Le débat sur les travaux de l'Agence pour l'organisation de la
conférence islamique (Anoci) reste toujours à l'ordre du jour. En
effet, l'affaire opposant le grand contributeur et pourfendeur du chef
de l'Etat, Mody Niang et l'entrepreneur Cheikh Amar de Tse a atterri
ce mardi devant le tribunal de Dakar. « Cheikh Amar avait bénéficié de
26 milliards pour les maisons présidentielles qui sont toujours
virtuelles,» tels sont les propos venant de Mody Niang, qui ont choqué
l'entrepreneur Cheikh Amar. Ce dernier n’a pas hésité à saisir le
procureur de la République d'une plainte pour " diffamation et
diffusion de fausse nouvelles". Selon une source proche du dossier, Mr
Amar a déposé sa plainte ce mardi un peu avant 12 heures. La même
source nous renseigne que l'entrepreneur serait très remonté contre
Mody Niang. Mieux, notre interlocuteur est allé beaucoup plus loin
pour nous dire que le Procureur de la République a saisi la Division
des investigations criminelles (Dic) à qui il a remis le dossier. "
Cheikh Amar a été entendu ce mardi de 16 h 30 à 17 h 30 par les
éléments de la Division des investigations criminelles. Mais j'ignore
pour l'instant ce qu'il a échangé avec les limiers. Mais je sais qu'il
est très remonté contre Mody Niang, Et il veut que la lumière soit
faite le plus rapidement possible et qu'on cesse de le diffamer," se
désole un proche ami qui préfère garder l'anonymat.
Notre source nous révèle que la Dic est en train de chercher le sieur
Mody Niang qu'il n'arrive pas à retrouver et à joindre. Le pourfendeur
du chef de l'Etat aurait-il pris la fuite ? Pourquoi Mody Niang
n'assume-il pas sa responsabilité? Telles sont les questions que se
posent les Sénégalais. Dans tous les cas, il devra s'expliquer sur les
26 milliards de francs Cfa que l'Anoci aurait versés à l'entrepreneur
Cheikh Amar de Tse pour les besoins des travaux de construction des
villas présidentielles.
L'on se rappelle que cette affaire remonte à la semaine dernière. Lors
d'une rencontre de l'Alliance nationale des cadres du progrès (Ancp ),
sur la gouvernance économique au siège de leur parti sis, Sacre Coeur,
que Mody Niang avait fait ces révélations.
conférence islamique (Anoci) reste toujours à l'ordre du jour. En
effet, l'affaire opposant le grand contributeur et pourfendeur du chef
de l'Etat, Mody Niang et l'entrepreneur Cheikh Amar de Tse a atterri
ce mardi devant le tribunal de Dakar. « Cheikh Amar avait bénéficié de
26 milliards pour les maisons présidentielles qui sont toujours
virtuelles,» tels sont les propos venant de Mody Niang, qui ont choqué
l'entrepreneur Cheikh Amar. Ce dernier n’a pas hésité à saisir le
procureur de la République d'une plainte pour " diffamation et
diffusion de fausse nouvelles". Selon une source proche du dossier, Mr
Amar a déposé sa plainte ce mardi un peu avant 12 heures. La même
source nous renseigne que l'entrepreneur serait très remonté contre
Mody Niang. Mieux, notre interlocuteur est allé beaucoup plus loin
pour nous dire que le Procureur de la République a saisi la Division
des investigations criminelles (Dic) à qui il a remis le dossier. "
Cheikh Amar a été entendu ce mardi de 16 h 30 à 17 h 30 par les
éléments de la Division des investigations criminelles. Mais j'ignore
pour l'instant ce qu'il a échangé avec les limiers. Mais je sais qu'il
est très remonté contre Mody Niang, Et il veut que la lumière soit
faite le plus rapidement possible et qu'on cesse de le diffamer," se
désole un proche ami qui préfère garder l'anonymat.
Notre source nous révèle que la Dic est en train de chercher le sieur
Mody Niang qu'il n'arrive pas à retrouver et à joindre. Le pourfendeur
du chef de l'Etat aurait-il pris la fuite ? Pourquoi Mody Niang
n'assume-il pas sa responsabilité? Telles sont les questions que se
posent les Sénégalais. Dans tous les cas, il devra s'expliquer sur les
26 milliards de francs Cfa que l'Anoci aurait versés à l'entrepreneur
Cheikh Amar de Tse pour les besoins des travaux de construction des
villas présidentielles.
L'on se rappelle que cette affaire remonte à la semaine dernière. Lors
d'une rencontre de l'Alliance nationale des cadres du progrès (Ancp ),
sur la gouvernance économique au siège de leur parti sis, Sacre Coeur,
que Mody Niang avait fait ces révélations.