Le secteur des professions libérales de la Direction des impôts pourraient être prise d'assaut par les lutteurs dans les jours à venir. En effet, les lutteurs qui avaient reçu des sommations pour s'acquitter de leurs impôts auprès des services fiscaux commencent à répondre à la directive. C'est ainsi que Yakhya Diop «Yékini» de l'écurie Ndakaaru et Lac de Guiers N°2 de l'écurie Walo sont déjà passés à la caisse.
Concernant le Diato du Pakao, Lac de Guiers 2, El Hadji Ousseynou Diop «Azou», chargé de la communication du lutteur, renseigne : «Nous sommes allés, vendredi dernier, à la Direction des impôts rencontrer Abdoul Aziz Guèye qui est le chef du centre et deux de ses collaborateurs, les inspecteurs Momath Seck et Meïssa Ngom. Nous avons discuté avec eux avant de prendre l'engagement de payer un moratoire pour Lac 2, qui séjourne actuellement en Espagne pour 45 jours afin de peaufiner sa préparation».
«Azou» précise du reste que «la Direction des impôts demande à Lac de Guiers de payer un million de francs plus une pénalité de 250,000 francs Cfa. Nous avons par la suite demandé l'annulation de l'amende de 250 000 francs Cfa afin de payer seulement le million sous forme d'un moratoire. Nous avons, dans ce dessein, introduit une demande d'annulation de pénalité et nous attendons la réponse qui ne saurait tarder. Mais, quoi qu'il en soit, nous avons déjà pris l'engagement de payer».
Au niveau de la Direction des impôts, un responsable confirme que des démarches pour régulariser sont déjà en cours en ce qui concerne «Yékini» et Lac de Guiers 2. Et que, pour ce qui est de «Tyson», il a répondu aux différentes correspondances et devrait sous peu être reçu par les inspecteurs afin de régulariser sa situation auprès du fisc, comme il s'y est déjà engagé.
Le président des amateurs Doudou Diagne «Diecko», qui a eu à jouer un rôle de facilitateur, n'a pas manqué de sensibiliser les lutteurs pour les exhorter à se rapprocher du service des impôts afin de discuter de la question du redressement fiscal et parvenir à un accord. Car, selon lui, «tout citoyen doit payer ses impôts. En plus, ce serait une bonne chose pour inciter les autorités à construire l'arène nationale. Parce qu'on ne peut pas demander à l'Etat de construire une arène nationale et ne pas s'acquitter de ses devoirs», souligne-t-il.
Mb. J. DIOP
Source Le Populaire
Concernant le Diato du Pakao, Lac de Guiers 2, El Hadji Ousseynou Diop «Azou», chargé de la communication du lutteur, renseigne : «Nous sommes allés, vendredi dernier, à la Direction des impôts rencontrer Abdoul Aziz Guèye qui est le chef du centre et deux de ses collaborateurs, les inspecteurs Momath Seck et Meïssa Ngom. Nous avons discuté avec eux avant de prendre l'engagement de payer un moratoire pour Lac 2, qui séjourne actuellement en Espagne pour 45 jours afin de peaufiner sa préparation».
«Azou» précise du reste que «la Direction des impôts demande à Lac de Guiers de payer un million de francs plus une pénalité de 250,000 francs Cfa. Nous avons par la suite demandé l'annulation de l'amende de 250 000 francs Cfa afin de payer seulement le million sous forme d'un moratoire. Nous avons, dans ce dessein, introduit une demande d'annulation de pénalité et nous attendons la réponse qui ne saurait tarder. Mais, quoi qu'il en soit, nous avons déjà pris l'engagement de payer».
Au niveau de la Direction des impôts, un responsable confirme que des démarches pour régulariser sont déjà en cours en ce qui concerne «Yékini» et Lac de Guiers 2. Et que, pour ce qui est de «Tyson», il a répondu aux différentes correspondances et devrait sous peu être reçu par les inspecteurs afin de régulariser sa situation auprès du fisc, comme il s'y est déjà engagé.
Le président des amateurs Doudou Diagne «Diecko», qui a eu à jouer un rôle de facilitateur, n'a pas manqué de sensibiliser les lutteurs pour les exhorter à se rapprocher du service des impôts afin de discuter de la question du redressement fiscal et parvenir à un accord. Car, selon lui, «tout citoyen doit payer ses impôts. En plus, ce serait une bonne chose pour inciter les autorités à construire l'arène nationale. Parce qu'on ne peut pas demander à l'Etat de construire une arène nationale et ne pas s'acquitter de ses devoirs», souligne-t-il.
Mb. J. DIOP
Source Le Populaire