"Non seulement les Nord-Coréens ont réussi à braver le Conseil de sécurité de l'ONU, les Etats-Unis et même leur protecteur chinois, mais ils sont parvenus à démontrer leur incompétence", ironisait sur son blog Marcus Noland, du Peterson Institute for International Economics basé à Washington.
"L'humiliation" nationale, selon le chercheur, devrait convaincre le nouveau dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un -qui a succédé à son père après la mort de celui-ci en décembre- de réaliser un nouvel essai nucléaire en violation des résolutions 1718 et 1874 du Conseil de sécurité.
"Il serait facile de jubiler, mais paradoxalement, l'échec du missile pourrait avoir aggravé le danger que court le monde (...). Avant le tir, il était probable que la Corée du Nord conduise un troisième essai nucléaire. C'est désormais une quasi certitude", a-t- il estimé.
Un responsable sud-coréen s'exprimant sous couvert de l'anonymat avait indiqué dimanche à l'AFP que des préparatifs étaient en cours à Punggye-ri (nord-est) où le Nord a réalisé ses deux précédents essais.
Pour Rory Medcalf également, responsable du programme de sécurité internationale au centre d'études australien Lowy Institute, la Corée du Nord risque de vouloir poursuivre son programme nucléaire après ce nouvel échec.
SOURCE:7sur7.be
"L'humiliation" nationale, selon le chercheur, devrait convaincre le nouveau dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un -qui a succédé à son père après la mort de celui-ci en décembre- de réaliser un nouvel essai nucléaire en violation des résolutions 1718 et 1874 du Conseil de sécurité.
"Il serait facile de jubiler, mais paradoxalement, l'échec du missile pourrait avoir aggravé le danger que court le monde (...). Avant le tir, il était probable que la Corée du Nord conduise un troisième essai nucléaire. C'est désormais une quasi certitude", a-t- il estimé.
Un responsable sud-coréen s'exprimant sous couvert de l'anonymat avait indiqué dimanche à l'AFP que des préparatifs étaient en cours à Punggye-ri (nord-est) où le Nord a réalisé ses deux précédents essais.
Pour Rory Medcalf également, responsable du programme de sécurité internationale au centre d'études australien Lowy Institute, la Corée du Nord risque de vouloir poursuivre son programme nucléaire après ce nouvel échec.
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