour les deux lutteurs. Déjà mal engagée dans la présente saison et préoccupée par le dernier combat de sa tête de file Moustapha Guèye face à Balla Gaye n°2, l’écurie Fass est entre deux feux.
C’est pourquoi, elle s’achemine vers une fin de saison cruciale. Freiné dans son ascension par Baboye, celui que l’on surnomme le troisième Tigre de Fass, a donc le lourd challenge de se réhabiliter en réussissant là où tout le monde à échouer jusqu’ici : vaincre « l’invincible » « Empereur des arènes ».
Après son seul match nul concédé devant Moustapha Guèye de Fass, le sociétaire de l’écurie Ndakarou va, en plus de bâtir une seizième sortie en treize ans de présence de l’arène, prendre la revanche de son ancien lieutenant Antoine Bakhoum qui fait partie des premières victimes de Gris Bordeaux.
Cette affiche inédite annoncée depuis quelques jours n’a été officialisée qu’hier vendredi 17 avril au siège du Comité national de gestion (Cng) de la lutte au stade Léopold Senghor. C’était en présence de Moustapha Ndoye, manager de Yékini, d’Alassane Diakhaté qui manage Gris Bordeaux et Gaston Mbengue.
Le promoteur a casqué pour cette vraie fausse affiche 140 millions F CFa. Le Roi des arènes « Yékini » touche toutefois le gros lot puisqu’il empoche 80 millions de Fcfa contre 60 millions pour son adversaire Gris Bordeaux.
Ce n’est pour rien que le promoteur a réservé cette confrontation pour le Der de la saison si l’on sait que les deux adversaires sont aujourd’hui très côtés à la bourse des valeurs de l’arène.
Les observateurs semblent cependant partagés sur la pertinence de cette affiche qu’ils jugent prématurée. D’aucuns vont même plus loin en soutenant qu’elle était un « bouche-trou ». C’est-à-dire, le seul moyen pour le promoteur d’organiser à cette date du 26 juillet après l’échec du combat qui devrait opposer Bombardier à Yékini.
Certains ne voyaient en effet pas de sitôt cette affiche. Ils avancent tout bonnement que Gris Bordeaux devrait davantage se mesurer avec les meilleurs espoirs du moment. Surtout si l’on sait que le Fassois sort d’une défaite concédée devant Baboye. Un lutteur qui a été terrassé à trois reprises par l’« Empereur des arènes », Yékini.
Quoi qu’il en soit cette affiche ne sera pas pour déplaire les amateurs et sera sans doute l’un des faits marquants de cette présente saison. Ce combat n’est pas sans rappeler la rivalité ayant opposé dans les années 70 et 80, l’écurie Sérère au temps de sa splendeur, à l’écurie Fass ou encore les duels entre Robert Diouf et Mbaye Guèye, Moustapha Guèye et Alioune Diouf entre autres.
Sans parler de l’entourage de Yékini composé de Mbaye Ciss, Katy Diop ou des écuries Ndakarou et Fass qui appartiennent tous au même moule : l’écurie Fass.
Ce combat charrie donc de multiples enjeux pour les deux lutteurs. Déjà mal engagée dans la présente saison et préoccupée par le dernier combat de sa tête de file Moustapha Guèye face à Balla Gaye n°2, l’écurie Fass est entre deux feux.
C’est pourquoi, elle s’achemine vers une fin de saison cruciale. Freiné dans son ascension par Baboye, celui que l’on surnomme le troisième Tigre de Fass, a donc le lourd challenge de se réhabiliter en réussissant là où tout le monde à échouer jusqu’ici : vaincre « l’invincible » « Empereur des arènes ».
Après son seul match nul concédé devant Moustapha Guèye de Fass, le sociétaire de l’écurie Ndakarou va, en plus de bâtir une seizième sortie en treize ans de présence de l’arène, prendre la revanche de son ancien lieutenant Antoine Bakhoum qui fait partie des premières victimes de Gris Bordeaux.