L’institution française en charge du contrôle de la régularité des comptes publics fait un certain nombre de critiques quant à la gestion de la politique d’aide.
Cette dernière serait «mal articulée entre le ministère de l'Economie, celui des Affaires étrangères et l'Agence française de développement, avec des objectifs en trop grand nombre et des frais administratifs "plus élevés" qu'ailleurs », peut-on lire sur Youphil.
Le journal Les Echos qui consacre un article à ce sujet souligne aussi que l’aide «n'a pas permis de concentrer l'aide sur la région qui en a le plus besoin, l'Afrique subsaharienne, à laquelle la France ne consacre plus que 36 % de son aide bilatérale en 2011».
François Hollande avait promis avant son élection à la présidence de la République de revoir la politique d’aide au développement en faisant voter par le parlement une loi qui permettrait d’envisager un chemin crédible et possible vers l’objectif des 0,7%.
Le nouveau ministre en charge du développement, Pascal Canfin, a d’ailleurs affirmé que ce serait une priorité pour le gouvernement.
Quoi qu’il en soit, la France, n’est pas la seule à ne pas remplir ses promesses. Les Etats-Unis, le Canada ou encore le Japon ne se fixent plus d’objectifs chiffrés pour le développement, «depuis que les grands objectifs établis en 2005 au sommet du G8 de Gleneagles sont arrivés à échéance», note Youphil.
Lu sur Youphil, Les Echos
Cette dernière serait «mal articulée entre le ministère de l'Economie, celui des Affaires étrangères et l'Agence française de développement, avec des objectifs en trop grand nombre et des frais administratifs "plus élevés" qu'ailleurs », peut-on lire sur Youphil.
Le journal Les Echos qui consacre un article à ce sujet souligne aussi que l’aide «n'a pas permis de concentrer l'aide sur la région qui en a le plus besoin, l'Afrique subsaharienne, à laquelle la France ne consacre plus que 36 % de son aide bilatérale en 2011».
François Hollande avait promis avant son élection à la présidence de la République de revoir la politique d’aide au développement en faisant voter par le parlement une loi qui permettrait d’envisager un chemin crédible et possible vers l’objectif des 0,7%.
Le nouveau ministre en charge du développement, Pascal Canfin, a d’ailleurs affirmé que ce serait une priorité pour le gouvernement.
Quoi qu’il en soit, la France, n’est pas la seule à ne pas remplir ses promesses. Les Etats-Unis, le Canada ou encore le Japon ne se fixent plus d’objectifs chiffrés pour le développement, «depuis que les grands objectifs établis en 2005 au sommet du G8 de Gleneagles sont arrivés à échéance», note Youphil.
Lu sur Youphil, Les Echos