« Depuis des décennies, globalement, les succès de rapatriement d’argent vers l’Afrique s’élèvent à cinq milliards de dollars depuis le début des procédures de recouvrement d’avoirs, avec notamment UN milliard de dollars et demi dans le cas d’Abba Abacha (fils du dictateur nigérian Sani Abacha, décédé en juin 1998) », a dit le magistrat suisse Yves Aeschlimann interrogé par nos confrères de l’Aps.
L’expert de la Banque mondiale participait à un séminaire portant sur le recouvrement des biens mal acquis. Il a indiqué qu’il y a des exemples de rapatriement de fonds réussis, mais a-t-il relativisé, « il faut mettre cela en proportion avec les montants qui ont été détournés par l’ensemble des chefs d’Etat ou gouvernement corrompus et parle de montant avoisinant 20 à 40 milliards de dollars par année ».
Les autorités sénégalaises qui envisagent de rapatrier l’argent détourné par d’anciens hauts responsables qui étaient aux affaires pourront compter sur l’appui de la Banque mondiale. M. Aeschlimann dit espérer que les résultats suivront plus vite au Sénégal, tout en demander aux Sénégalais, de prendre leur mal en patience : « Il peut y avoir des succès rapides et des succès nationaux. Nous espérons que certains biens se trouvent sur le niveau national et ainsi ces recouvrements devraient théoriquement être récupérés plus rapidement ».
SOURCE:NETTALI.NET
L’expert de la Banque mondiale participait à un séminaire portant sur le recouvrement des biens mal acquis. Il a indiqué qu’il y a des exemples de rapatriement de fonds réussis, mais a-t-il relativisé, « il faut mettre cela en proportion avec les montants qui ont été détournés par l’ensemble des chefs d’Etat ou gouvernement corrompus et parle de montant avoisinant 20 à 40 milliards de dollars par année ».
Les autorités sénégalaises qui envisagent de rapatrier l’argent détourné par d’anciens hauts responsables qui étaient aux affaires pourront compter sur l’appui de la Banque mondiale. M. Aeschlimann dit espérer que les résultats suivront plus vite au Sénégal, tout en demander aux Sénégalais, de prendre leur mal en patience : « Il peut y avoir des succès rapides et des succès nationaux. Nous espérons que certains biens se trouvent sur le niveau national et ainsi ces recouvrements devraient théoriquement être récupérés plus rapidement ».
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