« Quand la Chine se réveillera, le monde tremblera », mais pour certain, ça ne peut que faire du bien et l’Afrique ne vous dira pas le contraire. Cette citation du français Alain PEYREFITTE en entrain de prendre forme. Ce tremblement dont il parlait secoue de jour en jour tous les Chiffres du commerce mondial. La machine chinoise est en marche et elle s’aiguille vers l’Afrique. Selon le document du centre africain pour le commerce, l’intégration et le développement (Cacid), vers les années 2000, les échanges entre la Chine et l’Afrique n’étaient que de 10,6 milliards de dollars US.
Aujourd’hui, les donnés collectées en 2010, montrent que cette somme a décuplé pour atteindre les 124 milliards de dollars US. selon les estimations les échanges bilatéraux pourraient dépasser les 300 milliards dés 2015.
La Chine pèse désormais lourde sur la balance commerciale des pays du Sud, tant pie pour l’occident. En effet, l’accélération de la croissance des échanges avec l’Afrique a élevé la Chine au rang de principal partenaire commercial du continent, une position antérieurement occupée par les Etats-Unis d’Amérique (USA). Ce statut le chine le doit à la diversification de ses produits qui comprend la chaine d’approvisionnement pour construction, les biens de consommation, l’électronique, les véhicules ainsi que les appareils et équipement TIC.
Selon Dr Cheikh Tidiane Diéye du Cacid, « la crise de 2008 a été déterminante dans l’implantation de la chine en Afrique ». Nous dit-il, les pays émergents comme la Chine moins touchée par l’effondrement des économies, ont su profiter de la situation pour se déployer et investir au niveau dans des pays de l’Afrique.
S’il y a un domaine ou la Chine veut cultiver l’égalité, c’est bien au niveau de dans l’aide publique. D’après les analyses du document « les faits et Chiffres », de la politique économique chinoise en Afrique, l’aide chinoise enregistre une croissance rapide et l’Afrique en reçois la majeure partie. La chine jouit d’une bonne réputation auprès des états africains car son aide financière est classé en 3 catégories : les dons (aides à titre gracieux), les prêts sans intérêts et les prêts à taux préférentiels. Donc les institutions mondiales et traditionnelles des bailleurs se heurtent à la concurrence croissante de la Chine en Afrique. Selon ce même document, « à bien des égard, la chine conteste aujourd’hui le règle du jeu concernant le déploiement et l’utilisation de l’aide étrangère comme outil d’avantage commercial et d’enregistrement national ».
Il apparait clairement que la Chine est sur son piédestal sur le plan des relations commerciales avec l’Afrique. Elle joue de plus en plus le rôle de financier et d’investisseur commercial. Mais parmi les multiple partenaires avec qui l’Afrique entretien des relations, la Chine est celle qu’il faut surveille afin de déterminer l’incidence coût-bénéfice des opportunités et des défis potentiels de ce partenariat. Et au delà « des faits et chiffres », il faut transformer cette nouvelle donne en opportunités pour nos économies » selon Mme Aïssatou Diallo, chargée des programmes de Enda-Cacid.
I. Badiane Senecoplus
Aujourd’hui, les donnés collectées en 2010, montrent que cette somme a décuplé pour atteindre les 124 milliards de dollars US. selon les estimations les échanges bilatéraux pourraient dépasser les 300 milliards dés 2015.
La Chine pèse désormais lourde sur la balance commerciale des pays du Sud, tant pie pour l’occident. En effet, l’accélération de la croissance des échanges avec l’Afrique a élevé la Chine au rang de principal partenaire commercial du continent, une position antérieurement occupée par les Etats-Unis d’Amérique (USA). Ce statut le chine le doit à la diversification de ses produits qui comprend la chaine d’approvisionnement pour construction, les biens de consommation, l’électronique, les véhicules ainsi que les appareils et équipement TIC.
Selon Dr Cheikh Tidiane Diéye du Cacid, « la crise de 2008 a été déterminante dans l’implantation de la chine en Afrique ». Nous dit-il, les pays émergents comme la Chine moins touchée par l’effondrement des économies, ont su profiter de la situation pour se déployer et investir au niveau dans des pays de l’Afrique.
S’il y a un domaine ou la Chine veut cultiver l’égalité, c’est bien au niveau de dans l’aide publique. D’après les analyses du document « les faits et Chiffres », de la politique économique chinoise en Afrique, l’aide chinoise enregistre une croissance rapide et l’Afrique en reçois la majeure partie. La chine jouit d’une bonne réputation auprès des états africains car son aide financière est classé en 3 catégories : les dons (aides à titre gracieux), les prêts sans intérêts et les prêts à taux préférentiels. Donc les institutions mondiales et traditionnelles des bailleurs se heurtent à la concurrence croissante de la Chine en Afrique. Selon ce même document, « à bien des égard, la chine conteste aujourd’hui le règle du jeu concernant le déploiement et l’utilisation de l’aide étrangère comme outil d’avantage commercial et d’enregistrement national ».
Il apparait clairement que la Chine est sur son piédestal sur le plan des relations commerciales avec l’Afrique. Elle joue de plus en plus le rôle de financier et d’investisseur commercial. Mais parmi les multiple partenaires avec qui l’Afrique entretien des relations, la Chine est celle qu’il faut surveille afin de déterminer l’incidence coût-bénéfice des opportunités et des défis potentiels de ce partenariat. Et au delà « des faits et chiffres », il faut transformer cette nouvelle donne en opportunités pour nos économies » selon Mme Aïssatou Diallo, chargée des programmes de Enda-Cacid.
I. Badiane Senecoplus