"La Conférence des Leaders a suivi, avec intérêt, les différentes péripéties du processus laborieux et difficile, ayant conduit à la libération de Clotilde REISS, citoyenne française, arrêtée en République Islamique d’Iran, dans le cadre de manifestations anti-gouvernementales.
La Conférence des Leaders tient à rendre un hommage mérité au Président Abdoulaye Wade, en sa double qualité de Président en exercice de l’Organisation de la Conférence Islamique et de Chef de l’Etat du Sénégal, pour le rôle majeur qu’il a joué dans cette affaire, au triple plan, diplomatique, politique et humanitaire, conformément aux valeurs et principes de l’Islam, ainsi qu’à ceux du Sénégal, terre d’humanisme, de tolérance, de paix, de pardon et de dépassement, qui s’est illustré, depuis des siècles, comme un modèle de démocratie et de défense des droits humains, notamment, depuis le 19 Mars 2000, qui marque l’avènement de l’Alternance, avec la venue au pouvoir de Maître Wade . La libération de Clotilde REISS est, avant tout, une grande victoire de toute l’OCI et de son Président en exercice.
La Conférence des Leaders félicite, pour cela, tous les Etats membres de l’OCI, qu’une certaine opinion a toujours cherché et cherche encore, en déformant, systématiquement, l’histoire, à faire passer pour une humanité obscurantiste et moyen-âgeuse, alors que quand l’Islam accordait aux droits attachés à la personne humaine, une place importante, aucun des événements majeurs sur lesquels, se fonde l’idéologie actuelle des droits de l’homme, n’avait vu le jour dans aucun des pays à dominante non islamique. En se saisissant de l’affaire Clotilde REISS et en la conduisant avec une maestria, un talent, une compétence et une efficacité consommés, le Président en exercice de l’OCI a infligé un démenti cinglant à tous les falsificateurs de l’histoire et aux cinquièmes colonnes officiant dans tous les pays de la planète, qui relaient les fausses idées sur lesquelles, ils ont bâti un leadership unilatéral et une supériorité immanente que rien ne justifie.
Sans l’apport de l’Asie, du monde arabe, de l’Afrique, des Amériques et des Caraïbes, la configuration du monde actuel et la géopolitique qu’elle dessine auraient été bien différentes.
Evidemment, le fait qu’un Chef d’Etat noir, musulman de surcroît, ait réussi une performance aussi remarquable, dans un dossier aussi délicat, infirme les thèses de Gobineau, qui prévalent encore dans certains milieux et honore tous les patriotes et démocrates du monde noir. Mais, il ne laisse évidemment pas indifférents tous ceux, dont la mission a toujours été d’infantiliser les peuples anciennement colonisés, de nier leurs aptitudes à la maturité et leur capacité à gérer les affaires les concernant et celles du monde, en pleine indépendance et souveraineté, ainsi que les thuriféraires qui leur tiennent lieu de laquais sur toute la planète. La victoire de Maître Abdoulaye Wade est celle de près de 60 pays de l’OCI, représentant un milliard cinq cent millions d’habitants. Elle est la victoire d’une conception des droits de l’homme, qui, loin d’être sélective, contradictoire et mutilante, est fondamentalement indivisible, inclusive et humaniste. S’il en a parlé en public, c’est parce qu’il avait le devoir d’en rendre compte à tous les pays membres de l’OCI, aussitôt le résultat obtenu.
En votant la Constitution de 2001, nettement plus avancée que celle de tous les pays, qui se font passer pour des donneurs de leçons ; en prenant une initiative audacieuse sur Haïti, après le séisme du 12 avril ; en déclarant l’esclavage et la traite négrière comme des crimes contre l’humanité ; en faisant voter une loi inédite sur la parité absolue, qui n’a d’égale dans aucun pays ; en mettant en chantier, un Code de la Presse, qui sera l’un des plus avancés du monde ; en érigeant un Monument pour célébrer la Renaissance Africaine, après plus de cinq siècles de traite négrière, de domination coloniale, d’Apartheid, d’exploitation néocoloniale ; en accueillant 22 Chefs d’Etat, les 3 et 4 Avril derniers et de fortes délégations de noirs de la Diaspora, suivies, récemment, par les Présidents du Burundi, de Guinée Bissau et le Premier Ministre du Cap-Vert ; en développant la coopération Sud-Sud, en même temps que celle Nord-Sud, comme en portent témoignage, ses toutes récentes visites au Niger, en Côte d’Ivoire (à l’invitation du Président Gbagbo) et au Libéria ; en nouant des relations « gagnant-gagnant » avec les Etats-Unis d’Amérique, le Brésil, les pays d’Amérique Latine et des Caraïbes, les pays arabes, la Chine, l’Inde et le Japon ; en participant en Iran, à la rencontre du G15, qui regroupe les pays non-alignés ; en s’impliquant dans le dossier du nucléaire iranien et dans le dossier palestinien, avec l’accord des intéressés, le Président Abdoulaye Wade n’a plus rien à prouver. A ceux qui ne le savent pas ou qui feignent de l’ignorer, il est bon de rappeler que son leadership est un leadership mondial, qui dépasse l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique au Sud du Sahara. On ne peut pas le comparer à un leadership sous-régional.
C’est cette aura qui lui permet d’intervenir dans les affaires du monde, pour y jouer la partition de l’Afrique, du monde noir et des pays musulmans, avec des succès avérés. Si des mercenaires de la plume ou du micro, d’ici ou d’ailleurs et des nègres de service tentent de dénaturer cette démarche, ils démontrent suffisamment leur mépris de l’OCI et de ses pays membres. Lorsqu’un opposant sénégalais, rancunier, aigri, obnubilé par la haine, la jalousie, actionné par ses maîtres, tente de disqualifier l’action de WADE, il insulte chacun des Etats membres de l’OCI et bafoue les valeurs, dont ils se réclament. Il essaie de semer la zizanie au sein de cette organisation et tente de mettre en mal le Sénégal avec le Brésil et la Syrie, liés par un partenariat fécond et prometteur.
Si l’Afrique a du mal à obtenir dans la gouvernance mondiale, la place qu’elle revendique (ce que réclame Maître Wade), c’est parce qu’elle compte, en son sein, des Bao Dai et autres courtisans, qui préfèrent servir les intérêts étrangers à la place de ceux de leurs frères et sœurs. Ils ne comprennent rien à la marche du monde, ni à la liberté d’expression. Ils ont, d’eux-mêmes, une vision si dérisoire, qu’ils sont malades chaque fois qu’un fils du continent sort de l’ordinaire et impose, par sa dimension, un leadership invincible. Le Président Wade n’a jamais dit qu’il était le seul leader ayant obtenu la libération de Clotilde REISS. Il a déclaré qu’ « il y avait joué un rôle majeur ». Qui peut le nier, en se fondant sur des faits précis ? L’ordre de citation de pays impliqués n’a-t-il pas été un ordre simplement alphabétique et sans plus ? De toute façon, pour ceux qui savent, ni cet ordre, ni autre chose ne peuvent, en aucune façon, travestir ou occulter la réalité.
La CAP 21 saisit l’occasion, pour rendre un hommage mérité au Brésil et à la Syrie, dont elle salue les prestigieux Présidents Lula et Al Assad, partenaires solides et respectés du Sénégal, pour la part qu’ils ont prise dans le dénouement heureux de l’affaire Clotilde REISS. Elle flétrit le comportement anti-national de celui-là, qui ose parler d’élégance, lui qui a osé boxer un de ses collègues Ministre, en plein Conseil de Cabinet, lui qui s’est fait attribuer, sans élégance, une bouchée de pain, une villa grand standing au bord de la mer, lui dont on attend, toujours, des explications élégantes à la place des injures et des rodomontades habituelles sur l’affaire des passeports taïwanais et sur le détournement d’un quota pétrolier alloué par le Nigéria au Sénégal.
Quel mal y’a-t-il à dire ce qu’on a fait ? Depuis quand l’hypocrisie (car ceux qui agissent dans l’ombre, le font toujours savoir par de moyens détournés), doit- elle primer sur la sincérité et la transparence ? Si Maître Wade gêne la cinquième colonne étrangère en Afrique, les champions de la nouvelle recolonisation et tel ou tel opposant, qui rêve d’accéder au pouvoir dans les wagons de l’étranger, des centaines de millions d’africains des villes, des campagnes, hommes et femmes, ouvriers, jeunes, intellectuels, artistes d’Afrique et du monde se reconnaissent dans son discours et portent, haut, le flambeau de ses idées.
Maître Abdoulaye Wade gêne, comme ont gêné Toussaint Louverture, Dubois, Aimé Césaire, Frantz Fanon, Cheikh Anta Diop, Kwamé Nkrumah, Modibo Kéita, Gamal Abdel Nasser, Ben Bella, Mohamed V, Jomo Kenyatta, Julius Nyerere, Thomas Sankara et les autres figures emblématiques de l’Afrique et de sa Diaspora, qui sont, toutes, des noirs debout, patriotes, lucides, éclairés, courageux et engagés, au service exclusif des intérêts de l’homme noir, de la justice, de la dignité, de l’égalité et de l’indépendance totale vis-à-vis de la pensée dominante et de toutes les formes d’oppression. Enfin, en téléphonant, personnellement, à Maître Wade, « pour le remercier chaleureusement », le Président Sarkozy n’a-t-il pas confirmé ce que le président de l’OCI et le Leader de la CAP 21 a publiquement déclaré ?
C’est pourquoi, la CAP 21 exprime ses remerciements et ses chaleureuses félicitations au Guide de la Révolution Islamique, au Président de la République d’Iran, ainsi qu’au Président de la République Française. La Conférence des Leaders dit, enfin, au Président de la République, Maître Abdoulaye Wade : « Bon courage. L’humanité éprise de paix est à tes côtés »".
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La Conférence des Leaders tient à rendre un hommage mérité au Président Abdoulaye Wade, en sa double qualité de Président en exercice de l’Organisation de la Conférence Islamique et de Chef de l’Etat du Sénégal, pour le rôle majeur qu’il a joué dans cette affaire, au triple plan, diplomatique, politique et humanitaire, conformément aux valeurs et principes de l’Islam, ainsi qu’à ceux du Sénégal, terre d’humanisme, de tolérance, de paix, de pardon et de dépassement, qui s’est illustré, depuis des siècles, comme un modèle de démocratie et de défense des droits humains, notamment, depuis le 19 Mars 2000, qui marque l’avènement de l’Alternance, avec la venue au pouvoir de Maître Wade . La libération de Clotilde REISS est, avant tout, une grande victoire de toute l’OCI et de son Président en exercice.
La Conférence des Leaders félicite, pour cela, tous les Etats membres de l’OCI, qu’une certaine opinion a toujours cherché et cherche encore, en déformant, systématiquement, l’histoire, à faire passer pour une humanité obscurantiste et moyen-âgeuse, alors que quand l’Islam accordait aux droits attachés à la personne humaine, une place importante, aucun des événements majeurs sur lesquels, se fonde l’idéologie actuelle des droits de l’homme, n’avait vu le jour dans aucun des pays à dominante non islamique. En se saisissant de l’affaire Clotilde REISS et en la conduisant avec une maestria, un talent, une compétence et une efficacité consommés, le Président en exercice de l’OCI a infligé un démenti cinglant à tous les falsificateurs de l’histoire et aux cinquièmes colonnes officiant dans tous les pays de la planète, qui relaient les fausses idées sur lesquelles, ils ont bâti un leadership unilatéral et une supériorité immanente que rien ne justifie.
Sans l’apport de l’Asie, du monde arabe, de l’Afrique, des Amériques et des Caraïbes, la configuration du monde actuel et la géopolitique qu’elle dessine auraient été bien différentes.
Evidemment, le fait qu’un Chef d’Etat noir, musulman de surcroît, ait réussi une performance aussi remarquable, dans un dossier aussi délicat, infirme les thèses de Gobineau, qui prévalent encore dans certains milieux et honore tous les patriotes et démocrates du monde noir. Mais, il ne laisse évidemment pas indifférents tous ceux, dont la mission a toujours été d’infantiliser les peuples anciennement colonisés, de nier leurs aptitudes à la maturité et leur capacité à gérer les affaires les concernant et celles du monde, en pleine indépendance et souveraineté, ainsi que les thuriféraires qui leur tiennent lieu de laquais sur toute la planète. La victoire de Maître Abdoulaye Wade est celle de près de 60 pays de l’OCI, représentant un milliard cinq cent millions d’habitants. Elle est la victoire d’une conception des droits de l’homme, qui, loin d’être sélective, contradictoire et mutilante, est fondamentalement indivisible, inclusive et humaniste. S’il en a parlé en public, c’est parce qu’il avait le devoir d’en rendre compte à tous les pays membres de l’OCI, aussitôt le résultat obtenu.
En votant la Constitution de 2001, nettement plus avancée que celle de tous les pays, qui se font passer pour des donneurs de leçons ; en prenant une initiative audacieuse sur Haïti, après le séisme du 12 avril ; en déclarant l’esclavage et la traite négrière comme des crimes contre l’humanité ; en faisant voter une loi inédite sur la parité absolue, qui n’a d’égale dans aucun pays ; en mettant en chantier, un Code de la Presse, qui sera l’un des plus avancés du monde ; en érigeant un Monument pour célébrer la Renaissance Africaine, après plus de cinq siècles de traite négrière, de domination coloniale, d’Apartheid, d’exploitation néocoloniale ; en accueillant 22 Chefs d’Etat, les 3 et 4 Avril derniers et de fortes délégations de noirs de la Diaspora, suivies, récemment, par les Présidents du Burundi, de Guinée Bissau et le Premier Ministre du Cap-Vert ; en développant la coopération Sud-Sud, en même temps que celle Nord-Sud, comme en portent témoignage, ses toutes récentes visites au Niger, en Côte d’Ivoire (à l’invitation du Président Gbagbo) et au Libéria ; en nouant des relations « gagnant-gagnant » avec les Etats-Unis d’Amérique, le Brésil, les pays d’Amérique Latine et des Caraïbes, les pays arabes, la Chine, l’Inde et le Japon ; en participant en Iran, à la rencontre du G15, qui regroupe les pays non-alignés ; en s’impliquant dans le dossier du nucléaire iranien et dans le dossier palestinien, avec l’accord des intéressés, le Président Abdoulaye Wade n’a plus rien à prouver. A ceux qui ne le savent pas ou qui feignent de l’ignorer, il est bon de rappeler que son leadership est un leadership mondial, qui dépasse l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique au Sud du Sahara. On ne peut pas le comparer à un leadership sous-régional.
C’est cette aura qui lui permet d’intervenir dans les affaires du monde, pour y jouer la partition de l’Afrique, du monde noir et des pays musulmans, avec des succès avérés. Si des mercenaires de la plume ou du micro, d’ici ou d’ailleurs et des nègres de service tentent de dénaturer cette démarche, ils démontrent suffisamment leur mépris de l’OCI et de ses pays membres. Lorsqu’un opposant sénégalais, rancunier, aigri, obnubilé par la haine, la jalousie, actionné par ses maîtres, tente de disqualifier l’action de WADE, il insulte chacun des Etats membres de l’OCI et bafoue les valeurs, dont ils se réclament. Il essaie de semer la zizanie au sein de cette organisation et tente de mettre en mal le Sénégal avec le Brésil et la Syrie, liés par un partenariat fécond et prometteur.
Si l’Afrique a du mal à obtenir dans la gouvernance mondiale, la place qu’elle revendique (ce que réclame Maître Wade), c’est parce qu’elle compte, en son sein, des Bao Dai et autres courtisans, qui préfèrent servir les intérêts étrangers à la place de ceux de leurs frères et sœurs. Ils ne comprennent rien à la marche du monde, ni à la liberté d’expression. Ils ont, d’eux-mêmes, une vision si dérisoire, qu’ils sont malades chaque fois qu’un fils du continent sort de l’ordinaire et impose, par sa dimension, un leadership invincible. Le Président Wade n’a jamais dit qu’il était le seul leader ayant obtenu la libération de Clotilde REISS. Il a déclaré qu’ « il y avait joué un rôle majeur ». Qui peut le nier, en se fondant sur des faits précis ? L’ordre de citation de pays impliqués n’a-t-il pas été un ordre simplement alphabétique et sans plus ? De toute façon, pour ceux qui savent, ni cet ordre, ni autre chose ne peuvent, en aucune façon, travestir ou occulter la réalité.
La CAP 21 saisit l’occasion, pour rendre un hommage mérité au Brésil et à la Syrie, dont elle salue les prestigieux Présidents Lula et Al Assad, partenaires solides et respectés du Sénégal, pour la part qu’ils ont prise dans le dénouement heureux de l’affaire Clotilde REISS. Elle flétrit le comportement anti-national de celui-là, qui ose parler d’élégance, lui qui a osé boxer un de ses collègues Ministre, en plein Conseil de Cabinet, lui qui s’est fait attribuer, sans élégance, une bouchée de pain, une villa grand standing au bord de la mer, lui dont on attend, toujours, des explications élégantes à la place des injures et des rodomontades habituelles sur l’affaire des passeports taïwanais et sur le détournement d’un quota pétrolier alloué par le Nigéria au Sénégal.
Quel mal y’a-t-il à dire ce qu’on a fait ? Depuis quand l’hypocrisie (car ceux qui agissent dans l’ombre, le font toujours savoir par de moyens détournés), doit- elle primer sur la sincérité et la transparence ? Si Maître Wade gêne la cinquième colonne étrangère en Afrique, les champions de la nouvelle recolonisation et tel ou tel opposant, qui rêve d’accéder au pouvoir dans les wagons de l’étranger, des centaines de millions d’africains des villes, des campagnes, hommes et femmes, ouvriers, jeunes, intellectuels, artistes d’Afrique et du monde se reconnaissent dans son discours et portent, haut, le flambeau de ses idées.
Maître Abdoulaye Wade gêne, comme ont gêné Toussaint Louverture, Dubois, Aimé Césaire, Frantz Fanon, Cheikh Anta Diop, Kwamé Nkrumah, Modibo Kéita, Gamal Abdel Nasser, Ben Bella, Mohamed V, Jomo Kenyatta, Julius Nyerere, Thomas Sankara et les autres figures emblématiques de l’Afrique et de sa Diaspora, qui sont, toutes, des noirs debout, patriotes, lucides, éclairés, courageux et engagés, au service exclusif des intérêts de l’homme noir, de la justice, de la dignité, de l’égalité et de l’indépendance totale vis-à-vis de la pensée dominante et de toutes les formes d’oppression. Enfin, en téléphonant, personnellement, à Maître Wade, « pour le remercier chaleureusement », le Président Sarkozy n’a-t-il pas confirmé ce que le président de l’OCI et le Leader de la CAP 21 a publiquement déclaré ?
C’est pourquoi, la CAP 21 exprime ses remerciements et ses chaleureuses félicitations au Guide de la Révolution Islamique, au Président de la République d’Iran, ainsi qu’au Président de la République Française. La Conférence des Leaders dit, enfin, au Président de la République, Maître Abdoulaye Wade : « Bon courage. L’humanité éprise de paix est à tes côtés »".
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