Pour la première fois de l'histoire, la Coupe du monde se déroulera sur trois continents différents en 2030. Depuis l'annonce de la FIFA ce mercredi, plusieurs informations commencent à filtrer : si trois matches se dérouleront en Argentine (Buenos Aires), en Uruguay (Montevideo) et au Paraguay (Asuncion), la finale pourrait avoir lieu au Stade Santiago Bernabéu, comme l'a révélé "Marca".
En parallèle de ces différentes annonces, le monde du football a réagi, à commencer par les six pays hôtes. “Je suis convaincu qu'avec le Maroc et le Portugal, nous organiserons la meilleure Coupe du monde de l'histoire”, a affirmé le président par intérim de la Fédération espagnole de football (RFEF), Pedro Rocha, cité dans un communiqué commun des trois fédérations.
“Cette décision du Conseil de la FIFA salue et reconnaît la place de choix du Maroc dans le concert des grandes nations”, s'est réjoui pour sa part le roi Mohammed VI. Le demi-finaliste du Mondial 2022 s'apprête à devenir le deuxième pays africain à accueillir un Mondial, après l'Afrique du Sud en 2010.
De son côté, Fernando Gomes, le président de la fédération portugaise, a souligné “une expérience organisationnelle inégalée, qui marquera certainement l'avenir de la compétition”.
Si l'Espagne a déjà accueilli la compétition en 1982,ce sera une grande première pour son voisin européen. Même son de cloche pour le Paraguay. De son côté, l'Argentine a organisé la Coupe du monde 1978, alors que le tout premier Mondial de l'histoire s'est tenu en Uruguay en 1930 (ndlr : le pays hôte avait remporté la compétition en finale face à l'Argentine).
“Le premier de ces trois matches (en 2030) sera, bien sûr, joué au stade où tout a commencé, le mythique Estadio Centenario de Montevideo, précisément pour célébrer la centième édition de la Coupe du monde”, a fait savoir Gianni Infantino, le président de la FIFA.
“Les Uruguayens champions. 100 ans après, nous serons encore au centre des attentions du monde entier. C'est une belle reconnaissance pour les pionniers qui construit l'histoire du football. Merci”, s'est réjoui Luis Lacalle Pou, le président de la République d'Uruguay, sur X (anciennement Twitter).
Le voisin argentin n'a pas non plus caché sa joie. “Aujourd’hui est un jour férié pour la Conmebol. Il a permis au Mondial de revenir légitimement en Argentine”, a indiqué Claudio Tapia, le président de la fédération argentine de football, dans des propos relayés par le quotidien "Olé".
En revanche, cet élargissement à six pays sera un gros point à ne pas négliger dans la récupération des joueurs pendant la compétition (ndlr: heures de vol, décalage horaire).
“La FIFA poursuit son cycle de destruction contre le plus grand tournoi du monde”, a réagi sur X, l'association Football Supporters Europe, déplorant une formule “horrible” pour les supporters et “sans considération” pour l'environnement.
EnQuête
En parallèle de ces différentes annonces, le monde du football a réagi, à commencer par les six pays hôtes. “Je suis convaincu qu'avec le Maroc et le Portugal, nous organiserons la meilleure Coupe du monde de l'histoire”, a affirmé le président par intérim de la Fédération espagnole de football (RFEF), Pedro Rocha, cité dans un communiqué commun des trois fédérations.
“Cette décision du Conseil de la FIFA salue et reconnaît la place de choix du Maroc dans le concert des grandes nations”, s'est réjoui pour sa part le roi Mohammed VI. Le demi-finaliste du Mondial 2022 s'apprête à devenir le deuxième pays africain à accueillir un Mondial, après l'Afrique du Sud en 2010.
De son côté, Fernando Gomes, le président de la fédération portugaise, a souligné “une expérience organisationnelle inégalée, qui marquera certainement l'avenir de la compétition”.
Si l'Espagne a déjà accueilli la compétition en 1982,ce sera une grande première pour son voisin européen. Même son de cloche pour le Paraguay. De son côté, l'Argentine a organisé la Coupe du monde 1978, alors que le tout premier Mondial de l'histoire s'est tenu en Uruguay en 1930 (ndlr : le pays hôte avait remporté la compétition en finale face à l'Argentine).
“Le premier de ces trois matches (en 2030) sera, bien sûr, joué au stade où tout a commencé, le mythique Estadio Centenario de Montevideo, précisément pour célébrer la centième édition de la Coupe du monde”, a fait savoir Gianni Infantino, le président de la FIFA.
“Les Uruguayens champions. 100 ans après, nous serons encore au centre des attentions du monde entier. C'est une belle reconnaissance pour les pionniers qui construit l'histoire du football. Merci”, s'est réjoui Luis Lacalle Pou, le président de la République d'Uruguay, sur X (anciennement Twitter).
Le voisin argentin n'a pas non plus caché sa joie. “Aujourd’hui est un jour férié pour la Conmebol. Il a permis au Mondial de revenir légitimement en Argentine”, a indiqué Claudio Tapia, le président de la fédération argentine de football, dans des propos relayés par le quotidien "Olé".
En revanche, cet élargissement à six pays sera un gros point à ne pas négliger dans la récupération des joueurs pendant la compétition (ndlr: heures de vol, décalage horaire).
“La FIFA poursuit son cycle de destruction contre le plus grand tournoi du monde”, a réagi sur X, l'association Football Supporters Europe, déplorant une formule “horrible” pour les supporters et “sans considération” pour l'environnement.
EnQuête